When:11 May 2021

COFACE Disability platform

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External event

FRA will be one of the keynote speakers during a webinar on triggering meaningful inclusion of people with disabilities, their families and their carers. The COFACE Disability platform hosts the event.

At the event, they will also launch a European collection of good practices. It builds on COFACE’s guide on meaningful inclusion of people with disabilities. The webinar will take place on 11 May.

El Defensor del Pueblo andaluz y la Clínica Legal de la Facultad de Derecho de la Universidad de Sevilla han firmado hoy un protocolo de colaboración en el marco del programa de prácticas del alumnado. El protocolo de colaboración lo han firmado el Defensor del Pueblo andaluz, Jesús Maeztu, y el decano de la Facultad de Derecho de la Universidad de Sevilla, Alfonso Castro.

Según recoge el texto del protocolo, la colaboración se adaptará a las necesidades y posibilidades de actuación de ambas instituciones y podrá concretarse, por ejemplo, en la elaboración de informes o dictámenes jurídicos que recojan el resultado del estudio llevado a cabo en relación a la demanda planteada por el Defensor del Pueblo; la elaboración de protocolos de actuación ante la violación de derechos, o la elaboración de guías divulgativas de derechos y deberes, entre otras actividades.

Asimismo, la colaboración entre el Defensor del Pueblo andaluz y la Clínica Legal de la Facultad de Derecho de la Universidad de Sevilla podrá desarrollarse en la participación en congresos, jornadas y seminarios tanto nacionales como internacionales sobre derechos fundamentales; la elaboración de textos formativos y cualquier otro material que sirva para el aprendizaje de la metodología clínica; o la realización de acciones formativas e informativas, tales como seminarios, talleres de trabajo, jornadas o cualquier otra que sirva a los objetivos de las partes, entre otros trabajos que atiendan a los objetivos comunes de las partes.

El protocolo de colaboración firmado hoy desarrolla el convenio suscrito con la Universidad de Sevilla el 29 de septiembre de 2020 sobre cooperación educativa para la realización de prácticas académicas externas curriculares en la institución del Defensor del Pueblo Andaluz por los estudiantes matriculados en cualquier enseñanza impartida por la misma.

n un recente incontro, la direttrice del centro Tutela Consumatori dell’Alto Adige Bauhofer e la Difensora civica Morandell hanno fatto un bilancio dell’anno caratterizzato dalla pandemia: “Importante aver mantenuto il contatto con la cittadinanza, continuando a garantire una valutazione indipendente dei reclami”.

In un anno in cui molte cose che erano date per scontate sono andate perse, la Difesa civica e il Centro Tutela Consumatori e Utenti hanno adempiuto ai loro compiti per la cittadinanza con ancora più impegno e dedizione, e tuttavia garantendo la massima "normalità" possibile a cittadini e cittadine in cerca di aiuto. Questa è la conclusione cui sono giunte Gunde Bauhofer, direttrice del CTCU dell'Alto Adige, e Gabriele Morandell, Difensora civica provinciale, durante un recente confronto.

"Nel 2020, la quotidianità è stata limitata in vari modi: soprattutto in questa situazione, per noi era, anzi, è diventato ancora più importante, garantire che i reclami della cittadinanza venissero valutati da sedi indipendenti, e che non si interrompesse l'importante contatto con la popolazione", così Morandell e Bauhofer.

Per l'anno 2021, il Centro Tutela Consumatori e Utenti e la Difesa civica si sono anche posti alcuni obiettivi comuni, che intendono perseguire insieme: tra le altre cose, entrambe le istituzioni ritengono importante esaminare più da vicino la legalità delle imposte attualmente applicate ai trasferimenti digitali alle autorità pubbliche (PagoPA) e sostenere i benefici automatici per le famiglie bisognose nel caso di  bollette dell'elettricità, del gas e dell'acqua, nonché eliminare altre ambiguità in vigore.

Lo scambio e il sostegno reciproco in vari ambiti sono considerati molto importanti da entrambe le istituzioni, che intendono promuoverli anche in futuro.

Les personnes âgées, y compris celles en situation de perte d’autonomie ou de handicap, jouissent des mêmes droits et libertés que l’ensemble de la population. Pourtant, la Défenseure des droits est régulièrement saisie de réclamations portant sur des restrictions de droits et libertés des personnes accueillies en (EHPAD). Elle est encore davantage interpellée à ce sujet depuis le début de la crise sanitaire liée à l’épidémie de la Covid-19.

900 réclamations dénonçant les conditions et modalités d’accompagnement médico-social ont été adressées au Défenseur des droits ces six dernières années. 80%^[1] de ces dossiers mettaient en cause un EHPAD.

L’examen de ces réclamations montre, de manière récurrente, des atteintes aux droits fondamentaux, au respect de la dignité et de l’intégrité des personnes accueillies en EHPAD. Ces saisines questionnent en particulier l’effectivité :

• du principe du libre choix, du consentement éclairé et du droit à l’information de la personne accueillie ;
• du droit à une prise en charge et à un accompagnement adaptés ;
• du droit à la santé ;
• de la liberté d’aller et venir ;
• du droit à la vie privée, à l’intimité et au maintien des liens familiaux ;
• du droit à la propriété ;
• du droit au recours effectif et à la protection.

De telles atteintes aux droits et libertés des résidents, qui sont facilitées voire rendues possibles par la vulnérabilité liée à la perte d’autonomie des personnes accueillies en EHPAD, sont constitutives de maltraitance et de discrimination.

Pour la Défenseure des droits, la justification des atteintes aux droits par des

comportements individuels des personnels des EHPAD ne doit pas masquer les atteintes plus nombreuses issues du manque de moyens humains et des carences en matière d’organisation qui ne permettent pas aux professionnels d’accompagner les résidents comme ils le souhaiteraient. Une pénurie de personnel, une rotation importante, l’épuisement des équipes, un manque d’encadrement sont, en effet, souvent constatés.

Les droits et les libertés des résidents ne peuvent pas être la variable d’ajustement face au manque de moyens et de personnels au sein des EHPAD

Par ailleurs, la crise sanitaire liée à la pandémie de la Covid-19 a mis en lumière des défaillances déjà constatées par la Défenseure des droits concernant plus particulièrement le droit au maintien des liens familiaux, la liberté d’aller et venir et le non-respect du consentement des résidents.

Les difficultés préexistantes en matière de coordination des soins, d’articulation entre le secteur médico-social et le secteur sanitaire, n’ont été qu’accentuées et davantage mises en exergue par la pandémie.

Les personnes âgées accueillies en EHPAD ont été identifiées comme étant particulièrement vulnérables à la Covid-19, notamment en raison de leur âge et des pathologies ou comorbidités possibles qu’elles peuvent présenter. Ce constat a conduit les autorités à organiser une protection accrue pour ces personnes par l’adoption de mesures restrictives rigoureuses, dérogatoires au droit commun, hors cadre normatif spécifique.

Ce rapport formule 64 recommandations en vue d’améliorer la prise en charge des personnes accueillies en EHPAD et d’assurer l’effectivité de leurs droits, parmi lesquelles 13 recommandations spécifiques à la situation de crise sanitaire.

[1] 45% des dossiers concernaient un EHPAD à statut public, 30% des dossiers concernaient un EHPAD privé associatif et 25% d’entre eux concernaient un EHPAD privé commercial.

 Rapport - Les droits fondamentaux des personnes âgées accueillies en EHPAD

OVG-Entscheidung umfassend umsetzen - Einschränkungen für geimpfte Einreisende zurücknehmen

Das Oberverwaltungsgericht (OVG) in Greifswald hat in einer Entscheidung vom Freitag klargestellt, dass ein geimpfter Zweitwohnungsbesitzer wieder nach Mecklenburg-Vorpommern einreisen und sich hier aufhalten darf. Dazu erklärte der Bürgerbeauftragte des Landes Matthias Crone:

„Das Gericht hat eine schnellstmögliche Neuregelung der Corona-Landesverordnung gefordert. Diese Neuregelung sollte nicht nur auf die geimpften Zweitwohnungsinhaber zielen. Auch andere Gruppen leiden unter dem Ausschluss: Gartenpächter, Dauercamper, Bootsbesitzer, enge Freunde oder entfernte Verwandte, die einen Besuch machen möchten. Die Landesregierung sollte mit der Neuregelung die Einreise zumindest für alle geimpften Personen erlauben und sie in ihre normalen Rechte wieder einsetzen. Einschränkungen von Grundrechten müssen zurückgenommen werden, sobald es keine Rechtfertigung mehr für sie gibt.“

Der Bürgerbeauftragte verwies darauf, dass von vollständig Geimpften laut RKI praktisch keine Ansteckungen ausgehen: „Das gilt nicht nur bei Zweitwohnungsinhabern. Die anstehende Neuregelung ist eine gute Gelegenheit, das pauschale Einreiseverbot insgesamt noch einmal genau zu überprüfen. Es ist ohnehin grundrechtlich bedenklich und bundesweit kaum verständlich. Was man rechtlich nicht begründen und inhaltlich nicht mehr erklären kann, muss geändert werden. Es hat ja für den Infektionsschutz noch nie Sinn gemacht, das Rentnerehepaar aus dem kleinen Haus am See in das große Mietshaus nach Berlin auszuweisen.“

Der Bürgerbeauftragte hatte aufgrund einer Rekordzahl von Eingaben und Beschwerden wiederholt vor einem pauschalen landesweiten Einreiseverbot aus anderen Teilen Deutschlands gewarnt und auf wachsende Irritationen hingewiesen. Den Einwohnern Mecklenburg-Vorpommerns werden Besuche außerhalb des Landes hingegen erlaubt.