Litigating for equality: Join our AI legal clinic for equality bodies!

Date of article: 02/02/2022

Daily News of: 10/02/2022

Country:  EUROPE

Author: European network of equality bodies - EQUINET

Article language: en

This training is aimed at equality bodies’ staff involved in AI-related litigation or generally interested in AI.
 

Register here by 11 February Concept Note & Agenda
 

The expansion and diversification in the uses of AI systems across Europe has led and will continue to lead to numerous legislative developments at both European and national levels. In this context, strategic litigation is essential to give direction to these developments. The history, mandate, and powers of European national equality bodies (NEBs) makes them uniquely well placed to undertake such test and strategic litigation. Thus, one of the central recommendations of Equinet’s Report “Regulating for an Equal AI: a New Role for Equality Bodies” states that Equinet’s members should consider bringing, supporting, or funding litigation that challenges discriminatory technology.
 

To equip our members with the relevant tools to engage in strategic litigation, Equinet invites its members to participate in a novel, capacity-building opportunity on AI which builds upon the knowledge base created by our first training in April. This training will take the form of a legal advice clinic, providing concrete guidance on real-life cases submitted by NEBs. Dee Masters, an experienced equality and AI litigator and co-author of the Equinet Report on AI, will act as the clinic’s expert adviser.

 



TRAINING OBJECTIVES
 

  • To provide tailored support to equality bodies in identifying and assessing problematic AI practices that could give rise to equality litigation at the national level;
  • To develop example litigation strategies for two real-life cases submitted by equality bodies;
  • To identify and clarify ways for fostering the involvement of relevant national stakeholders, such as civil society organisations and national regulators, in pursuing AI-related equality litigation for the identified case.

 



FORMAT
 

In the four weeks leading up to the training: All NEBs staff are invited to engage in discussions about the key steps in AI litigation in the Forum section of Equinet’s dedicated AI website.  Available to anyone – registration to the training not needed.
 

8 February: Individual consultations between the case submitters and our legal advisor, Dee Masters, will be held. In the plenary sessions on 17-18 February, all training participants, together with Dee Masters, will collectively learn about the most important aspects of litigation and develop a strategy for the two real-life cases. Available to NEBs who submitted their cases.
 

17-18 February (10:00 – 12:00 CET): Live Sessions & Plenary to discuss the results of these case-based consultations. Available to all  training registrants. 

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(AOMF - Belgium) Migration : pour un statut légal spécifique pour les parents d’enfants reconnus réfugiés

Date of article: 07/02/2022

Daily News of: 07/02/2022

Country:  WORLD

Author: Association des Ombudsmans et Médiateurs de la Francophonie

Article language: fr

– Médiateur Fédéral de la Belgique –

 



Les petites filles menacées de mutilations génitales et qui ont fui leur pays sont reconnues réfugiées en Belgique. Elles bénéficient d’une protection contre un retour forcé au pays, mais pas nécessairement leurs parents. À l’aube de la Journée internationale de la tolérance zéro à l’égard des mutilations génitales féminines ce 6 février, nous avons adressé une recommandation à la Chambre des représentants. Chaque enfant a droit à une vie de famille.

Les enfants qui ont fui leur pays avec leurs parents car ils sont menacés d’une grave violation de leurs droits fondamentaux ont droit, en Belgique, à une protection internationale. Mais en raison d’un changement de politique de l’administration et d’une lacune dans la loi belge, leurs parents ne peuvent plus bénéficier de la même protection.



Des parents sans statut

Auparavant, la Belgique donnait automatiquement un statut de protection dérivé aux parents des enfants reconnus réfugiés. Le Commissariat général aux réfugiés et aux apatrides (CGRA) a toutefois changé sa politique. Depuis avril 2019, les parents qui accompagnent leurs enfants ne reçoivent plus le même statut, sauf s’ils sont eux-mêmes menacés.



Selon le CGRA, lorsqu’il s’agit de mutilations génitales féminines, ce ne sont pas les parents qui craignent des persécutions, mais leur enfant. Les parents doivent désormais passer par une procédure distincte et demander une régularisation.



Insécurité et précarité

Par l’intermédiaire de l’ASBL GAMS, Groupe pour l’Abolition des Mutilations Sexuelles Féminines, une mère Guinéenne d’une fille menacée d’excision dans son pays et reconnue réfugiée a fait appel à nous. Elle a dû attendre la décision sur sa demande de régularisation pendant 8 mois, sans aucun droit de séjour ni de travail en Belgique. Son dossier n’avait pas pu être identifié comme celui de la mère d’un enfant reconnu réfugié.

À notre demande, le CGRA et l’Office des étrangers ont depuis lors mis en place un système d’identification pour traiter ces demandes de régularisation rapidement. La procédure de régularisation n’offre néanmoins aucune garantie. Elle exige souvent un document d’identité, une preuve de filiation et le paiement d’une redevance de 366€. Des obstacles importants pour certains parents.



Jérôme Aass, médiateur fédéral : « Le CGRA et l’Office des étrangers mettent tout en œuvre pour éviter que l’enfant ne soit séparé de ses parents. Mais, dans l’attente d’une décision sur leur demande, les parents ne bénéficient d’aucun statut. Ils n’ont aucun document de séjour, ne peuvent pas travailler, n’ont pas de revenus et se retrouvent parfois dans l’insécurité et la précarité la plus complète. Un enfant doit avoir ses parents à ses côtés et pouvoir mener une vie de famille. Ce droit ne peut pas dépendre de la gestion d’un dossier administratif. »



L’accord de gouvernement prévoit notamment de garantir la sécurité juridique et d’éviter les incohérences dans la loi relative aux étrangers. La commission chargée du Code de la migration, initiative du Secrétaire d’État à l’Asile et la Migration, examine actuellement comment clarifier les textes de la loi et améliorer les procédures.

Nous recommandons à la Chambre des représentants de combler la lacune dans la loi relative aux étrangers en créant un statut spécifique pour les parents d’enfants reconnus réfugiés.

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Queja registrada en la oficina de la Valedora por la discriminación de la lengua y la cultura gallegas en una manifestación de su música tradicional, a la vista de la valoración del jurado profesional designado por TVE en el Benidorm Fest

Date of article: 07/02/2022

Daily News of: 07/02/2022

Country:  Spain - Galicia

Author: Regional Ombudsman of Galicia

Article language: es

En la oficina de la Valedora do Pobo se ha registrado una queja por la discriminación de la lengua y la cultura gallegas, en una manifestación de su música tradicional, a la vista de la valoración del jurado profesional designado por TVE en el Benidorm Fest para la selección de artista que representará a España en el Festival de Eurovisión.


En consideración a que dicha queja se refiere a actuaciones de la Corporación de Radio y Televisión Española, S. A, se ha remite a esa institución, en cumplimiento de lo dispuesto en los artículos 2.3 de la Ley 36/1985, de 6 de noviembre, y 16.3 de la Ley autonómica 6/1984, de 5 de junio.


Esta institución es conocedora del desacuerdo de la práctica totalidad de la ciudadanía gallega que ha seguido este proceso de selección del representante de TVE en el Festival de Eurovisión con el resultado de las votaciones, tanto durante la semifinal como durante la final del Benidorm Fest y la abierta discrepancia en el sentido del voto popular y el del jurado profesional.


Desde esta institución se ha participado al Defensor del Pueblo que esta discrepancia ha producido numerosas reacciones de incomprensión y rechazo por lo que los criterios del proceso de selección son valorados negativamente.

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(IOI - Latin America) 5. Reporte semanal “Derechos humanos en perspectiva internacional”

Date of article: 07/02/2022

Daily News of: 07/02/2022

Country:  WORLD

Author: International Ombudsman Institute

Article language: es

Les hacemos llegar el 5. Reporte Semanal de “Derechos Humanos en Perspectiva Internacional” elaborado por el Programa de Observación y Asistencia para el Fortalecimiento de las Defensorías del Pueblo, que forma parte de la Unidad de Política Institucional de la Defensoría del Pueblo de la Ciudad Autónoma de Buenos Aires (Argentina).


El reporte semanal ofrece un repaso para conocer la labor diaria de las Instituciones de Derechos Humanos de la región América Latina. Esperamos les sea de utilidad para conocer la labor diaria de las Instituciones de Derechos Humanos de la región.


Asimismo, les compartimos el Link del subsitio del Programa, donde podrán acceder a todas las publicaciones realizadas y más información.

 

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Bürgerbeauftragter fordert klare, einheitliche und verständliche Kommunikation der Corona-Regeln

Date of article: 07/02/2022

Daily News of: 07/02/2022

Country:  Germany - Thuringia

Author: Regional Ombudsman of Thuringia

Article language: de

Angesichts der aktuellen Diskussion um eventuelle Anpassungen der Corona-Regeln wies der Bürgerbeauftragte des Freistaats Thüringen am 07.02.2022 in einer Pressemitteilung darauf hin, dass die jeweils geltenden Regelungen den Bürgerinnen und Bürgern auch transparent und verständlich kommuniziert werden müssen. Dr. Kurt Herzberg erklärte deshalb am Montag:


„Ich fordere die Landesregierung dringend auf, die aktuellen Verhaltensregeln und Beschränkungen transparent und verständlich zu kommunizieren. Viele Bürgerinnen und Bürger wissen gar nicht, ob eine Veranstaltung – beispielsweise ein Treffen der Eltern eines Kindergartens – überhaupt möglich ist bzw. welche Regeln hier einzuhalten sind.


Ein Problem dabei ist, dass in Thüringen ab heute die inzwischen Vierte Änderungsverordnung der Infektionsschutz-Maßnahmeverordnung in Verantwortung des Sozialministeriums gilt und daneben die Allgemeinverfügung des Thüringer Bildungsministeriums. Außerdem spielen Bundesrecht und - zum Teil unterschiedliche - kommunale Regelungen eine Rolle. Hier verlieren die Menschen den Überblick.


Wer sich im Internet informiert, findet das Corona-Informationsportal des Freistaats und daneben auf den Seiten des Gesundheits- und Bildungsministeriums je eigene Darstellungen von dem, was aktuell gilt. Hier braucht es dringend einen einheitlichen Informationskanal. Wer will, dass sich die Menschen an die Regelungen halten, muss einheitlich, verständlich und transparent informieren. Dabei besteht in Thüringen noch deutlicher Verbesserungsbedarf.“

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