Se trata de la tercera edición del Foro de Derechos Ciudadanos, constituido para profundizar sobre los derechos emanados de nuestro Estatuto de Autonomía

Zaragoza, 21/06/22 A lo largo de la tarde de hoy, ha tenido lugar en el Palacio de la Aljafería la tercera edición del Foro de Derechos Ciudadanos, dedicado en este 2022 al Derecho a la Educación, recogido en el Art. 21 de nuestro Estatuto de Autonomía.

En el encuentro han participado 48 inscritos de forma presencial en la Sala Goya de la sede de las Cortes de Aragón y más de 80 en seguimiento on line.

De estos últimos, destaca la participación de docentes de 19 universidades españolas; todos ellos especialistas en educación, pedagogía y derecho administrativo y constitucional.

En la primera sesión, moderada por el Secretario General de la Fundación, José Tudela, los ponentes han desarrollado diferentes puntos de vista del ejercicio del derecho a la edición; Fernando Gurrea, Consejero de Educación de la Embajada de España en Francia y ex Subsecretario del Ministerio de Educación ha realizado un repaso a la legislación educativa y, a su vez, los modelos de prestación del servicio público de educación: público y concertado, han centrado la intervención de Carlos Vidal, Catedrático de Derecho Constitucional de la UNED.

En la segunda mesa, moderada por el Asesor Responsable de la Institución en Tutela del Ordenamiento Jurídico, Javier Olivan, se han analizado las dificultades que para el acceso pleno a la educación tienen determinados ciudadanos, bien por sus especiales necesidades o por las características de su lugar de residencia.

“La brecha territorial: escuela rural” y “Problemas escolares con medios digitales en las escuelas con especial dificultad” han sido expuestos por Pilar Abós y Begoña Vigo, profesoras de Ciencias de la Educación de la Universidad de Zaragoza; y “La brecha educativa para personas con discapacidad” ha sido desarrollada por Laura Larriba, Trabajadora Social y miembro de la Plataforma de Familias de Personas con Discapacidad en Aragón

El Foro de Derechos Ciudadanos nació del interés del Justicia de Aragón, Ángel Dolado, por contribuir con una nueva iniciativa a la amplia agenda de actividades de la Fundación Manuel Giménez Abad. Se buscó que la temática a abordar fuera el análisis de los derechos reconocidos por el Estatuto; dado que es precisamente la defensa de este, y la defensa de los derechos de los aragoneses las principales funciones de la Institución. En 2019 se trató sobre Salud y en 2021 sobre Medio Ambiente.

Dévoilé le 21 avril 2021, le projet de règlement sur l’intelligence artificielle de la Commission européenne vise à introduire pour la première fois des règles contraignantes pour les systèmes d’intelligence artificielle (IA).

Les outils numériques, dont l’usage s’est considérablement accru avec la crise sanitaire, reposent souvent sur des algorithmes sans que le grand public en soit toujours conscient ou informé. Désormais utilisés dans une grande variété de domaines tels que l’accès aux prestations sociales, la police, la justice ou encore les ressources humaines, ces algorithmes de plus en plus sophistiqués constituent des sources de progrès, mais sont également porteurs de risques pour les droits fondamentaux.

Derrière leur apparente neutralité, des recherches ont mis à jour l’ampleur des biais qui peuvent intervenir lors de leur conception et leur déploiement. Des discriminations issues des traitements algorithmiques ont ainsi été relevées en Europe.

En matière de recrutement, des biais sexistes ont par exemple été repérés dans plusieurs algorithmes utilisés pour trier des CV : ils tendaient à écarter systématiquement les candidatures de femmes. Ces dérives ont été observées dans d’autres secteurs. Par exemple dans le cadre de la lutte contre la fraude aux prestations sociales, des algorithmes notamment de data mining ont ainsi conduit à concentrer les contrôles sur certaines personnes en raison de leur lieu de résidence et de leur situation de famille.

Face au risque d’automatisation des discriminations, le Défenseur des droits relevait dans ses rapports, Algorithmes : prévenir l’automatisation des discriminations de 2020 et Technologies biométriques : l’impératif respect des droits fondamentaux de 2021, que les avancées permises par ces technologies ne sauraient s’effectuer au détriment d’une partie de la population, ni au prix d’une surveillance généralisée.

A l’heure où se dessine une réglementation inédite qui fait l’objet d’intenses débats au Parlement européen, la Défenseure des droits a souhaité rappeler une exigence fondamentale : le droit de la non-discrimination doit être respecté en toutes circonstances et l’accès aux droits rester garanti pour toutes et tous.

Pour cela, le Défenseur des droits publie aujourd’hui un avis intitulé « Pour une IA européenne protectrice et garante du principe de non-discrimination » réalisé conjointement avec Equinet, le réseau européen des organismes de promotion de l’égalité, dont il est membre.

Les recommandations émises dans cet avis s’inscrivent dans la continuité des travaux antérieurs de l’institution en soulignant la priorité de lutter contre les discriminations algorithmiques et insistent sur le rôle que pourraient jouer les organismes de promotion de l’égalité européens dans ce cadre.

Parmi les garanties qui doivent être apportées par le Règlement, l’avis recommande :

1. Faire du principe de non-discrimination une préoccupation centrale dans toute réglementation européenne dédiée à l'IA.
2. Établir dans tous les pays européens des mécanismes de plainte et de recours accessibles et efficaces pour les personnes concernées en cas de violation des principes d'égalité et de non-discrimination ou d’autres droits fondamentaux lorsqu’une telle violation résulte de l’utilisation de systèmes d'IA.
3. Appliquer une approche fondée sur les droits fondamentaux pour définir les notions de « préjudice » et de « risque », et non une approche tirée des régimes de sécurité des produits.  
4. Exiger des analyses d'impact sur l'égalité ex ante et ex post à intervalles réguliers durant l'ensemble du cycle de vie des systèmes d'IA.
5. Assigner des "obligations d'égalité" contraignantes et opposables à tous les concepteurs et utilisateurs d'IA.
6. Rendre la différenciation des risques possible uniquement après une analyse obligatoire de l'impact sur le principe de non-discrimination et les autres droits humains.
7. Rendre effective l’exécution des dispositions du futur règlement sur l’IA en obligeant les nouvelles autorités de surveillance nationales à consulter les organismes de promotion de l’égalité ainsi que les autres institutions compétentes en matière de droits fondamentaux

Rendre obligatoire la mise en place et le financement adéquat de mécanismes de coopération qui permette aux différents organismes impliqués dans l’application du règlement sur l’IA de se coordonner au niveau européen comme national. 

 Avis Equinet sur l'intelligence artificielle et l'égalité

 CP - Défenseur des droits - Intelligence artificielle

The Council of Europe Commissioner for Human Rights, Dunja Mijatović, is hosting a pop-up exhibition to underline the necessity of having the voices of children affected by war heard.

At the inauguration, the Commissioner stated that despite mentions of "never again", the war has been going on for 3 months and "each new day of war aggravates the devastating long-term effects on children in Ukraine and in Europe. We bear the responsibility to hear children’s voices. PACE President, Tiny Kox, praised the Museum's capacity to offer a better understanding of what war is and announced the development of guidelines for states to adopt child protection policies for war-related crises.

The President and Founder of the War Childhood Museum, Jasminko Halilović, asked for stronger European support for the children of Ukraine and expressed hope "that every visitor to this exhibition will be more motivated to demand concrete help with which Ukraine can ensure the safety of its children. The Museum's Ukraine project manager, Svitlana Osipchuk arrived at the opening from Kyiv and delivered an emotional speech, reminding all that two-thirds of children in Ukraine are now directly affected by war. “Please stand by Ukraine and its children,” she concluded.

LISTEN by the War Childhood Museum presents personal belongings and stories of children from Ukraine, but also Bosnia and Herzegovina, and Kosovo*, as well as experiences of child refugees from Afghanistan and Syria. "By recognizing the multilayered consequences of conflicts, we can better understand our responsibility to ensure the safety and wellbeing of all children", says the Commissioner.

The pop-up exhibition LISTEN is presented during PACE summer session from 20 to 24 June 2022 in the lobby of the Hemicycle in the Palais de l'Europe in Strasbourg. It's available in English and French.

The War Childhood Museum – the world’s only museum focused exclusively on childhoods affected by armed conflict – opened its doors in 2017 in Sarajevo. The WCM’s collection today features over 5,000 objects from 16 armed conflicts. With offices in Sarajevo, Kyiv, the Hague, and New York City, and activities centering on research, exhibition, and education implemented in other countries, the WCM is gradually becoming an international platform for all whose childhood has been affected by war. In 2018, the War Childhood Museum received The Council of Europe Museum Prize under the European Museum of the Year Scheme.

* All references to Kosovo, whether to the territory, institutions or population, shall be understood in full compliance with United Nations Security Council Resolution 1244 (1999) and without prejudice to the status of Kosovo.

Respect and care for the elderly is part of a tradition we must never forget. Any form of disrespect and violence, whether physical, psychological or economic, must be prevented before it can happen. Any neglect of the elderly must be publicly condemned, said the Protector of Citizens Zoran Pasalic today, on the occasion of the World Elder Abuse Awareness Day.

The fight against violence against the elderly is not given enough attention, which is why the institution of the Protector of Citizens gives priority in its work to the protection of our fellow citizens who fall into this vulnerable category, emphasized Pasalic and called on the people to report all forms of violence and discrimination.

Sometimes we forget that old age is the inevitable destiny of us all and that only by caring and being dedicated to them do we show that we are a society that deserves to be called humane, pointed out Zoran Pasalic.

Per i ragazzi la possibilità di soffermarsi nella parte esterna dell’istituto penitenziario dove vengono effettuate le attività trattamentali, previste nell’ambito del progetto formativo di “Agricoltura sociale”

Un’esperienza fuori dal comune per alcuni studenti dell’Istituto “Savoia – Benincasa” di Ancona, che hanno avuto la possibilità di visitare l’istituto penitenziario di Barcaglione, accompagnati dal Garante dei diritti, Giancarlo Giulianelli.

I ragazzi ormai da giorni stanno effettuando un percorso di alternanza scuola lavoro presso gli uffici del Consiglio regionale situati a Palazzo delle Marche e durante l’incontro con il Garante è stata prospettata l’ipotesi, poi diventata realtà, di vedere più da vicino alcune attività trattamentali che vengono svolte dai detenuti nella Casa di reclusione anconetana.

A Barcaglione hanno visitato in particolare la parte esterna dell’istituto dove sono situati l’allevamento di ovini, l’orto sociale, l’allevamento di api, la piantagione di olivi e dove vengono effettuate le relative produzioni di formaggio, miele ed olio. Il tutto previsto nell’ambito del progetto formativo di “Agricoltura sociale”.

Per Giulianelli si è trattato di “un momento di confronto che vuole contribuire ad arricchire le conoscenze dei ragazzi in relazione a realtà che non appartengono ai consueti percorsi di formazione”.

Proprio sul versante delle attività trattamentali, che la pandemia aveva in qualche modo condizionato, il Garante ha annunciato nuovi progetti in cantiere, che riguarderanno diversi settori.