Schulbegleitung: Landessozialgericht folgt dem Bundessozialgericht und erklärt Kehrtwende in Rechtsprechung

Date of article: 22/02/2017

Daily News of: 23/02/2017

Country:  Germany - Schleswig-Holstein

Author: Regional Ombudsman of Schleswig-Holstein

Article language: de

Nachdem sich das Bundessozialgericht bereits Anfang Dezember 2016 (B 8 SO 8/15 R) er-neut dahingehend positioniert hatte, dass der Kernbereich pädagogischer Arbeit der Schule nicht nach den schulrechtlichen Vorschriften des jeweils betroffenen Landes, sondern bun-deseinheitlich durch Auslegung des SGB XII zu bestimmen sei, hat sich dieser Rechtsauf-fassung nun auch das Schleswig-Holsteinische Landessozialgericht...
Read: Schulbegleitung: Landessozialgericht folgt dem Bundessozialgericht und erklärt Kehrtwende in Rechtsprechung

Wirral council asked to reconsider school transport decisions for children with special educational needs

Date of article: 23/02/2017

Daily News of: 23/02/2017

Country:  United Kingdom - England

Author: Local Government Ombudsmen for England

Article language: en

Disabled children who had their specialist transport to school taken away from them are to have their cases reconsidered following an investigation by the Local Government Ombudsman (LGO).

The children, who attend a variety of schools in the Wirral area, had all received school transport before Wirral Metropolitan Borough Council wrote to their parents telling them they would no longer receive help getting to school because they were no longer eligible.

The families of the four children involved in the LGO investigation appealed to Wirral council, and provided evidence supporting their children’s eligibility for transport. This was either because of mobility issues or health and safety problems brought on by the nature of their special educational needs.

In three cases the council refused to provide transport, and in one case it changed the transport it offered, despite none of the children’s circumstances changing from when the council had provided support.

In one case a teenager who has autism and other difficulties was told instead of getting a taxi funded by the council, he should get to school via a route which involved walking for a mile down a partly unlit route, catching a train and then getting on a bus. This, despite the fact the boy’s conditions mean he has a significantly reduced awareness of danger and a problem with loud noises.

In another case a boy whose autism and moderate learning difficulties mean he is in receipt of the higher rate mobility Disability Living Allowance (DLA) was told he would no longer receive a seat on a minibus to take him to school.

In this case the boy’s consultant had told the council that, due to his disability, he would refuse to walk. The council said the boy had no mobility problems, but provided no evidence that he could actually walk to school.

The Ombudsman’s investigation found problems with the way the original decisions were made and how the subsequent appeals were considered by the council. The letters sent to parents following their appeals failed to explain why their supporting evidence was not sufficient to show they needed transport.

Michael King, Local Government Ombudsman, said:

“The way the council went about removing school transport in these cases caused distress to the families involved. These children were more acutely affected by a sudden change to their routines because of their special educational needs, and the parents could not understand why their level of support had changed, when their circumstances had not.

“In future if the council intends to apply its school transport policy in a different way, it needs to be more transparent in explaining this to families, and clearly evidence the decisions it comes to.

“However I am pleased Wirral council has agreed to reconsider the families’ cases and now urge it to carry out its reviews swiftly and robustly. I have also asked the council to consider whether other families were affected by the faults we identified.”

The council has agreed to apologise to all four families and provide them with a financial remedy. This is in recognition of the time and trouble they went to in bringing their complaints to the Ombudsman and to acknowledge the additional costs they incurred as they had a legitimate expectation their child would receive transport for the whole of the remaining school year.

The council has also agreed to make new transport decisions for three of the four families involved in the complaint. One family has already had the transport reinstated. It will review the decisions made on the additional nine appeals identified during the investigation, which it refused. The council will also review its school transport appeal procedure.

Read more

Le Défenseur des droits présente son rapport d’activité

Date of article: 23/02/2017

Daily News of: 23/02/2017

Country:  France

Author: National Ombudsman of France

Article language: fr

Edito du Défenseur des droits, Jacques Toubon

LE DROIT EST UN COMBAT

"2016 a confirmé que le Défenseur des droits, 5 ans après son entrée en fonctions en juin 2011, est une institution de la République à la fois jeune, montant en puissance, et reconnue, apte à exercer une influence au service de l’effectivité des droits et de la promotion de l’égalité.

Notre activité a crû sensiblement, qu’il s’agisse de demandes reçues, de dossiers traités tant par les délégués territoriaux que par l’équipe centrale, ou du nombre d’interventions.

La convention des délégués, deuxième du genre, a montré le rôle important de notre réseau territorial pour faire face aux difficultés d’accès au droit, rôle reconnu par les élus comme par les administrations.

Le déménagement de notre siège, remarquablement mené, n’a pas ralenti le rythme de notre action.

Nos interventions nous ont permis de déposer davantage d’observations devant les juridictions – avec des succès notables comme l’arrêt de la Cour de cassation sur les contrôles d’identité et de lourdes décisions d’indemnisation en faveur de salariés discriminés – et de participer, par avis et par auditions, à de nombreux travaux parlementaires, législatifs ou de contrôle. Nos recommandations générales, nos rapports, nos études, ont constitué autant de propositions de réforme pour le progrès du droit.

Pour autant, et le présent rapport y est largement consacré, l’accès au droit a tendance à reculer dans notre pays.

La grande enquête en population générale réalisée au printemps dernier, dont nous exploitons désormais les résultats détaillés, le démontre amplement. Le non-recours au droit est un phénomène majeur dans notre société. Il s’explique par un certain retrait du service public et particulièrement une réduction des fonctions d’accueil, d’orientation et d’assistance, au profit de procédures numérisées. C’est ainsi que le Défenseur des droits se trouve chargé de rendre effectifs les droits des publics les plus vulnérables, en particulier les plus pauvres, âgés ou handicapés, qui subissent encore davantage ce recul du service public.

Plus profondément, les inégalités entre individus et groupes produisent elles-mêmes ce phénomène de non-recours. On le voit en particulier en ce qui concerne la lutte contre les discriminations. Dans la réalité, elles perdurent ; une proportion réduite de celles et ceux qui les subissent les ressentent comme telles, et un nombre encore plus faible s’adresse à l’une des voies de recours ouvertes par le droit positif.

La faiblesse des politiques publiques de lutte contre les discriminations depuis des décennies n’est pas étrangère à la méconnaissance des réalités et à l’ignorance des procédures. L’intervention, en toute fin de quinquennat, de la loi Égalité et citoyenneté, et les avancées contenues dans la loi de modernisation de la justice, auxquelles le Défenseur des droits a fortement contribué, n’auront pas permis de rattraper le retard. Et d’autant moins que la conduite de la lutte contre les discriminations au sein de la politique de la ville est sûrement une avancée pour les quartiers prioritaires, mais semble laisser en jachère une véritable action de lutte contre les discriminations en tous lieux, pour toutes et pour tous.

L’actualité terrible de 2016 a également conduit le Défenseur des droits à se prononcer sur l’équilibre entre les exigences de la sécurité et le respect des garanties des libertés fondamentales. Au fil des cinq lois prorogeant l’état d’urgence et des projets législatifs et constitutionnels destinés à prévenir et à poursuivre le terrorisme, j’ai montré comment nombre de dispositions restreignaient nos libertés publiques et individuelles, déplaçaient la frontière entre l’autorité judiciaire et la police administrative, et au total affaiblissaient l’état de droit que je persiste à considérer comme la meilleure réponse à l’entreprise terroriste.

La « crise des migrants », comme l’écrivent improprement les journaux, retient l’attention du Défenseur des droits depuis qu’il a été mis en place. Dès 2012, Dominique Baudis était à Calais et, pour ma part, j’ai diligenté en juin et juillet 2015 une mission sur place qui a permis de publier le 6 octobre suivant le rapport documenté sur la situation des droits fondamentaux dans l’aire de Calais.

À la suite d’un travail d’analyse de plus d’une année, nous avons, le 9 mai 2016, publié le rapport « les droits fondamentaux des étrangers en France ». Et entretemps, plusieurs recommandations portant sur la prise en charge des mineurs étrangers, et spécialement des mineurs non accompagnés, ont mis en lumière les défaillances des autorités européennes et françaises dans l’application des droits des étrangers et des migrants.

Si j’ai accordé tant d’attention à la situation des mineurs non accompagnés, notamment ceux qui ont été évacués de Calais et des campements parisiens, c’est qu’elle illustre parfaitement les manquements de la République au titre d’au moins trois missions du Défenseur des droits : les droits fondamentaux des enfants en vertu de la Convention internationale, les insuffisances dans le fonctionnement des services publics, et le traitement discriminatoire des étrangers et des migrants dans des circonstances où, au mépris des droits universels, leur qualité d’étranger est prise en considération avant leur qualité d’usager, de malade, d’enfant, de demandeur d’emploi ou de logement.

Dans ce domaine comme dans les autres, l’année 2016 nous l’a encore démontré : dans un pays où l’égalité reste un objectif encore non atteint, l’effectivité des droits peine à être assurée et d’autant plus que les tentations de repli, de refus d’appartenance, et le recul de l’esprit républicain, s’installent chaque jour davantage.

Le Défenseur des droits doit donc, à la fois, répondre scrupuleusement à la demande sociale et participer à un combat pour le droit, par l’éducation, la formation, la recherche et la communication.

Le rapport d’activité pour 2016 décrit exhaustivement ce que nous sommes et ce que nous faisons en assumant cette double vocation.

Expert, exact, indépendant et libre, le Défenseur des droits n’est pas pour autant neutre et indifférent. L’institution de la République que nous sommes doit être un acteur de la réforme afin que l’objectif d’égalité se réalise peu à peu au service de toutes les vies dans notre pays."

Jacques Toubon

 

Read more

El Síndic pide rigor al Ayuntamiento de Pals en el abordaje de las intervenciones urbanísticas, de acuerdo con criterios demográficos y medioambientales

Date of article: 22/02/2017

Daily News of: 23/02/2017

Country:  Spain - Catalonia

Author: Regional Ombudsman of Catalonia

Article language: es

Recomienda al consistorio y al Departamento de Territorio que excluyan los sectores del Paratge de Rodors, Els Jonquers e Interpals de cualquier acción urbanística

Sugiere que se reduzcan drásticamente en el POUM el número de viviendas, las alturas de las edificaciones y, en general, la densidad en zonas de pinares

La institución ha recibido 447 quejas que alertan sobre las afectaciones medioambientales derivadas del actual texto del POUM

Hay que tomar medidas políticas, normativas y de transparencia para preservar la sostenibilidad del territorio 

El Síndic de Greuges de Cataluña, Rafael Ribó, ha dirigido algunas recomendaciones al Ayuntamiento de Pals (Baix Empordà) y al Departamento de Territorio y Sostenibilidad de la Generalitat de Cataluña. La resolución es el resultado de la investigación llevada a cabo sobre los proyectos urbanísticos previstos para la zona, principalmente la aprobación del Plan de Ordenación Urbanística Municipal (POUM), que han sido motivo de un buen número de quejas.

Sobre la base del principio de cautela que rige en materia de medio ambiente, y para prevenir daños que después sean irreparables, el Síndic ha recomendado a las administraciones mencionadas que preserven del desarrollo urbanístico los sectores del Paratge de Rodors, Els Jonquers  e Interpals.

El Síndic recuerda también que uno de los límites de la discrecionalidad municipal en materia de planeamiento es la preservación del medio ambiente, en tanto que es considerado de interés supralocal.

A excepción de algunas áreas muy concretas dentro del núcleo existente de Platja de Pals, prácticamente la mayoría de sectores urbanizables que incorpora el POUM de Platja de Pals se ubicarían en zonas con hábitats de interés comunitario, algunos de los cuales son prioritarios, como es el caso de las dunas litorales fijadas por pinares. Esto, junto con el hecho de que las consideraciones ambientales que realiza el POUM para estos sectores no garantizan la conservación de dichos hábitats, pondría en grave amenaza el medio natural de la zona. Además, se contravendrían las directrices de conservación y mejora que la Generalitat de Cataluña ha dictado para estos hábitats.

Rafael Ribó también ha reclamado que en el POUM se reduzca drásticamente el número de viviendas previstas, las alturas de las edificaciones y, en general, la densidad en los sectores que contengan zonas de dunas con pinos o pinares mediterráneos.

Más allá de la protección del medio ambiente, el Síndic señala que los criterios demográficos que fundamentan la previsión de vivienda que contempla el POUM para los próximos doce años no se ajustan a la tendencia decreciente que han mostrado la población de Pals, del Baix Empordà y de las comarcas gerundenses desde 2009.

El Síndic ha recibido 447 quejas que alertan sobre las afectaciones medioambientales que se producirían de aprobarse definitivamente el texto del POUM que está elaborando Pals. El 28 de enero de 2015 el Ayuntamiento aprobó inicialmente su nuevo POUM, que tendrá una vigencia de doce años. Se prevé la construcción de 2.479 viviendas nuevas en el término municipal, de las que aproximadamente 1.700 pueden afectar zonas de dunas con pinos o pinares mediterráneos, declaradas por la Generalitat hábitats de interés comunitario (HIC) prioritario. Estos HIC se dan únicamente en cuatro localizaciones en Cataluña: el Delta del Llobregat, las riberas del Baix Ter, el litoral del Baix Empordà y el Montgrí- Medes-Baix Ter. Por este motivo, su grado de amenaza es de 3 puntos sobre una escala de 4.

Por otra parte, el Síndic denuncia que al mismo tiempo el Ayuntamiento está tramitando una modificación del Plan general de ordenación urbana de 1986 y cuatro planes derivados, que permitirán la urbanización de estos sectores antes de que la Comisión de Urbanismo de Girona apruebe definitivamente el POUM. En este sentido, ya se han ejecutado trabajos de tala y de vertido de tierras en alguna parcela en relación a los cuales el Ayuntamiento no ha ejercido sus competencias en materia de protección de la legalidad urbanística.

Según afirma el Síndic, este no es un caso aislado y son numerosos los proyectos urbanísticos con tintes especulativos en todos los rincones de Cataluña que han sido denunciados por la ciudadanía por su posible impacto sobre el medio ambiente. En opinión del Síndic, para combatir este fenómeno emergente son necesarias medidas políticas, normativas y de transparencia que preserven la sostenibilidad del territorio.

Read more

El Tribunal Constitucional afirma que no procede el pago de plusvalía municipal si hay pérdidas

Date of article: 23/02/2017

Daily News of: 23/02/2017

Country:  Spain

Author: National Ombudsman of Spain

Article language: es

El Defensor del Pueblo ha acogido con satisfacción la reciente sentencia del Tribunal Constitucional (TC) que afirma que no procede el pago de plusvalía municipal si hay pérdidas.

Dicha sentencia comparte el fundamento de dos recomendaciones dirigidas en 2015 por la institución al Ministerio de Hacienda y Administraciones Públicas sobre este asunto. En concreto, pidió modificar los artículos 104 a 110 del Real Decreto Legislativo 2/2004, que aprueba el Texto Refundido de la Ley Reguladora de las Haciendas Locales, para acomodar la base imponible y liquidable del Impuesto sobre el Incremento del Valor de los Terrenos de Naturaleza Urbana, a la obtención de una plusvalía real.

Asimismo, el Defensor del Pueblo recomendó que se crearan exenciones al pago del impuesto en aquellos casos en que no hubiera incremento en el valor del terreno, en aplicación del principio de capacidad contributiva y de la inexistencia del hecho imponible.

Como apuntaba el Defensor del Pueblo en sus escritos a la administración, existe un doble límite en la aplicación de los tributos: el constitucional que impide el gravamen de riquezas meramente virtuales o ficticias, y el legal, que impone la cuantificación de la base imponible mediante la valoración económica del hecho imponible sometido a gravamen.

Al tratarse de un impuesto objetivo, su aplicación siempre da un resultado a ingresar a la Administración, aunque los terrenos que generan la obligación tributaria se hayan despreciado. En esta circunstancia no existe manifestación de capacidad económica que pueda ser gravada por un impuesto.

Además, la sentencia ha recordado que “no caben en nuestro sistema tributos que no recaigan sobre alguna fuente de capacidad económica”. Un argumento que también defendió la Institución cuando formuló sus recomendaciones, que recordó que “como consecuencia de las correcciones que han sufrido los valores inmobiliarios desde el año 2008, muchas ponencias reflejan valores que no se corresponden con el valor que se podría obtener por dichos inmuebles en el mercado”.


DOCUMENTACIÓN RELACIONADA

27/04/2015. Recomendación para acomodar la plusvalía municipal a la capacidad económica de los sujetos pasivos

25/06/2014. Nota de prensa. La Defensora valora que la reforma fiscal elimine la plusvalía municipal en los casos de dación en pago 

Read more