Amendes routières : le Médiateur fédéral demande davantage de transparence

Date of article: 31/01/2020

Daily News of: 31/01/2020

Country:  Belgium

Author: Federal Ombudsman of Belgium

Article language: fr

une voiture entre une zone 30

Avec www.amendesroutieres.be, il est devenu possible de payer une amende routière online. Mais, lors de son lancement début 2018, le site a connu de nombreux couacs. Certaines personnes ont payé, à tort, leur amende deux fois ou un montant trop élevé et elles devaient être remboursées.

Il y a un an, le Médiateur fédéral demandait au SPF Justice, responsable du site internet, de rembourser au plus vite toutes les personnes concernées.

Rembourser au plus vite

La situation n’est plus la même qu’il y a un an. Certains problèmes ont été résolus. Un nombre important de remboursements ont été effectués et les citoyens qui versent un montant trop élevé sont désormais remboursés plus rapidement. Le nombre de plaintes auprès du Médiateur fédéral a d’ailleurs baissé.

Mais, à l'heure actuelle, 5 000 personnes restent toujours dans l’attente, ce qui n’est pas admissible.

Informer de manière transparente

Le Médiateur fédéral constate qu’en plus d’attendre le remboursement, les personnes concernées ne reçoivent aucune information claire sur l’avancement de leur dossier.

Catherine De Bruecker, médiatrice fédérale : « Les personnes ne sont pas informées, elles ne savent pas quand elles seront remboursées ni pourquoi cela prend autant de temps. Elles perdent confiance en l’administration. Les citoyens font volontiers preuve de compréhension, à condition qu’ils connaissent les raisons du retard et sachent quand une solution y sera apportée. La transparence peut éviter bien des plaintes. »

Ve, 31/01/2020 (Toute la journée)
31/01/2020 (Toute la journée)
31/01/2023 (Toute la journée)

5.000 personnes attendent toujours le remboursement d’une amende routière qu’elles ont payée par erreur. Certains attendent depuis 2018. Le Médiateur fédéral demande au SPF Justice de les rembourser au plus vite. Il demande aussi que tous les citoyens qui rencontrent un problème lors du paiement d’une amende routière reçoivent de l’aide et qu’ils soient informés de manière transparente du suivi de leur dossier.

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El Ararteko Concluye Su Actuación Sobre Los Problemas De Seguridad Que Pudiera Generar Para Las Víctimas El Traslado Del Juzgado De Violencia Sobre La Mujer De Vitoria-gasteiz

Date of article: 31/01/2020

Daily News of: 31/01/2020

Country:  Spain - Basque Country

Author: Regional Ombudsman of the Basque Country

Article language: es

El ararteko Manuel Lezertua asiste hoy a la inauguración de las nuevas instalaciones junto con la consejera de Trabajo y Justicia Mª Jesús San José y el presidente del Tribunal Superior de Justicia Juan Luis Ibarra.
 
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Beatriz Barrera y Nieves Hernández impulsan la coordinación entre ambas instituciones

Date of article: 30/01/2020

Daily News of: 31/01/2020

Country:  Spain - Canary Islands

Author: Regional Ombudsman of the Canary Islands

Article language: es

La consejera de Acción Social, Igualdad, Diversidad y Juventud del Cabildo Insular de La Palma, Nieves Hernández, ha mantenido un encuentro y primera toma de contacto formal con la adjunta Especial de Igualdad y Violencia de Género de la Diputación del Común, Beatriz Barrera.

Hernández y Barrera coincidieron en destacar la buena disposición de las instituciones que representan, para tra...

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Retraite des auto-entrepreneurs : le Défenseur des droits se félicite de la décision de la Cour de cassation rétablissant un usager dans ses droits vis-à-vis de la CIPAV

Date of article: 29/01/2020

Daily News of: 29/01/2020

Country:  France

Author: National Ombudsman of France

Article language: fr

Saisi par un auto-entrepreneur sur les modalités de détermination des droits à la retraite complémentaire des auto-entrepreneurs mises en œuvre par la CIPAV (caisse interprofessionnelle de prévoyance et d'assurance vieillesse des professions libérales) qui gère les retraites des auto-entrepreneurs exerçant une profession libérale non réglementée, le Défenseur des droits a formulé des observations auprès de la Cour d’appel de Versailles puis de la Cour de cassation.

Le régime des auto-entrepreneurs, aujourd’hui micro-entrepreneurs, a été institué en 2008 pour favoriser le développement du petit entreprenariat. A notamment été mis en place un forfait social permettant aux personnes optant pour ce régime de s’acquitter de manière simplifiée de cotisations sociales réduites, pour une couverture sociale équivalente à celle des travailleurs non-salariés « classiques » : professionnels libéraux, artisans ou commerçants.

L’Etat a prévu de compenser la perte de recette en résultant pour les caisses de Sécurité sociale concernées. Cette mesure ne permettant pas de compenser l’intégralité de la perte pour les caisses, la CIPAV a décidé unilatéralement de minorer les droits des auto-entrepreneurs dans le régime de retraite complémentaire, sans aucun fondement juridique ne l’y autorisant.

Concrètement, pour le calcul de leurs droits dans le régime de retraite complémentaire, la CIPAV a assimilé les auto-entrepreneurs aux professionnels libéraux classiques qui, lorsque leurs revenus sont faibles, peuvent demander une réduction de leurs cotisations en sachant que celle-ci aura pour effet de réduire le nombre de points de retraite attribués.

L’auto-entrepreneur qui ne formule pas une telle demande et auquel il n’a jamais été dit qu’il aurait des droits à la retraite minorés, peut légitimement s’attendre à ce que ses droits soient déterminés selon les mêmes principes que ceux applicables aux professionnels libéraux classiques non demandeurs d’une réduction de cotisations.

C’est ce qu’a fait observer le Défenseur des droits au cours de la procédure ayant opposé le réclamant à la CIPAV.

Il a donc pris connaissance avec satisfaction de la décision rendue le 23 janvier 2020 par la Cour de cassation, qui ouvre l’espoir, pour des milliers d’auto-entrepreneurs, d’un rétablissement de leurs droits dans le régime de l’assurance vieillesse complémentaire.

 
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Daventry District Council fails to tackle industrial noise complaint properly

Date of article: 29/01/2020

Daily News of: 29/01/2020

Country:  United Kingdom - England

Author: Local Government Ombudsmen for England

Article language: en

Some homeowners on a new housing development in the Daventry area have been plagued by excessive noise from a nearby industrial estate because the district council has not done enough to investigate their concerns, the Local Government and Social Care Ombudsman reports.

The Ombudsman was asked to investigate the concerns after a resident made a complaint about the council’s handling of the case. The resident lives on a development of around 200 houses on the edge of the council’s area. To the south of the development is an industrial estate with several businesses which operate 24 hours a day.

After moving to the development, the man and his neighbour reported regular concerns including noise from vehicles, tannoy announcements and people shouting at unsociable times in the night or early morning. The council also received several complaints from other residents from the development.

The Ombudsman’s report found the council’s decision to close its noise investigation was not made properly. The Ombudsman is not satisfied the council took proper account of all the evidence gathered during its investigations – including that from its own officers, one of whom suggested at one point the homes were ‘not in a state reasonably to be lived in’. The council also failed to carry out investigations in the way it said it would and those investigations were subject to delay.

The Ombudsman also found the council took into account unproven assumptions or irrelevant factors in making its decision. For example, consistently saying the man and his wife must have an ‘undue sensitivity to noise’ despite having no evidence for that statement. 

Michael King, Local Government and Social Care Ombudsman, said:

“The family in this case have been left distressed by both the situation they found themselves in and the council’s response.

“We do not know whether the council can now do anything to prevent the noise the family and their neighbours have repeatedly contacted it about, but there is enough evidence to suggest this might be possible.

“I am therefore disappointed that, despite making repeated efforts to get the council to agree to remedy this complaint, it has repeatedly refused to acknowledge its faults.

“I now call upon Daventry District Council to carry out my recommendations and work with both experts and local residents to see if there are measures that can be put in place to mitigate the problems these people face.”

The Local Government and Social Care Ombudsman’s role is to remedy injustice and share learning from investigations to help improve public, and adult social care, services. In this case the council should apologise to the resident, accept the findings of the investigation and agree the terms of reference for appointing an independent noise consultant with no previous experience of the complaint.

It should also confirm in writing it will meet the resident once the noise consultant’s report is finalised to discuss its findings. It should then put in writing its response to the report setting out what it plans to do.

Additionally, it should set aside £3,600 to be either split between the resident and his neighbour or put towards providing noise mitigation works the consultant might recommend.

Article date: 29 January 2020

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