What you need to know about the EU’s Fundamental Rights Charter

Date of article: 23/10/2018

Daily News of: 24/10/2018

Country:  EUROPE

Author:

Article language: en

English
What you need to know about the EU’s Fundamental Rights Charter
23/10/2018
To guide national law and policy makers on how to best use the EU’s Fundamental Rights Charter, the European Union Agency for Fundamental Rights has just published a handbook.
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La Institución participa en las Jornadas de Coordinación de Defensores del Pueblo

Date of article: 24/10/2018

Daily News of: 24/10/2018

Country:  Spain - Canary Islands

Author:

Article language: es

El Diputado del Común, Rafael Yanes, y las adjuntas, Milagros Fuentes y Beatriz Barrera, están participando durante esta semana en las Jornadas de Coordinación de Defensores del Pueblo en Alicante, con el fin de abordar temas de tal relevancia social como la protección de mujeres y menores víctimas de la violencia de género

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La valedora aborda con todos los defensores del pueblo la protección a las mujeres y a los menores víctimas de violencia de género

Date of article: 22/10/2018

Daily News of: 22/10/2018

Country:  Spain - Galicia

Author:

Article language: es

La valedora participa junto con los defensores del pueblo de toda España  el 23 y 24 de octubre en las XXXIII Jornadas Anuales de coordinación de defensores que se celebran en Alicante y que versan sobre violencia de género, más concretamente sobre la atención que reciben mujeres y menores víctimas de esta violencia.

Las Jornadas de Coordinación de Defensores del Pueblo suponen la principal cita del año para las defensorías en su trabajo a favor de los derechos de las personas. La organización es rotativa y en esta ocasión correspondió al Síndic de Greuges de la Comunitat Valenciana.

En el acto de inauguración, a lo que asistirá la valedora, intervendrán el president de Les Corts Valencianes, Enric Morera i Català, el defensor del pueblo de España, Francisco Fernández Marugán y el síndic de greuges de la Comunitat Valenciana, José Cholbi Diego.

Mª Ángeles Carmona, presidenta del Observatorio contra la Violencia de Género del Consejo General del Poder Judicial ( CGPJ) impartirá la conferencia inaugural que versará sobre los retos del Pacto de Estado contra la Violencia de Género y la aplicación de las medidas que recoge este acuerdo que fue aprobado por mayoría en el Congreso hace ahora un año.

A continuación, Jorge Cardona, miembro español del Comité de Derechos del Niño de la ONU, centrará su exposición en la intervención y red de recursos para atender la menores víctimas de violencia de género.

La sesión del día 23 de octubre se completa con otros dos conferencias, una de ellas a cargo de la fiscal de Violencia de Género y portavoz de la Fiscalía de Valencia, Susana Gisbert, que lleva como título Las víctimas de la violencia de género y otra impartida por el profesor de Psicología en la Universidad de Deusto, Felix Loizaga, que pondrá el foco en los estilos de apego y vínculos emocionales en menores víctimas de violencia intrafamiliar.

Durante la mañana de 24 de octubre, se celebra una mesa redonda en la que participan representantes de diferentes defensorías para poner en común las conclusiones extraídas y acordar una declaración conjunta. Esta declaración de las defensorías se trasladará a las diferentes administraciones implicadas con la finalidad de lograr mayor protección y mejor atención la cada una de las víctimas de violencia de género.

Actualmente, además del Valedor do Pobo de Galicia y de la institución del Defensor del Pueblo estatal, funcionan otras ocho defensorías autonómicas, todas ellas presentes en estas jornadas en rerpesentación del País Vasco, Andalucía, Navarra, Canarias, Aragón, Castilla y León, Cataluña, y Comunidad Valencciana.

El año pasado la organización correspondió al Valedor do Pobo. Las defensorías se citaron en el Parlamento de Galicia para afrontar sus retos ante a implantación de la transparencia en la administración.

Programa de las XXXIII Xornadas de Coordinación de Defensores del PuebloSp

 

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Proximité, accès au droit, libertés individuelles : une loi de programmation et une réforme de la Justice perfectibles

Date of article: 21/10/2018

Daily News of: 22/10/2018

Country:  France

Author:

Article language: fr

Depuis le mardi 9 octobre 2018, le Sénat étudie le projet de loi de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice. Lors des travaux en commission des lois, les sénateurs ont auditionné Jacques Toubon, Défenseur des droits, dont les observations figurent dans l’avis n°18-22 adressé aux parlementaires.

 

Favoriser l’accès au droit du justiciable

Le Défenseur des droits s’inquiète que la suppression des tribunaux d’instance et du statut du juge d’instance, chargé de la protection des plus vulnérables, contribue à éloigner l’usager de l’accès au droit. Ces tribunaux traitent actuellement des matières touchant les personnes les plus fragiles (mesures de protection, surendettement, baux d’habitation …), ils sont géographiquement proches des justiciables, faciles à saisir, peu coûteux et jugent dans des délais raisonnables.

Afin de conserver une justice de proximité et d’éviter la création de « déserts de droit », il est nécessaire de renforcer le maillage territorial formé par les auxiliaires de justice (avocats, notaires, huissiers, etc.), les associations et les institutions (CDAD, points d'accès au droit, maisons de justice et du droit, etc.).

L’importante dématérialisation envisagée risque également de faire reculer l’accès au droit des usagers, le Défenseur des droits recommande donc la conservation d’une voie alternative papier pour saisir les juridictions et le renforcement d’un accueil téléphonique. De la même manière, la dématérialisation de la procédure, l’absence d’audience et le recours à la visioconférence ne doivent pas être imposés si le justiciable s’y oppose.

Enfin, le Défenseur des droits approuve les mesures tendant à favoriser la voie du règlement amiable mais il recommande l’introduction de garanties afin que l’échec éventuel de la médiation ne pénalise pas les parties dans les étapes suivantes du litige. Le droit à un recours effectif et le droit à un procès équitable étant des droits fondamentaux[1], les procédures de règlements amiables ne doivent pas empêcher les parties d’exercer leur droit d’accès au système judiciaire.

 

Simplifier la procédure ne doit pas porter atteinte à l’accès au juge

Le Défenseur des droits s’inquiète de la « déjudiciarisation » et du manque d’indépendance qu’entraînerait la gestion, par les organismes débiteurs des prestations familiales, de la révision des contributions à l’éducation et à l’entretien des enfants (CEEE), car ces organismes sont directement intéressés par le montant des prestations.

La suppression de la tentative de conciliation des époux par le juge dans le cadre de la procédure de divorce risque, quant à elle, de porter atteinte aux droits des enfants concernés. Cette phase de conciliation est, en effet, indispensable pour rappeler aux parents les droits et obligations afférents à l’exercice de l’autorité parentale et permettre au juge de s’assurer que le mineur a été informé de son droit à être entendu, afin de faire valoir ses intérêts.

 

Ne pas réduire le contrôle de l’autorité judiciaire

L’élargissement du champ d’application des techniques spéciales d’enquête, qui sont des mesures particulièrement intrusives, à tous les crimes ne peut se faire que si le magistrat du siège continue à jouer le rôle de garant de la protection des libertés individuelles dans la procédure.

Le contrôle de l’autorité judiciaire sur les agents exerçant des missions de police judiciaire doit être maintenu car il est une garantie essentielle du respect des obligations déontologiques qui incombent aux fonctionnaires de police et de gendarmerie. Le renouvellement de la durée de la garde à vue doit également rester sous le contrôle de l’autorité judiciaire.

 

Garantir le respect des droits fondamentaux des personnes privées de liberté

Le Défenseur des droits regrette que le projet de construction de nouvelles places de prison reporte à 2022 le moratoire sur l’encellulement individuel car cela entrave le droit des personnes détenues à être placées seules en cellule.

Il déplore également le flou qui entoure la réforme du régime de motivation des peines d’emprisonnement qui permet actuellement la mise en œuvre du principe d’individualisation des peines et garantit la bonne compréhension, par le condamné, des motifs conduisant à l’adoption de la peine. Il serait souhaitable d’adopter une règle générale imposant la motivation des peines, en matière correctionnelle et criminelle.

 

[1] Consacrés par les articles 47 de la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne et 6-1 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’Homme et des libertés fondamentales.

 

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GKV-Versichertenentlastungsgesetz: Bürgerbeauftragte sieht Schritt in die richtige Richtung

Date of article: 19/10/2018

Daily News of: 22/10/2018

Country:  Germany - Schleswig-Holstein

Author:

Article language: de

Der Bundestag hat gestern (Donnerstag) die Rückkehr zur paritätischen Finanzierung der gesetzlichen Krankenversicherung und angemessenere Beiträge für Selbständige mit geringem Einkommen beschlossen. „Die Änderungen werden viele Versicherte spürbar entlasten“, sagte die Bürgerbeauftragte des Landes Schleswig-Holstein, Samiah El Samadoni, dazu heute in Kiel. Es seien jedoch weitere Maßnahmen nötig, um die Beiträge für alle Versicherten gerechter zu gestalten.

Aktuell zahlen Beschäftigte den Zusatzbeitrag zur Krankenversicherung allein. Nach dem gestern verabschiedeten GKV-Versichertenentlastungsgesetz müssen die Arbeitgeber ab dem 1. Januar 2019 die Hälfte des Zusatzbeitrages übernehmen, so dass die Beiträge insgesamt wieder paritätisch finanziert werden. „Gerade die Arbeitgeber profitieren von einem starken Gesundheitswesen und sollen daher finanziell die gleiche Verantwortung tragen wie die Versicherten“, hob El Samadoni hervor. Die Rückkehr zur paritätischen Finanzierung sei daher vor allem symbolisch ein starkes Signal.
Viel wichtiger sei aber insgesamt eine gerechte Berechnung der Krankenkassenbeiträge. „Selbständige müssen Beiträge auf der Grundlage eines fiktiven Einkommens zahlen“, erläuterte die Bürgerbeauftragte. Aktuell unterstelle das Gesetz ein Mindesteinkommen von 2.283,50 Euro, selbst wenn die tatsächlichen Einkünfte deutlich geringer seien. „Die Mindestbeiträge für die Kranken- und Pflegeversicherung belaufen sich für Selbständige zurzeit auf ungefähr 340 Euro im Monat. Viele Versicherte können das schlicht nicht zahlen“, so El Samadoni. Zudem müssten zusätzlich noch die Pflegeversicherung und eine Altersvorsorge finanziert werden.
Nach der Gesetzesänderung ist für hauptberuflich Selbständige mit geringen Einkünften künftig die Hälfte des bisherigen Krankenkassenbeitrags durchsetzbar. Der Mindestbeitrag liegt dann bei circa 170 Euro im Monat. „Die Änderung ist ein Schritt in die richtige Richtung. Erforderlich ist aber eine faire Beitragsberechnung für alle Versicherten“, betonte die Beauftragte. Nicht nur Selbständige, sondern auch Studierende oder Menschen im Ruhestand seien häufig mit den Beiträgen überfordert. „Das fiktive Mindesteinkommen sollte für alle freiwillig Versicherten auf
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450 Euro abgesenkt werden, statt es nur für Selbstständige auf etwa 1.140 Euro zu reduzieren“, empfahl El Samadoni. „Oberhalb dieser Grenze sollten konkret einkommensbezogene Beiträge in Ansatz gebracht werden, möglicherweise auch ohne eine Beitragsbemessungsgrenze.“ Es sei schwer vermittelbar, weshalb Menschen mit geringen Einkünften prozentual deutlich höhere Beiträge zahlen müssten als Topverdiener.

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