La désinformation et la haine à l’encontre des Juifs ont prospéré sur l’internet tout au long de la pandémie de COVID-19 et de l’invasion de l’Ukraine par la Russie. Pourtant, le recensement des incidents antisémites reste insuffisant dans toute l’Europe. Chaque pays collecte les données différemment, et certains n’en collectent aucune. Cette situation entrave les efforts visant à lutter efficacement contre l’antisémitisme, comme l’atteste la dernière vue d’ensemble annuelle des incidents antisémites produite par l'Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA).

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« L’antisémitisme reste un problème grave dans nos sociétés. La pandémie de coronavirus et l’agression de la Russie contre l’Ukraine ont encore alimenté cette haine », déclare Michael O’Flaherty, directeur de la FRA. « Sans données adéquates, nous ne pouvons espérer être efficaces pour lutter contre des incidents antisémites qui ne datent pas d’hier. Il est grand temps que les pays de l’UE intensifient leurs efforts pour encourager le signalement et améliorer le recensement, afin de mieux lutter contre la haine et les préjugés à l’encontre des Juifs. »

La dernière vue d’ensemble annuelle de la FRA souligne les points suivants :

• Des lacunes subsistent en matière de collecte de données – la plupart des pays de l’UE n’enregistrent pas efficacement les incidents antisémites, pas plus qu’ils ne collectent de données officielles complètes. Certains pays (Hongrie et Portugal) ne collectent aucune donnée officielle, ce qui entrave les comparaisons entre les pays.

• Antisémitisme en ligne – la désinformation et l’antisémitisme en ligne ont augmenté à la suite de la pandémie et de l’invasion de l’Ukraine. Dans certains pays (Autriche, Finlande), la plupart des incidents enregistrés ont eu lieu en ligne.
• Stratégies nationales — Seuls 14 pays de l’UE disposent de stratégies ou de plans d’action nationaux dédiés pour lutter contre l’antisémitisme. Huit pays élaborent actuellement de tels plans et stratégies.
• Définition de l’IHRA — Un nombre croissant de pays utilisent la définition opérationnelle de l’antisémitisme élaborée par l’Alliance internationale pour la mémoire de l’Holocauste (IHRA) dans les domaines de l’éducation, de la formation et de la sensibilisation.

• Cette vue d’ensemble de la FRA examine les données émanant de sources internationales, gouvernementales et non gouvernementales dans tous les États membres de l’UE, ainsi qu’en Albanie, en Macédoine du Nord et en Serbie. Elle rassemble des données recueillies entre le 1er janvier 2011 et le 31 décembre 2021.

  La FRA poursuit ses travaux sur l’antisémitisme. En 2023, l’agence réalisera sa troisième enquête sur la discrimination et les crimes de haine à l’encontre des Juifs. En outre, elle publiera les conclusions de son projet sur le harcèlement en ligne, les discours de haine et l’incitation à la violence contre les femmes et les minorités ethniques. Cela inclut les contenus antisémites en ligne.

  Pour plus d’informations, veuillez contacter : media@fra.europa.eu / Tél. : +43 1 580 30 653

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The event report written by Valentina Stoeva, European Ombudsman staff member and contact person for the Network, is now available at the event page.

You will also find other supporting documents (such as several of the presentations used by speakers).

Volksanwältin Gaby Schwarz sowie die Volksanwälte Bernhard Achitz und Walter Rosenkranz präsentierten dem steirischen Landtag die Prüfergebnisse der Volksanwaltschaft aus den Jahren 2020 – 2021 und diskutieren mit den steirischen Landtagsabgeordneten den Bericht der nachprüfenden Verwaltungskontrolle.

Die beiden Berichtsjahre standen auch für die Volksanwaltschaft unter den besonderen Vorzeichen der COVID-19-Pandemie. Viele Bürgerinnen und Bürger kontaktierten die Volksanwaltschaft nicht nur mit konkreten Beschwerden über die Verwaltung in Österreich, zahlreiche Fragen und Unsicherheiten ergaben sich aus den sich immer wieder ändernden COVID-19-Regelungen. Insgesamt wandten sich in den Berichtsjahren 2020 – 2021 mehr als 41.500 Menschen mit einem Anliegen an die Volksanwaltschaft, was einen Anstieg der Beschwerden um 26 Prozent gegenüber den Jahren 2018 – 2019 bedeutet. Davon betrafen 685 Beschwerden die steirische Landes- oder Gemeindeverwaltung. 204 der Beschwerden fielen in den Bereich Raumordnung, Wohn- uns Siedlungswesen, Baurecht, Verwaltung landeseigener Gebäude und Liegenschaften sowie von Landesfonds – gefolgt von 192 Beschwerden im Bereich Mindestsicherung und Jugendwohlfahrt.

Durch seine Landesverfassung hat das Land Steiermark die Volksanwaltschaft dazu berufen, die Verwaltung des Landes und der Gemeinden zu kontrollieren. Über ihre Tätigkeit berichtet die Volksanwaltschaft alle zwei Jahre an den Landtag.

„Es ist wesentlich, dass wir in Österreich mit der Volksanwaltschaft über ein unabhängiges Organ verfügen, welches sein Hauptaugenmerk auf den Schutz und die Förderung von Menschenrechten richtet und der Bevölkerung als gesetzlich abgesicherte Ansprechstelle zur Verfügung steht. Die Jahre 2020 und 2021 haben natürlich einen großen Schwerpunkt, die Corona Pandemie, die uns alle vor große Herausforderungen gestellt hat. Auch für die Volksanwaltschaft war es sicherlich keine einfache Aufgabe, denn durch die gesundheitsschützenden Maßnahmen konnte die Arbeit – die ja für gewöhnlich eigentlich möglichst nahe den Bürgerinnen und Bürgern ist – nicht in gewohnter Form gemacht werden. Daher danke ich, dass es dennoch gelungen ist, die eingehenden Beschwerden aufnehmen zu können und dass die Ohren für die Bevölkerung stets geöffnet waren“, so die steirische Landtagspräsidentin Manuela Khom.

In einer gemeinsamen Pressekonferenz mit dem Landtag Steiermark zeigten die Mitglieder der Volksanwaltschaft exemplarisch einige Wahrnehmungen der letzten beiden Jahre auf, die in der Presseunterlage sowie im Bericht nachgelesen werden können.

Une réunion de travail a récemment permis au Médiateur et à ses collaborateurs de rencontrer les agents gestionnaires des réclamations en première ligne au sein des différentes Directions générales du Service public de Wallonie (SPW).

Dans un premier temps, les responsables de la nouvelle Direction de l’Optimisation et des relations usagers ont présenté les missions de leur nouveau service, lesquelles s’inscrivent dans un objectif plus général et prioritaire de mettre l’usager au cœur de l’action de l’administration.

Les participants ont ensuite échangé leur expérience à propos de la collaboration entre le Service du Médiateur et les différentes DG et plus précisément entre leurs collaborateurs. De manière générale, tous s’accordent à conclure que les échanges sont fluides et positifs afin que le traitement des réclamations soit le plus rapide et surtout, le plus constructif possible.

Il est important que chaque citoyen confronté à une difficulté, une insatisfaction dans ses relations avec le SPW puisse trouver facilement une voie pour l’aider dans le dédale administratif. Que ce soit en première ligne, au sein des DG du SPW ou en seconde ligne auprès du Médiateur, toutes les personnes concernées ont pour objectif de répondre aux insatisfactions des citoyens/usagers de l’administration le plus rapidement et le plus complètement possible. Et une bonne collaboration y contribue clairement.

Der inklusive Arbeitsmarkt stand im Mittelpunkt der Beratungen der Behindertenbeauftragten von Bund und Ländern in Erfurt. Sie fordern verstärkte Anstrengungen, Impulse und Instrumente für die Erreichung dieses Ziels.  

Dazu Matthias Crone: „Die Entwicklung auf dem allgemeinen Arbeitsmarkt ist auch in Mecklenburg-Vorpommern seit vielen Jahren positiv. Eine Entwicklung, die bei den Menschen mit Behinderung noch stärker ankommen muss. Dazu können und sollen auch die Werkstätten für Menschen mit Behinderung beitragen. Sie leisten bei uns im Land wertvolle Arbeit. Sie haben es in der Hand, dass mehr Inklusionsbetriebe entstehen und Betroffene mehr in sozialversicherungspflichtige Beschäftigung kommen und dort verbleiben“.