La Gordofobia a debate y reflexión. Jornada. 22 de septiembre de 2022.

Date of article: 11/09/2023

Daily News of: 13/09/2023

Country:  Spain - Galicia

Author:

Article language: es

El 22 de septiembre tendrá lugar una jornada organizada por la Valedora do Pobo y el Consello da Cultura sobre la nueva manera de discriminación que supone la gordofobia.

 

La medicina, la publicidad o la moda generan discursos poderosos que intentan alcanzar una norma, un canon que, en ocasiones, mutila y produce dolor. Sobre ese dolor que padecen en mayor medida las mujeres, la discriminación por gordofobia y la violencia estética pivota esta jornada sobre un tema de actualidad que muchas personas sufren como una vulneración de sus derechos.

 

Con la confianza en que temas tan importantes como la obesidad y la gordofobia sean de interés y, puedan contribuir a la promoción de políticas públicas más inclusivas y con su foco en la salud y el bienestar de las personas, se propone un debate para profundizar sobre el daño de los prejuicios estéticos corporales y caminar en la promoción de una vida saludable más allá de las modas o los estereotipos patriarcales de belleza,

 

En esta reflexión participarán Covadonga D´lom, autora de Curvy (primer cómic sobre la belleza con curvas); Inma López Silva, miembro del Centro de Documentación en Igualdad y Feminismos; Carme Adán, coordinadora del Centro de Documentación en Igualdad y Feminismos; Rocío Portal, nutricionista; Lucía Trigo, psicóloga; y Teté Delgado, actriz.

 

La actividad tendrá lugar entre las 10 y las 14 h. del viernes 22, en las instalaciones del Consello, en el Pazo de Raxoi. Serán inauguradas por Dolores Fernández Galiño, Valedora do Pobo, y Rosario Álvarez, Presidenta del Consello da Cultura.

 

Puede realizarse aquí la a SOLICITUD DE INSCRIPCIÓN. Las plazas son limitadas, y se precisa confirmación de asistencia por este medio.

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Les droits humains valent aussi pour les hommes seuls qui demandent l’asile

Date of article: 11/09/2023

Daily News of: 13/09/2023

Country:  Belgium

Author:

Article language: fr

Le Centre fédéral Migration Myria, l’Institut fédéral des droits humains (IFDH), le Médiateur fédéral, Unia, le Délégué général aux droits de l’enfant et le Kinderrechtencommissariaat, l’Institut pour l’égalité des femmes et des hommes et le Service interfédéral de lutte contre la pauvreté déplorent la décision d’exclure temporairement les hommes seuls du droit à l’accueil dans le cadre de la procédure d’asile. Cette mesure risque de pousser davantage ces personnes dans des conditions précaires et dégradantes, d’aggraver la problématique du sans-abrisme et de compromettre une procédure d’asile en bonne et due forme. Le problème est d’ailleurs plus fondamental : dans cette crise de l’accueil, le cadre de l’État de droit est négligé. Le gouvernement fédéral opte pour une mesure générale qui enfreint clairement la loi et les droits humains et qui ne respecte aucunement les jugements et les arrêts rendus.

Le droit à la dignité humaine

Les réfugiés qui demandent une protection internationale en Belgique ont droit à l’accueil pendant leur procédure d’asile. Le droit à la dignité humaine est consacré, entre autres, par la Constitution belge et les instruments internationaux relatifs aux droits humains. Pour les personnes exilées , cela signifie en substance « le gîte et le couvert », ainsi qu’un accompagnement. Cela a été établi comme tel dans la loi belge sur l’accueil et dans le droit européen.

Lorsque la Belgique ou un autre État membre n’est pas en mesure de fournir cet accueil dans certaines circonstances, les demandeurs d’asile peuvent exceptionnellement bénéficier d’un soutien financier. En excluant les hommes seuls du droit à l’accueil, même temporairement, les autorités belges choisissent de n’utiliser aucune des options prévues par la loi.

Pas d’accueil pour les hommes : une mesure illégale, mais « temporaire » ?

Vendredi dernier, le gouvernement fédéral a confirmé la mesure annoncée plus tôt, mais a indiqué qu’elle serait « temporaire ». En réalité, cela fait près de deux ans que l’accueil des hommes seuls est très problématique. Actuellement, les hommes seuls doivent attendre des mois avant d’accéder à une place.

Avec cette nouvelle décision, le gouvernement va encore plus loin en n’offrant même plus la perspective d’un accueil dans le cadre d’une mesure générale.

Apparemment, les droits humains ne valent donc pas pour les hommes seuls. Ils doivent vivre dans la rue en attendant une réponse à leur demande d’asile, sans service de base et, désormais, sans perspective d’accueil.

Pas d’accueil pour les hommes célibataires, mais la mesure se limitera-t-elle à cela ?

Les mineurs ont encore accès à l’accueil aujourd’hui, mais on peut craindre qu’à l’avenir, des familles, des enfants et des jeunes hommes célibataires soient eux aussi mis à la rue, comme à l’automne 2022. Ce risque concerne souvent des jeunes dont les autorités doutent qu’ils soient mineurs. Ils sont alors traités comme des adultes et risquent de se voir refuser l’accueil et d’être exposés à de nombreux dangers. Eux aussi ont un profil vulnérable. Lors de la crise précédente, nous avons également remarqué que les différents profils vulnérables sont ainsi mis en concurrence.

Cette crise humanitaire en cours appelle à une action plus substantielle et plus adéquate de la part des autorités.

L’accueil est aussi nécessaire pour une procédure d’asile correcte

Cette décision risque également d’avoir un impact particulièrement négatif sur la procédure d’asile suivie par ces personnes. Pour les demandeurs d’asile, comprendre, préparer et mener à bien leur procédure n’est pas une mince affaire. Leurs déclarations doivent être exactes et précises, sous peine d’être considérées comme non-crédibles. Les éléments de preuve jouent un rôle crucial. Ils doivent être en mesure de présenter tous les documents d’identité dont ils disposent et d’étayer leurs déclarations. Une importante préparation mentale et pratique précède l’audition, avec toute l’incertitude qui l’accompagne. Attendons-nous des demandeurs d’asile qu’ils s’y préparent sans accès à l’information, alors qu’ils doivent se concentrer sur leur survie, l’hébergement, la nourriture, la sécurité, l’hygiène et les soins médicaux ?

L’accueil vise précisément à permettre aux personnes de préparer leur procédure d’asile dans des conditions un peu plus calmes, sûres et encadrées, et d’y revenir par la suite. L’accueil vise également à ce que les demandeurs reçoivent toutes les notifications relatives à la procédure d’asile et qu’ils soient en mesure d’y répondre. Faute d’adresse, ils risquent de ne pas recevoir les notifications relatives à leur procédure, et donc d’être rejetés simplement parce qu’ils ne contactent pas les autorités très régulièrement pour connaître l’état d’avancement de leur procédure.

Atteinte à l’État de droit et au droit à un procès équitable

Les juges qui ont eu à examiner les recours en justice de réfugiés à qui l’accueil avait été refusé n’ont pas manqué de condamner Fedasil et l’État belge. À plus de 7.000 reprises, des tribunaux du travail ont prononcé une condamnation et l’obligation de fournir un toit aux demandeurs de protection internationale. La Cour européenne des droits de l’homme a également prononcé, à plus de 1.000 reprises, des mesures provisoires à l’encontre de la Belgique.

Malgré cela, de nombreux hommes ont dû attendre longtemps avant d’être hébergés, même après une décision de justice.

Dans l’affaire Camara, la Cour européenne des droits de l’homme a condamné la Belgique sur le fond pour non-respect de l’État de droit et du droit à un procès équitable. Dans son arrêt, la Cour a reconnu la situation difficile dans laquelle se trouvait l’État belge et les efforts qu’il avait déjà consentis, mais n’a pas considéré comme raisonnable le délai de plusieurs mois entre la décision de justice imposant l’accueil et l’accueil lui-même.

La Cour s’est exprimée avec fermeté et a fait état d’une « carence systémique des autorités belges d’exécuter les décisions de justice définitives ». Elle a considéré que les autorités belges avaient opposé, non pas un simple retard, mais plutôt un refus caractérisé de se conformer aux injonctions de la juridiction nationale, portant ainsi atteinte à l’essence même du droit à un procès équitable.

La secrétaire d’État et le gouvernement fédéral, sans préoccupation pour cet arrêt, décident à présent d’exclure complètement tous les hommes seuls de l’accueil. Cela va à l’encontre des principes de l’État de droit. En ne respectant pas elles-mêmes les décisions judiciaires, les autorités contribuent à une culture de non-respect et d’indifférence vis-à-vis du droit, qui ne se limite pas au domaine de l’asile et de la migration.

Organisez l’accueil, respectez l’État de droit et honorez vos obligations

En décembre 2022, plusieurs institutions de défense des droits humains tiraient la sonnette d’alarme sur la crise de l’accueil et formulaient de nombreuses recommandations qui restent d’actualité(le lien est externe).

Entre-temps, cela fait presque deux ans que cette crise perdure et les solutions structurelles se font toujours attendre, obligeant les demandeurs d’asile à continuer de dormir à la rue.

Face à l’abandon par les autorités des principes de l’État de droit, huit institutions de défense des droits humains tirent à nouveau la sonnette d’alarme. Elles demandent de toute urgence au gouvernement fédéral de mettre un terme à cette situation illégale et d’agir conformément à l’État de droit et à ses obligations (internationales).

Veillez à ce que les demandeurs d’asile soient accueillis et aient la possibilité de mener leur procédure d’asile dans des conditions correctes. Y compris les hommes seuls.

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Staatenprüfung Österreichs zur Behindertenrechtskonvention durch den UN-Fachausschuss

Date of article: 11/09/2023

Daily News of: 13/09/2023

Country:  Austria

Author:

Article language: de

Im Rahmen einer Pressekonferenz gaben Vertreterinnen und Vertreter der Volksanwaltschaft, der Behindertenanwaltschaft, des Österreichischen Behindertenrates, des Unabhängigen Monitoringausschusses und von Selbstbestimmt Leben Österreich Einblick in die Staatenprüfung Österreichs durch den UN-Fachausschuss für die Rechte von Menschen mit Behinderungen am zweiten Hauptsitz der Vereinten Nationen in Genf.

Seit dem innerstaatlichen Inkrafttreten der UN-Behindertenrechtskonvention am 26. Oktober 2008 müssen Bund, Länder und Gemeinden gleichermaßen die Konvention in Österreich umsetzen. Neben der Verwaltung sind sowohl die Gesetzgebung von Bund und Ländern als auch die Rechtsprechung gefordert, Maßnahmen im Einklang mit der Konvention zu setzen bzw. konventionskonform zu entscheiden. Der Staat muss darüber hinaus regelmäßig dem UN-Fachausschuss für die Rechte von Menschen mit Behinderungen über den Stand der Umsetzung berichten.

Die erste Staatenprüfung Österreichs fand am 2. und 3. September 2013 statt.

Sie wurde von einem aus 18 Expertinnen und Experten aus unterschiedlichen Vertragsstaaten bestehenden UN-Fachausschuss durchgeführt. Im Anschluss an diese erste Überprüfung wurden 23 Handlungsempfehlungen ausgesprochen.

Am 22. und 23. August 2023 folgte die zweite und dritte Staatenprüfung.

Dazu wurde im Jahr 2018 vom UN-Ausschuss ein 45 Fragen umfassender Fragen-Katalog („List of Issues“) an Österreich übermittelt. Der Staat beantwortete diesen mit Beiträgen aller Bundesministerien und Bundesländer (Staatenbericht). Ergänzend zum Staatenbericht schrieben auch die Zivilgesellschaft (koordiniert vom Österreichischen Behindertenrat), der Unabhängige Monitoringausschuss, die Volksanwaltschaft und die Behindertenanwaltschaft einen Bericht und sandten diesen an den Fachausschuss.

Österreichische Zivilgesellschaft bei der Staatenprüfung

Im Vorfeld der Staatenprüfung (21.08.023) besprachen eine vom Österreichischen Behindertenrat koordinierte zivilgesellschaftliche Delegation, Vertreterinnen und Vertretern des Monitoringausschusses und der Behindertenanwaltschaft mit dem Fachausschuss im Rahmen eines nicht-öffentlichen Meetings die gravierendsten Mängel bei der Umsetzung der UN-BRK in Österreich aus Sicht der Zivilgesellschaft.

Dieses private Meeting war – neben den schriftlichen Eingaben – eine wichtige Informationsquelle für den Fachausschuss zur Vorbereitung auf die Staatenprüfung (konstruktiver Dialog) mit der österreichischen Staatendelegation.

Neben dem offiziellen Treffen mit dem gesamten Ausschuss traf sich die zivilgesellschaftliche Delegation noch mit einzelnen Mitgliedern des Fachausschusses, die zu bestimmten Themen noch mehr erfahren wollten, sowie dem Country Rapporteur Prof. Markus Schefer.

Am 22. und 23. August 2023 fand dann die tatsächliche Staatenprüfung statt. Hierbei musste die österreichische Staatendelegation Fragen des UN-Fachausschusses beantworten; auch die Überwachungsorgane (Volksanwaltschaft, Behindertenanwaltschaft und Unabhängiger Monitoringausschuss) hatten die Möglichkeit ein Statement abzugeben.

Kernthemen im Fachausschuss

Während der Staatenprüfung Österreichs wurden seitens des Fachausschusses insbesondere folgende Themen kritisch beleuchtet:

  • Verantwortlichkeit der Länder für die Umsetzung der UN-BRK:

Seitens des Ausschusses wurde kritisiert, dass es den Anschein macht, dass sich die Bundesländer nicht für die Umsetzung der UN-BRK verantwortlich sehen, sondern der Bund.
Dementsprechend stellte der Berichterstatter des Ausschusses eine Empfehlung in Aussicht, welche die Länder aufruft, Unterstützungsstrukturen aufzubauen, damit es zu weniger Erwachsenenvertretungen kommt.

  • Bildung:

Im Zuge der Staatenprüfung wurden seitens des Ausschusses zahlreiche Fragen zum Thema Bildung gestellt. Im Kern ging es bei vielen Fragen darum, weshalb es seit 2017 zu Verschlechterungen gekommen ist bzw. warum Kinder mit Behinderungen in der Regelschule nicht jene Unterstützung erhalten, die sie benötigen. Leider wurden die Fragen des Ausschusses vom Staat Österreich im Rahmen der Prüfung nicht beantwortet.

  • De-Institutionalisierung:

Der Ausschuss sprach sein Unverständnis darüber aus, dass Österreich bis jetzt keinen umfassenden Plan für De-Institutionalisierung erstellt hat und forderte ein, dass Österreich hier rasch tätig wird.

  • Barrierefreiheit:

Der Ausschuss zeigte sich besorgt darüber, dass es im Bereich der Barrierefreiheits-Standards für den Wohnbau seit der letzten Staatenprüfung zu Verschlechterungen gekommen ist. Auch, dass es beispielsweise im Bereich der digitalen Barrierefreiheit zwar gesetzliche Vorgaben gibt, diese aber vom Staat und Unternehmen nicht eingehalten werden, beschäftigte den Ausschuss.

Abschließenden Bemerkungen - Handlungsempfehlungen für Österreich 

Am Ende des Gesamtprozesses der Staatenprüfung stehen die abschließenden Bemerkungen („concluding observations“) des Fachausschusses. In diesen hält der Ausschuss fest, ob ein Vertragsstaat seinen Verpflichtungen nachkommt und in welchen Bereichen es Versäumnisse gibt. Die Handlungsempfehlungen für Österreich werden zeitnah auf der Website der Vereinten Nationen veröffentlicht werden.

Statements von Volksanwalt Bernhard Achitz zu zwei Kernthemen:

„Das Risiko, Opfer von Gewalt zu werden, ist für Menschen mit Behinderungen hoch. Zahlreiche Einrichtungen haben noch immer keine Gewaltschutzkonzepte, keine Krisenkonzepte und keine verpflichtenden De-Eskalationstrainings für ihr Personal. Die Einführung solcher Konzepte muss daher flächendeckend verpflichtend vorgesehen werden und deren Einhaltung muss überprüft werden.“

„Die Arbeit von Menschen mit Behinderungen in Tageswerkstätten wird nicht als Arbeit anerkannt. Sie erhalten kein Gehalt und sie genießen keinen vollständigen sozialversicherungsrechtlichen Schutz. Sie bleiben daher abhängig und arm.“

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''La justicia restaurativa debe poder introducirse en las universidades para reparar el daño que han sufrido las víctimas de acoso''

Date of article: 09/09/2023

Daily News of: 13/09/2023

Country:  Spain - Catalonia

Author:

Article language: es

Se necesitan protocolos en las universidades que prevean un acompañamiento a la víctima y la reparación del daño
 

La síndica ha participado esta mañana en el Segundo Encuentro de Igualdad de Rectoras y Directoras de Instituciones de Educación Superior, que ha tenido lugar en el Colegio de México, una institución de reconocido prestigio en educación superior e investigación en ciencias sociales y humanidades, que fue fundada originalmente por exiliados de todo el territorio español a finales de la década de 1930.

Estas jornadas tienen la particularidad de que han agrupado la gran mayoría de rectoras, exrectoras, altos cargos y personas expertas en educación superior de todo México y de organismos internacionales, y tienen la voluntad de promover la igualdad de género, hacer reflexionar sobre los desafíos propios del sector y ser un espacio de diálogo para el fortalecimiento de las instituciones de educación superior.

La mesa redonda en la que ha participado la síndica de greuges de Cataluña ha sido moderada por la rectora de la Universidad Autónoma de Ciudad de México (UACM), Tania Rodríguez Mora, y ha contado con la participación también de Sara Ladrón de Guevara González, ex rectora de la Universidad Veracruzana (UV); Michelle Villanueva, directora de Igualdad de Género y No Discriminación de la Universidad Autónoma de Querétaro (UAQ), y Patricia Calderón Campos, directora del Instituto Tecnológico de Morelia.

La síndica ha querido poner de manifiesto que la cultura masculina es la que impera en la mayoría de las instituciones, y propone que se incorporen los valores tradicionales de la cultura femenina –escucha, diálogo, flexibilidad y capacidad de mediar–, que ayuden a convertir a las instituciones de educación superior en espacios más integradores. Como ejemplo, ha hablado de su paso por la Universidad Ramon Llull como rectora y los cambios que en ese momento impulsó, como el nombramiento de nuevas directivas y decanas, la eliminación de la brecha salarial y la participación de las mujeres en las decisiones de la comunidad universitaria. También ha expuesto los valores que quiere que caractericen a la institución del Síndic de Greuges y la forma en que esta se relaciona con la Administración y con las personas que atiende: con empatía, amabilidad y colaboración.

Esther Giménez-Salinas ha expuesto que los centros universitarios deben poder ser capaces de superar la denominación de estudios de hombres y mujeres. Para ello, defiende, por un lado, la necesidad de ampliar las cuotas de mujeres en las carreras STEM (disciplinas académicas de ciencia, tecnología, ingeniería y matemáticas), y particularmente en las ingenierías; y por el otro, que las carreras tradicionalmente femeninas, como enfermería, magisterio, trabajo o educación social, deberían tener notas de acceso altas y deberían dotarse de prestigio social y económico. En este sentido, propone establecer cuotas de hombres y mujeres y evitar crear estudios de primera y de segunda.

La síndica ha querido poner especial énfasis en el crecimiento del número de denuncias por violencia de género y acoso que sufre la sociedad, y por consiguiente también los centros universitarios. Considera que ante estas situaciones las universidades deben trabajar la prevención y establecer protocolos que prevean un acompañamiento a la víctima y la reparación del daño que ha sufrido, e insiste a los centros educativos que sean valientes e incorporen la justicia restaurativa como un instrumento muy valioso para llevar a cabo este trabajo.

Por último, la síndica de greuges de Cataluña ha querido poner de manifiesto que los países con mejores políticas de igualdad son los que menos delincuencia femenina tienen, y es por esta razón tan evidente que las instituciones deben poder cambiar e incorporar la cultura femenina.

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Solidarietà Internazionale tra Italia e Marocco a seguito della tragica calamità che ha colpito il paese africano

Date of article: 09/09/2023

Daily News of: 13/09/2023

Country:  Italy

Author: Italian National Coordination of Regional and Autonomous Provinces Ombudsman Institutions

Article language: it

Oggi è stato un giorno di profondo dialogo e solidarietà tra il Presidente dei Difensori Civici italiani, Marino Fardelli, e il suo omologo marocchino, Mohamed Benalilou, (Médiateur du Royaume du Maroc). Questa interlocuzione è avvenuta in risposta alla tragica calamità che ha colpito il Marocco, e ha messo in evidenza la nostra sincera solidarietà e vicinanza al popolo marocchino, duramente colpito dal terremoto.

In un momento di estrema difficoltà, l’attenzione verso i  tragici fatti avvenuti in Marocco è stata naturale: mostrare unità e promuovere la collaborazione internazionale. A nome del Coordinamento Nazionale dei Difensori Civici delle Regioni e delle Province Autonome Italiane, il Presidente Fardelli ha offerto il proprio sostegno al collega marocchino che tra l’altro sarà in Italia a Roma come relatore e partecipante alla prossima Conferenza Internazionale degli Ombudsman (Difensori Civici), che si terrà il 21 e il 22 settembre 2023.

La solidarietà non conosce confini, e oggi è stato ribadito l’impegno dell’Italia nel nome della difesa civica con impegno a lavorare insieme per affrontare le sfide globali. Come custodi della difesa civica, condivideremo le risorse e la conoscenza necessarie per aiutare il Marocco a superare questo momento difficile e a ricostruire le comunità colpite dalla tragedia.

Siamo grati per la collaborazione instaurata con il Médiateur du Royaume du Maroc e guardiamo al futuro con la speranza di un mondo più unito, forte e resiliente con l’Italia protagonista nel nome della difesa civica.

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