(FRA) Un rapport de la FRA préconise une évaluation efficace des droits fondamentaux dans le domaine de l’IA à haut risque

Date of article: 04/12/2025

Daily News of: 05/12/2025

Country:  EUROPE

Author:

Article language: fr

Protection des données, respect de la vie privée et nouvelles technologies

  

Intelligence artificielle et mégadonnées

AI risk management and ethics safety concept with checklist and alert icons floating over laptop as professional ensures responsible artificial intelligence system through compliance and validation
IDOL'foto / Adobestock.com, 2025

L’intelligence artificielle (IA) offre de nombreuses possibilités à nos sociétés et à nos économies. Cependant, elle met également en péril les droits fondamentaux, en particulier dans des domaines sensibles tels que le recrutement ou les prestations sociales. Reposant sur des entretiens avec des prestataires de service, des déployeurs et des experts, un nouveau rapport de l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) révèle que de nombreux acteurs du secteur des systèmes d’IA à haut risque ne savent pas comment évaluer ou atténuer systématiquement ces risques. Sensibiliser davantage et renforcer la mise en œuvre du règlement sur l’IA dans le respect des droits sont des démarches essentielles pour protéger les droits des personnes tout en favorisant l’innovation et en créant une sécurité juridique pour les entreprises.

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Le rapport « Assessing high-risk artificial intelligence » (évaluer l’intelligence artificielle à haut risque) se penche sur le développement et l’utilisation de l’IA dans cinq domaines définis comme étant à haut risque en vertu du règlement sur l’IA : l’asile, l’enseignement, l’emploi, l’application de la loi et les biens publics. Il s’agit notamment de l’utilisation de l’IA dans le cadre des candidatures professionnelles et des examens, de la détermination de l’éligibilité aux pensions d’invalidité, de l’évaluation des capacités de lecture des enfants, et d’autres applications. Ces systèmes doivent être fiables, car ils peuvent influencer des décisions importantes qui affecteront la vie quotidienne des citoyens. Construire cette confiance nécessite d’examiner attentivement les incidences de ces systèmes sur les droits fondamentaux.

Les conclusions de la FRA montrent que les fournisseurs d’IA sont généralement conscients des risques que leurs systèmes font peser sur le respect de la vie privée, la protection des données et la non-discrimination. Toutefois, nombre d’entre eux ne prennent pas en considération leurs conséquences plus larges sur les droits fondamentaux. Par exemple, les fournisseurs de systèmes d’IA utilisés pour évaluer les capacités de lecture des enfants négligent souvent d’apprécier comment leur système est susceptible d’influer sur le droit à l’éducation.

Les approches visant à atténuer les risques découlant des utilisations de l’IA sont fragmentées et leur efficacité n’a pas été prouvée. Par exemple, de nombreux prestataires se concentrent sur la surveillance humaine en tant que mesure d’atténuation, mais il ne s’agit pas d’une solution globale. Les personnes chargées de superviser un système d’IA peuvent se fier excessivement à ses résultats ou ne pas détecter certaines erreurs. Parallèlement à la surveillance humaine, d’autres mesures d’atténuation sont primordiales.

Basé sur des entretiens approfondis menés avec des personnes travaillant avec des IA à haut risque, le rapport met en évidence les difficultés rencontrées pour définir ce qui constitue un système d’IA et déterminer quand ces systèmes doivent être classés comme présentant un risque élevé au sens du règlement concerné. Par exemple, les organisations peuvent appliquer ce que l’on appelle un « filtre » pour exclure les systèmes de la catégorie à haut risque s’ils effectuent des tâches simples ou préparatoires telles que le traitement de dossiers. Néanmoins, ces systèmes peuvent tout de même porter atteinte aux droits des personnes s’ils produisent des résultats inexacts. Si ce filtre était interprété de manière trop large, il pourrait créer des failles et limiter la protection des droits fondamentaux dans la pratique.

Pour remédier à ces problèmes et garantir une compréhension commune des systèmes d’IA à haut risque, la FRA propose:

  • D’interpréter de façon extensive la définition de l’IA: même les systèmes les moins complexes peuvent contenir des biais, conduire à des discriminations ou porter atteinte aux droits fondamentaux. Par conséquent, la définition d’un système d’IA devrait être interprétée de façon extensive afin de garantir une protection efficace des droits fondamentaux et de solidifier l’application du règlement sur l’IA.
  • D’éviter les failles liées aux « filtres »: les filtres des systèmes à haut risque prévus par le règlement sur l’IA doivent être appliqués de manière claire et restrictive afin d’éviter toute faille susceptible de compromettre la protection des droits fondamentaux dans l’ensemble de l’UE. La Commission européenne et les autorités nationales doivent surveiller de près la manière dont les filtres sont utilisés. Si nécessaire, la Commission doit réviser les règles afin d’éviter toute utilisation abusive.
  • Des orientations claires en matière d’analyses d’impact sur les droits fondamentaux: des orientations claires et cohérentes sont nécessaires pour garantir que les évaluations des risques liés aux systèmes d’IA à haut risque protègent efficacement tous les droits fondamentaux, au-delà des droits à la vie privée, à la protection des données et à la non-discrimination. Le recensement et l’atténuation des risques pour les droits fondamentaux favoriseront une innovation responsable et une concurrence loyale en aidant les fournisseurs à créer une IA de meilleure qualité et plus digne de confiance.
  • D’investir dans une meilleure compréhension des risques et des mesures d’atténuation: la Commission européenne et les pays de l’UE devraient investir dans des études et des essais sur les systèmes d’IA, en particulier dans les domaines à haut risque, en vue d’une meilleure compréhension des risques liés aux droits fondamentaux et de pratiques d’atténuation efficaces, ce qui faciliterait la mise en œuvre du règlement sur l’IA.
  • D’assurer une surveillance adéquate: les auto-évaluations sont importantes, mais elles ne fonctionnent que lorsqu’elles sont soutenues par un contrôle indépendant exercé par des organismes dotés de ressources suffisantes et possédant une expertise en matière de droits fondamentaux. L’UE et ses États membres doivent veiller à ce que les autorités de contrôle disposent d’un financement, de personnel et d’un appui technique suffisants pour superviser efficacement l’utilisation des systèmes d’IA.

Citation de la directrice de la FRA Sirpa Rautio :

« Évaluer les risques liés aux droits fondamentaux constitue une bonne pratique et est bénéfique pour les entreprises. Cette démarche contribue à la mise en place d’une IA digne de confiance au service des personnes et crée une sécurité juridique pour les entreprises. Ce type d’évaluation permet également de concrétiser l’engagement pris par l’UE en faveur de l’innovation et de rester compétitif sans renier aucune valeur ou norme. La simplification de la réglementation est la bienvenue, mais pas au détriment des droits fondamentaux, en particulier dans les domaines à haut risque. »

Les entretiens menés en vue d’élaborer ce rapport ont été achevés avant que la Commission européenne ne publie la proposition de train de mesures omnibus sur le numérique le 19 novembre 2025. Les conclusions du rapport n’abordent donc pas directement celle-ci.

Le rapport s’appuie sur des entretiens menés auprès de fournisseurs et de déployeurs de systèmes d’IA ainsi que d’experts en IA en Allemagne, en Irlande, aux Pays-Bas, en Espagne et en Suède. Il s’achève par les enseignements tirés des entretiens menés avec des groupes cibles et des titulaires de droits.

Le rapport se fonde sur les précédents rapports de la FRA concernant l’intelligence artificielle et les droits fondamentaux, et les biais des algorithmes, qui mettent en évidence la manière dont l’IA affecte tous les droits fondamentaux, et pas seulement le droit à la vie privée ou à la protection des données.

Pour obtenir de plus amples informations, veuillez envoyer un message à l’adresse : media@fra.europa.eu /  Tél. : +43 1 580 30 642

Interviews for this report and its contents were finalised before the European Commission issued the Digital Omnibus proposal on 19 November 2025. The report’s findings do not directly address the Digital Omnibus proposal.

The report is based on interviews with providers and deployers of AI systems and AI experts in Germany, Ireland, the Netherlands, Spain and Sweden. Insights from focus groups and interviews with rightsholders complement the analysis.

It builds on FRA’s previous reports on artificial intelligence and fundamental rights, and on bias in algorithms which highlight how AI affects all fundamental rights, not just privacy or data protection.

For more, please contact: media@fra.europa.eu / Tel.: +43 1 580 30 642

 

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Ukrainische parlamentarische Ombudsman-Einrichtung besucht Österreich

Date of article: 04/12/2025

Daily News of: 05/12/2025

Country:  Austria

Author:

Article language: de

Am 27. November 2025 besuchte eine zwanzigköpfige Delegation der ukrainischen parlamentarischen Ombudsman-Einrichtung die Volksanwaltschaft zu einem Arbeitsbesuch.

Im Mittelpunkt des Austauschs stand die Expertise der Volksanwaltschaft zu Staatenprüfungen im Rahmen der Vertragsorgane der Vereinten Nationen. Beide Seiten betonten, dass internationale und nationale Vernetzung entscheidend für nachhaltige Veränderungen ist.

Die Vertreterinnen und Vertreter der regionalen Büros des ukrainischen Ombudsmans berichteten außerdem über ihre Arbeit unter den anhaltenden Kriegsbedingungen. Die Zahl der Beschwerden ist seit Kriegsbeginn deutlich gestiegen.

Der Besuch wurde im Rahmen des Projekts „Menschenrechtsinfrastruktur für die Ukraine“ vom Raoul Wallenberg Institut für Menschenrechte und humanitäres Völkerrecht ermöglicht. 

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Measures to improve digital services in the Tax Administration required by the Deputy-Ombudsman

Date of article: 04/12/2025

Daily News of: 05/12/2025

Country:  Finland

Author:

Article language: en

Deputy-Ombudsman Maija Sakslin stated that the Tax Administration had not offered its customers the possibility to send messages related to their service needs securely as provided in the Act on the Provision of Digital Services. In addition, the Tax Administration had not ensured the information security of the e-mail service it provided or the compliance of this service with the requirements of the Act even though it had already been expected to do this in an earlier decision.

The service principle also requires that, when organising their services, the authorities take into account customers’ needs and make sufficient services available. In the Deputy-Ombudsman’s view, the Tax Administration’s e-services did not meet the requirements of the Act and good governance in this respect.

Deputy-Ombudsman Sakslin stated that, in practice, the MyTax service is the Tax Administration's only secure electronic service channel, but it is not possible for customers to use it for sending questions or enquiries related to taxation. Because taxation matters are mainly confidential, the lack of a secure communication channel limits customers’ opportunities to manage their matters electronically.

The Deputy-Ombudsman drew the Tax Administration’s serious attention to compliance with the provisions on organising digital services to the public in the Act on the Provision of Digital Services and asked the Tax Administration to report by 29 January 2026 what measures the decision has given rise to.

The Deputy-Ombudsman’s decision no 4330/2025 has been published (in Finnish) on the website www.oikeusasiamies.fi.

Further information is available from Senior Legal Adviser Jyri Vesanto, tel. +358 9 432 3363.

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IOI Ombudsman News 47/2025

Date of article: 05/12/2025

Daily News of: 05/12/2025

Country:  WORLD

Author:

Article language: en

AORC | Reminder: Webinar on “Understanding Human Rights Frameworks: Integrating International Standards into Ombudsman Practice”

Join the African Ombudsman Research Centre, the research and training arm of the African Ombudsman and Mediators' Association, for their webinar "Understanding Human Rights Frameworks: Integrating International Standards into Ombudsman Practice". This event, organised in partnership with the International Ombudsman Institute, will take place on 10 December 2025 at 10 am (GMT+2). Kindly click here to access the official invitation.



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PAKISTAN | Office of the Ombudsman Punjab launches an International Internship Programme

The Office of the Ombudsman Punjab proudly announces its International Internship Programme 2026, a one-week immersive learning opportunity for young professionals across IOI member countries. This programme offers unique exposure to Ombudsman operations in Punjab Pakistan, from case registration and complaint hearings to mediation, resolution, and implementation.



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CANADA | Legislative Assembly appoints BC’s next Ombudsperson

The Legislative Assembly of British Columbia has appointed the province’s next Ombudsperson. Sandy Hermiston will begin her term on January 31.



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© WinWin – Radio 2

BELGIUM | The Flemish Ombudsman highlights the importance of digital inclusion on radio program

The Flemish Ombudsman Service has been promoting the theme of digital inclusion for years. Digital inclusion means that everyone can participate in the digital society, regardless of age, income, or educational level. Yet recent figures show that 40% of the population is digitally vulnerable. This creates problems for some people when applying for grants, accessing information, and exercising their rights. On Monday, 1 December 2025, Myriam Parys, Flemish Ombudsman, provided insights into these challenges on the Flemish radio program WinWin.



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El Defensor del Pueblo presenta el informe

PANAMÁ | Defensoría presenta el Primer Informe Defensorial sobre la Situación de los Derechos de Niñas, Niños y Adolescentes Afrodescendientes en Panamá

El 2 de diciembre de 2025, la Defensoría del Pueblo, junto al Fondo de Naciones Unidas para la Infancia (UNICEF), presentó el Informe Defensorial sobre la Situación de los Derechos de Niñas, Niños y Adolescentes Afrodescendientes en Panamá ante autoridades, representantes de organismos internacionales y de la sociedad civil, así como grupos de adolescentes y jóvenes afrodescendientes.



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Symbolic image/photo credit: Pixabay/wal_172619

AUSTRIA | Federal and state governments are not implementing the UN Convention on the Rights of Persons with Disabilities

Austria has committed itself to implementing the UN Convention on the Rights of Persons with Disabilities. However, neither the federal government nor the federal states are fulfilling this obligation. Ombudsman Achitz therefore calls for a strategy to give people with disabilities equal access to a self-determined life and inclusion.



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Mr Sohail Rajput addresses students at the IBA University Karachi

PAKISTAN | 7th Brand Ambassador Program at IBA University Karachi

A workshop on the Ambassador Program was held on 24 November 2025 at IBA University Karachi. Addressing the students, Mr. Sohail Rajput highlighted that the program engages university students across Sindh to raise awareness about the role of the Ombudsman in promoting good governance, transparency, and human rights.



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EUROPE | Ombudsman finds maladministration in how Commission prepared urgent legislative proposals

European Ombudswoman Teresa Anjinho has found a number of procedural shortcomings in how the European Commission prepared several legislative proposals that it considered urgent. Taken together the shortcomings amounted to maladministration. The findings are based on three separate complaint-based inquiries that examined the extent to which the Commission applied the standard policy-making rules and procedures when preparing legislative drafts concerning corporate sustainability due diligence (Omnibus I), the Common Agricultural Policy (CAP), and countering migrant smuggling.



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MALTA | House Business Committee recommends approval of Ombudsplan 2026

The House Business Committee presided by the Speaker of the House; the Hon. Anglu Farrugia met in a dedicated session to discuss the Ombudsplan 2026. The Parliamentary Ombudsman, Judge Joseph Zammit McKeon, opened the meeting with an overview of the Office’s performance. 



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La sindica quiere abordar el problema del sinhogarismo junto con el Gobierno

ESPAÑA | La síndica convoca a Gobierno y ayuntamientos a una cumbre para abordar el problema del sinhogarismo

El objetivo de la cumbre es establecer unas nuevas bases para gestionar eficazmente el problema del sinhogarismo y los asentamientos urbanos. La institución ha constatado un crecimiento significativo de personas en situación de extrema vulnerabilidad que viven en la calle, así como la preocupación de los vecinos por el deterioro del espacio público. El encuentro tendrá lugar el 11 de diciembre y se ha convocado a los municipios y entidades de la región metropolitana. Más adelante se ampliará a otras ciudades de todo el país.



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Bolzano: multe consegnate solo online sulla piattaforma “SEND”: CTCU e Difesa Civica chiedono consegne semplici e gratuite

Date of article: 02/12/2025

Daily News of: 05/12/2025

Country:  Italy - Bolzano

Author:

Article language: it

Il Comune di Bolzano, grazie ai fondi del PNRR, comunica di aver aderito a “SEND”, una nuova piattaforma digitale realizzata da PagoPA S.p.A., che a partire da dicembre 2025 consentirà la notifica online di atti ufficiali, tra cui multe, tributi e altre comunicazioni ufficiali.

Il Centro Tutela Consumatori Utenti (CTCU) accoglie con favore ogni azione che renda più efficiente e sicura la notifica degli atti. Tuttavia, l’Associazione esprime forti preoccupazioni per la potenziale discriminazione a danno di quei cittadini che non hanno accesso al digitale, in particolare molte persone anziane.

Secondo il nuovo sistema, infatti, gli atti verranno recapitati soltanto in formato digitale attraverso la piattaforma SEND. Anche chi non dispone di strumenti digitali non riceverà più il verbale della contravvenzione tramite raccomandata AR, ma dovrà prima ricevere un link sempre tramite posta, per poi recarsi fisicamente presso un cd. “punto di ritiro SEND” (attualmente sulla piattaforma per Bolzano sono indicati cinque CAF) per ottenere una copia cartacea dell'atto notificato. Successivamente, il cittadino dovrà recarsi in un altro ufficio per il pagamento. Questo processo comporta un significativo dispendio di tempo e risorse.

A ciò si aggiunge una problematica legata ai costi aggiuntivi: sulla piattaforma SEND è indicato che ogni stampa di tributo o multa avrà un costo di 1,40 euro. Non risulta chiaro al momento se verranno applicati costi ulteriori.

“Per questo motivo”, così la Direttrice del Centro Tutela Consumatori Utenti, Gunde Bauhofer, “abbiamo chiesto al Comune di Bolzano che predisponga dei punti di consegna gratuita delle notifiche comunali, suggerendo a tal proposito le sedi dei centri civici”.

Per quanto riguarda i problemi operativi del nuovo sistema di recapito degli atti amministrativi (piattaforma di notifica SEND), la Difesa civica della Provincia di Bolzano è in contatto anche con colleghi di altre regioni e con il coordinamento nazionale dei Difensori civici delle regioni e province autonome italiane.

Le difficoltà segnalate riguardano in particolare:
•    l'accessibilità e la comprensibilità delle comunicazioni per i cittadini e le cittadine, che sono meno familiari con la digitalizzazione;
•    l'assenza di garanzie di ricezione tempestive in caso di problemi tecnici o di notifiche mancanti;
•    la difficoltà di reperire informazioni chiare da parte delle amministrazioni mittenti e dal gestore della piattaforma.

Alla luce delle possibili ripercussioni a livello nazionale e dell'importanza del diritto alla difesa e alla partecipazione dei cittadini, la coordinazione discuterà nel suo prossimo incontro se avviare un dialogo istituzionale con il Ministero, al fine di approfondire il funzionamento del servizio e valutare eventuali proposte di miglioramento.

L'obiettivo comune del Centro Tutela Consumatori Utenti e della Difesa Civica di Bolzano è contribuire a garantire un giusto equilibrio tra innovazione digitale e tutela efficace dei diritti dei cittadini.

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