Deputy-Ombudsman Sakslin has solved several complaints related to the inhuman treatment of older people and the use of strong restrictive measures during physical pain or terminal care or after surgery. The Deputy-Ombudsman has drawn attention to the fact that the complaints mention the same serious shortcomings. 

The reason for this erroneous action is often that the personnel do not know what to do in the situation. On the basis of the complaints, the Deputy-Ombudsman decided on her own initiative to investigate whether the necessary information on avoiding the use of restrictive measures in the care of older people is currently available and how it has been ensured that the information is available to social welfare and healthcare professionals.

Based on the information received, various measures have been taken, but the measures are not yet sufficient.

The National Supervisory Authority for Welfare and Health (Valvira) estimates that the housing units of older people have fairly established operating methods for using physical restrictive measures. However, the observations made during inspections ordered by the Deputy-Ombudsman show that even established practices may violate the law, human rights conventions and the principles of professional ethics.

A common observation is that the existing guidelines focus on the use of restrictive measures. On the other hand, clear and simple instructions on the prevention of restrictive situations and, as a result, competence are still mostly lacking.

The Deputy-Ombudsman asks for urgent preparation of clear national guidelines and training materials.

The full text of Deputy-Ombudsman Maija Sakslin’s decision 3014/2022 was published (in Finnish) on the Parliamentary Ombudsman’s website at www.oikeusasiamies.fi.

Further information is available from Senior Legal Adviser Lotta Hämeen-Anttila, tel. +358 (0)9 432 3353.

Si terrà il 27 febbraio 2023 a Bolzano il 40° anniversario della Difesa Civica dell’Alto Adige – Provincia Autonoma di Bolzano.

Prossimamente altre info su questa pagina.

Un ciudadano presentó una queja en la que mostraba su desacuerdo con la actuación de Bidegi, sociedad adscrita al Departamento de Infraestructuras Viarias de la Diputación Foral de Gipuzkoa, debido a la no vinculación de su vehículo a tarjeta bancaria como usuario de la autovía de Beasain por no disponer de dirección de correo electrónico.

Bidegi tiene atribuida la exacción, gestión y recaudación del canon de uso de infraestructuras viarias y, en concreto, el relativo al tramo entre Beasain-Bergara.

Para la gestión y recaudación del canon habilitó una página web en la cual los usuarios de la autovía deben integrar datos que permitan vincular una matrícula de vehículo con una tarjeta bancaria. Esa página web obliga a aportar un dato de correo electrónico para validarse en el sistema y, de ese modo, poder vincular la matrícula con la tarjeta bancaria. 

La institución del Ararteko, sensibilizado con los derechos de la ciudadanía en el marco de sus relaciones con la administración a través de medios electrónicos, publicó el estudio “Administración digital y relaciones con la ciudadanía. Su aplicación a las administraciones públicas vascas”. En él plantea, entre otras cuestiones, en qué medida la brecha digital afecta a determinados colectivos o personas en el ejercicio de sus derechos y cómo se articulan efectivamente las relaciones digitales entre la ciudadanía y la Administración.

Por ello, en este caso, el Ararteko recomendó a la Diputación Foral de Gipuzkoa que aplique los principios del buen gobierno regulados en la propia Norma Foral 4/2019 de Buen Gobierno y en el sistema foral de atención ciudadana, habilitando medios que permitan a la ciudadanía elegir el canal para relacionarse con el sector público foral sin restricciones o discriminación, fundamentalmente cuando la norma foral de regulación del canon no establece la obligatoriedad de facilitar un correo electrónico para la gestión, exacción y recaudación del canon de uso de infraestructuras viarias atribuida a Bidegi.

Le recomendó, también, aplicar el principio de minimización de datos ante la imposición para la ciudadanía de entregar un correo electrónico, ya que no parece obligatorio ni necesario su tratamiento con fines de gestión del pago del canon mediante asociación de matrícula.

El Departamento de Infraestructuras Viarias ha comunicado al Ararteko que acepta la recomendación y que está trabajando para habilitar medios que permitan a la ciudadanía elegir el canal para relacionarse con Bidegi y para eliminar la obligatoriedad de facilitar un correo electrónico.

Vitoria-Gasteiz, 4 de enero de 2023

La Défenseure des droits, Claire Hédon, et Sabine Geil Gomez, Présidente de la Mission Locale Haute-Garonne signent ce jour une convention au service de l’accès aux droits des jeunes.

Les jeunes de moins de 25 ans rencontrent d’importantes difficultés pour effectuer leurs démarches administratives en ligne (2 jeunes sur 5[1]) et font massivement l’objet de discriminations (1 jeune sur 3[2]), mais rares sont ceux qui engagent des démarches pour faire valoir leurs droits.

Afin de lutter contre le non-recours et de favoriser l’accès aux droits pour les jeunes, le Défenseur des droits s’efforce d’être accessible à tous les jeunes, en déployant de multiples canaux de saisines, comme la plateforme antidiscriminations.fr, avec un tchat en ligne et un numéro d’appel direct (le 39 28), mais aussi en diversifiant ses lieux d’implantation sur le territoire, en particulier dans les quartiers de la politique de la Ville, dans des maisons de quartier, maisons des adolescents et Missions locales.

Dans ce cadre, la Défenseure des droits, Claire Hédon, et Sabine Geil Gomez, Présidente de la Mission Locale Haute-Garonne signent une convention créant de deux nouvelles permanences de délégué du Défenseur des droits, au sein des antennes Nord-Ouest (Blagnac) et Ouest (Colomiers) de la Mission Locale Haute-Garonne.

Ces permanences permettront aux jeunes confrontés à des dysfonctionnements des services publics ou à des discriminations de rencontrer Claude Houllier, délégué du Défenseur des droits en Haute-Garonne. Ce dernier exerce une mission d’écoute, d’information, d’orientation et de médiation afin de trouver une solution rapide et pragmatique aux litiges que rencontrent les jeunes qui le contactent.

Cette permanence sera complémentaire à l’accompagnement assuré par les équipes de la Mission Locale.

La signature officielle de cette convention a eu lieu à l’antenne Nord Ouest de la Mission Locale Haute-Garonne ce vendredi 6 janvier à 10h30.

Informations pratiques sur les permanences tenues par Claude HOULLIER :

• 1^er et 3è mardi matin du mois à l’antenne Nord Ouest de la Mission Locale, 21 avenue d'Andromède – Blagnac
• 2è et 4è mardi matin du mois à l’antenne Ouest de la Mission Locale, 6 avenue Edouard Serres – Colomiers

Sur RDV au 05 61 71 02 70 ou en contactant Claude HOULLIER par mail : claude.houllier@defenseurdesdroits.fr

À PROPOS DE LA MISSION LOCALE Haute-Garonne : Constituée sous la forme d’une association la Mission Locale assure des fonctions de mobilisation, d’accueil, d’information, d’orientation et d’accompagnement des jeunes de 16 à 25 ans sortis du système scolaire. La Mission Locale est un acteur territorial des politiques publiques. Elle regroupe les représentants de l’État, des collectivités territoriales, des établissements publics, des organisations professionnelles et syndicales et des associations. Présidée par Sabine Geil-Gomez, conseillère départementale, elle mobilise l’ensemble des acteurs socio-économiques locaux sur son territoire.

Quelques chiffres clés en 2021

• 19 825 jeunes en contact
• 10 948 jeunes accompagnés
• 180 517 propositions faites aux jeunes

[1] Défenseur des droits, Enquête sur l’accès aux droits Volume 2 — Relations des usagères et usagers avec les services publics : le risque du non-recours, mars 2017

[2] Défenseur des droits-Organisations internationale du travail, La perception des discriminations dans l’emploi - Édition consacrée à la jeunesse, décembre 2021