Vulnerable families who are part of the convergent social protection scheme are still not receiving the extraordinary support to mitigate the effects of inflation created by Decree-Law 21-A/2023 of 28 March, and the Ombudsman recently renewed her call to the Secretary of State for Public Administration in July for the problem to be resolved.

The law establishes that, among others, households in which one of the members receives the 1st and 2nd family allowances are entitled to the support in question. However, so far this support is only being paid to beneficiaries who receive their family allowance through the Social Security Institute. Those who receive exactly the same family allowance in the 1st and 2nd brackets, but paid by their employers or the Caixa Geral de Aposentações, i.e. those covered by the convergent social protection scheme, have been left out without any justification.

Whilst there is no doubt that these families are entitled to support, the situation only arises from the fact that it is not clear who is responsible for payment in these cases. Thus, although the law stipulates that the support is granted automatically by the social security system, the Social Security Institute claims that it has no data on who these beneficiaries are; the employers and the Caixa Geral de Aposentações, for their part, have no data on who the beneficiaries are.

The Parliamentary Ombudsman Judge Emeritus Joseph Zammit McKeon welcomed the High Commissioner of India to Malta, H.E. Gloria Gangte, on a courtesy visit to the Office of the Ombudsman.

The High Commissioner of India acknowledged Malta’s overall strategic importance in the Mediterranean region. She highlighted Malta’s proximity to Europe, the Middle East, and North Africa, and commended Malta for its initiatives and abilities to forge a like-minded agenda. Emphasising the robust and longstanding bilateral ties between the two countries, she underlined the strong relations that have persisted over the years.

In response, the Ombudsman explained the role and functions of his Office as a Constitutional Institution. He dwelt on the fact that the Office of the Ombudsman does not extend its services only to Maltese or EU country nationals, but also to third country nationals, including persons coming from India.

He informed the High Commissioner for India that the presence in Malta of nationals from India is at present significant indeed.  In fact, there are 15,087 nationals from India holding Single Work Permits, and another 2,104 in possession of Residence Permits.  He assured that the doors of the Office of the Ombudsman are wide open for all TCNs including Indian nationals who have complaints with regard to acts or omissions of the public administration.

The High Commissioner referred to the challenges encountered in the lengthy application processes for Indian nationals. She mentioned ongoing discussions with Identità to streamline these procedures, aiming to ease the bureaucratic complexities faced by the Indian nationals.

Shifting the conversation to human rights, the High Commissioner, drawing on her experience as a former delegate to the UN Human Rights Council, expressed her special interest on the matter.

She acknowledged the Ombudsman’s recent declaration commemorating Human Rights Day. The declaration dealt with Malta’s upcoming challenges and responsibilities, particularly in establishing a National Human Rights Institution (NHRI).

The Ombudsman proposed leveraging his existing constitutional authority to form the NHRI, noting that legislation currently in force aligns with the Paris Principles and with international practices where Ombudsmen in the various countries also as NHRIs.

In conclusions, the Ombudsman expressed his readiness to assist the Indian community in Malta. He underscored the role of diplomatic missions as key stakeholders, representing persons who might not be aware of their rights to access the services of the Ombudsman.

The High Commissioner appreciated the warmth extended by Ombudsman to her and his openness in discussing issues of mutual interests.

La Valedora do Pobo ha participado  hoy en Santiago de Compostela en el acto organizado por EAPN- España en el que se ha presentado la investigación y la guía ‘El Acceso a los servicios esenciales y la participación en la defensa de derechos en las personas mayores en pobreza y riesgo de exclusión social’.

En el acto se han tratado temas como el edadismo, la brecha digital y el nivel socieconómico, que constituyen barreras para la garantía de derechos de las personas mayores.

Ce jeudi 8 décembre, le Défenseur des droits et l’Organisation Internationale du Travail publient le 16e baromètre sur la perception des discriminations dans l’emploi. Cette enquête, qui dresse un panorama des discriminations dans l’emploi, privé et public, interroge un échantillon représentatif de la population active. L’édition 2023 est consacrée aux discriminations envers les personnes atteintes de maladie chronique.

En constante augmentation, les maladies chroniques sont aujourd’hui devenues un enjeu majeur de santé au travail. Alors que la part de la population active atteinte d’une maladie chronique était estimée en 2019 à 15 %, elle devrait atteindre 25 % dès 2025, selon l’Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail. La maladie chronique peut être définie, selon l’Organisation mondiale de la santé, comme une affection de longue durée, souvent associée à une invalidité ou à la menace de complications graves, qui évolue lentement et nécessite une prise en charge pendant plusieurs années. Elle regroupe différents types de maladies comme le diabète, les cancers, le VIH, la dépression chronique, l’endométriose ou encore les maladies cardio-vasculaires. 

Les malades chroniques trop souvent stigmatisés et discriminés au travail

L’enquête montre qu’environ une personne sur six atteintes de maladie chronique (13 %) a été confrontée dans le cadre de l’emploi à une discrimination ou un harcèlement discriminatoire en raison de son état de santé ou de son handicap, contre 3 % pour le reste de la population active. Les personnes ayant une maladie visible ont trois fois plus de risques d’avoir été confrontées à une discrimination ou un harcèlement discriminatoire. De plus, 55 % des personnes malades déclarent avoir vécu une situation de harcèlement moral dans l’emploi.

La maladie chronique reconnue comme un handicap

En France, depuis la loi n°2005-102 du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la maladie chronique est reconnue comme un handicap. Ainsi, les personnes atteintes d’une maladie chronique peuvent bénéficier de la protection juridique offerte aux personnes en situation de handicap contre toutes formes de discrimination. Or, seule une minorité de personnes font les démarches pour obtenir une reconnaissance administrative de la qualité de travailleur handicapé (RQTH).

Les obligations des employeurs

Tous les employeurs, privés comme publics, sont tenus à une obligation « d’aménagement raisonnable » à l’égard des travailleurs en situation de handicap, et donc des travailleurs atteints de maladie chronique. Cela signifie que tout employeur doit prendre les mesures appropriées pour permettre aux travailleurs concernés d'accéder à un emploi ou de conserver un emploi correspondant à leur qualification. La CIDPH précise que le refus d’aménagement raisonnable peut être considéré comme une discrimination à l’encontre d’un travailleur malade chronique ou handicapé. Or, d’après l’enquête, 29% des salariés atteints d’une maladie chronique ne bénéficie pas d’un aménagement alors qu’ils en auraient besoin, et dans près d’un tiers des cas, l’employeur ne suit pas les préconisations de la médecine du travail.

Les discriminations dans l’emploi arrivent rarement seules et s’accompagnent souvent de situations de dévalorisation : remarques ou « blagues » déplacées, sous-occupation, attribution de travail inutile ou sans lien avec les compétences de la personne, dévalorisation injuste du travail, remise en cause de la maladie ou du handicap… Pour mener à bien sa démarche de prévention, l’employeur doit s’appuyer sur un ensemble d’acteurs parmi lesquels la médecine du travail, qui se trouve au centre du dialogue entre l’organisation et le salarié malade. Cependant, l’enquête montre que 47 % des personnes actives malades ont déclaré hésiter à livrer des informations à leur médecin du travail, car ils ne le connaissent pas et ne l’ont pas choisi. Malgré les craintes, les préconisations de la médecine du travail sont généralement bien accueillies par les salariés concernés : 78 % d’entre eux approuvent les recommandations formulées par le médecin.

Les résultats de l’étude appellent donc les acteurs du secteur à se mobiliser. La Défenseure des droits recommande aux pouvoirs publics d’encourager les employeurs, privés comme publics, à mener régulièrement des campagnes internes de sensibilisation et de formation. Elle recommande également de renforcer les dispositions légales en matière de lutte contre les discriminations, et notamment à modifier la définition de la discrimination fondée sur le handicap afin d’y inscrire l’obligation d’aménagement raisonnable dans tous les domaines et secteurs concernés. 

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• Étude - 16e baromètre sur la perception des discriminations dans l'emploi - 2023 (pdf, 847.18 Ko)

El Síndic de Greuges de Catalunya y el Foro de Síndics Locales han firmado un convenio de colaboración
 

La síndica de greuges de Cataluña, Esther Giménez-Salinas, y la presidenta del Foro de Síndics, Síndicas, Defensores y Defensoras Locales de Cataluña, Dolors Vallejo, han firmado esta mañana un convenio de colaboración con la voluntad de avanzar conjuntamente en la defensa decidida de los derechos de las personas. A partir de este objetivo común, y para que sus acciones tengan un mayor impacto, ambas instituciones establecen unas bases de colaboración, cooperación y comunicación mutuas, que puedan derivar en intercambios de información y experiencias.

En el mismo sentido, el convenio recoge también la necesidad de compartir preocupaciones y formaciones, alinear posicionamientos, aprender y generar sinergias que permitan mejorar la atención a la ciudadanía.

Durante el acto de firma, la síndica ha querido destacar el papel de las defensorías locales como el primer escalón de la red de defensa de los derechos de la ciudadanía.

El Foro es una asociación sin ánimo de lucro que reúne a la mayor parte de sindicaturas y defensorías municipales y que tiene por objetivo crear una red de coordinación, información, apoyo, intercambio y asesoramiento entre las diferentes sindicaturas de proximidad.