(FRA) Une femme sur trois dans l’UE a subi des violences

Date of article: 25/11/2024

Daily News of: 25/11/2024

Country:  EUROPE

Author: European Union Agency for Fundamental Rights

Eurostat-FRA-EIGE EU gender based violence survey.

Un tiers des femmes de l’UE ont subi des violences chez elles, au travail ou dans l’espace public. Comparativement aux femmes plus âgées, les jeunes femmes déclarent avoir subi des niveaux plus élevés de harcèlement sexuel au travail et d’autres formes de violence. Toutefois, les violences à l’égard des femmes restent souvent invisibles car seulement une femme sur quatre en fait le signalement aux autorités (à savoir la police ou les services sociaux, de santé ou d’aide). Telles sont quelques-unes des conclusions de l’enquête de l’UE sur la violence fondée sur le genre, menée de 2020 à 2024 par Eurostat (l’office statistique de l’UE), l’Agence des droits fondamentaux de l’Union européenne (FRA) et l’Institut européen pour l’égalité entre les hommes et les femmes (EIGE).

L’enquête de l’UE sur la violence fondée sur le genre décrit par ses résultats la situation que connaissent les femmes âgées de 18 à 74 ans vivant dans l’UE. Son champ est celui des expériences subies en matière de violence physique, sexuelle et psychologique, y compris la violence domestique et la violence à caractère non conjugal. Il comprend également le harcèlement sexuel sur le lieu de travail.

Les conclusions de l’enquête portent sur les points suivants :

  • Prévalence de la violence : une femme sur trois dans l’UE a subi, à l’âge adulte, des violences physiques, des violences sexuelles ou des menaces.
  • Violence sexuelle et viol : une femme sur six dans l’UE a subi, à l’âge adulte, des violences sexuelles, y compris le viol.
  • Violence domestique : pour de nombreuses femmes, le domicile n’est pas toujours un lieu sûr ; en effet, une femme sur cinq a été victime de violences physiques ou sexuelles de la part de son partenaire, d’un membre de sa famille ou d’un autre membre de son foyer.
  • Harcèlement sexuel au travail : une femme sur trois a été victime de harcèlement sexuel au travail. Cette prévalence est plus élevée chez les jeunes femmes, dont deux sur cinq indiquent avoir été victimes de harcèlement sexuel sur le lieu de travail.
  • Non-signalement de la violence : même si la majorité de femmes ayant subi des violences en ont parlé à une personne proche, seule une sur cinq a contacté un prestataire de soins de santé ou de services sociaux, et seule une sur huit a signalé l’incident à la police.

L’enquête européenne sur la violence fondée sur le genre a été réalisée conjointement par Eurostat, la FRA et l’EIGE – trois organisations respectivement chargées des statistiques officielles, des droits humains et de l’égalité entre les femmes et les hommes au sein de l’UE. Les données ont été collectées entre septembre 2020 et mars 2024. Les résultats de l’enquête fournissent des informations qui permettront aux décideurs politiques de l’ensemble de l’UE de mieux lutter contre la violence à l’égard des femmes et d’apporter un soutien plus efficace aux victimes.

Les données collectées sont disponibles dans la base de données d’Eurostat sur la violence fondée sur le genre (disponible à 11 h 00 HEC).

L’article Statistics Explained d’Eurostat (disponible à 11 h 00 HEC) décrit également certaines des conclusions de l’enquête.

Déclaration de Mariana Kotzeva, directrice générale d’Eurostat :

« Eurostat, en coopération avec la FRA et l’EIGE, publie aujourd’hui les résultats de l’enquête de l’UE sur la violence fondée sur le genre, ventilés par pays de l’UE. Les statistiques ainsi obtenues sur le phénomène souvent caché de la violence fondée sur le genre reposent sur des méthodes rigoureuses de collecte de données dans l’ensemble des États membres de l’UE, d’où leur valeur pour sensibiliser public et fonder l’action politique. Eurostat remercie toutes celles qui, avec courage, en toute sécurité et anonymement, ont partagé leur expérience avec les équipes d’enquêtes ».

Déclaration de Sirpa Rautio, directrice de la FRA :

« Il n’y a pas pour les femmes de lieux sûrs, où elles seraient à l’abri des violences et du harcèlement. En 2014, lorsqu’elle a publié sa première enquête à l’échelle de l’UE sur la violence à l’égard des femmes, la FRA a révélé l’ampleur des violences dont les femmes sont victimes chaque jour et partout. Dix ans plus tard, nous continuons à observer les mêmes niveaux choquants de violence, subis par une femme sur trois. Les taux de violence à l’égard des femmes restent bien trop élevés. Les décideurs politiques, la société civile et les travailleurs de première ligne doivent de toute urgence soutenir et protéger les droits de toutes les victimes de violences et d’abus domestiques fondés sur le genre, quel que soit le lieu où ceux-ci se produisent. »

Déclaration de Carlien Scheele, directrice de l’EIGE :

« Face à une réalité alarmante où une femme sur trois dans l’UE est victime de violence, mais seulement une femme sur huit en faire le signalement, nous devons sérieusement nous pencher sur les problèmes systémiques qui empêchent de changer la donne. Les résultats que révèle aujourd’hui la publication de nos données d’enquête montrent à l’évidence l’importance des travaux de mon Agence pour mettre fin à la violence fondée sur le genre. La violence à l’égard des femmes est ancrée dans des mécanismes de contrôle, de domination et d’inégalité. En intégrant une perspective de genre dans les mesures de prévention, la fourniture des services nécessaires et l’intervention des autorités compétentes, nous pouvons escompter que davantage de femmes, désormais sûres de recevoir le soutien dont elles ont besoin, se manifesteront. Parce que chaque femme a le droit d’être, partout, en sécurité. »

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Registrado en Cortes Generales informe sobre violencia vicaria

Date of article: 25/11/2024

Daily News of: 25/11/2024

Country:  Spain

Author: National Ombudsman of Spain

El Defensor del Pueblo, Ángel Gabilondo, ha registrado el pasado viernes, 22 de noviembre, en las Cortes Generales el informe Violencia vicaria de géneroLas otras víctimas, coincidiendo con el Día Internacional de la Eliminación de la Violencia contra la Mujer, que se conmemora cada 25 de noviembre.

El informe analiza la violencia vicaria de género, señala seis líneas de actuación y formula diecinueve recomendaciones que han sido enviadas hoy mismo desde la institución Defensor del Pueblo a la Secretaría de Estado de Igualdad y para la Erradicación de la Violencia contra la Mujer; a la Secretaría de Estado de Juventud e Infancia; a la Secretaría de Estado de Servicios Sociales; a la Secretaría de Estado de Seguridad; a la Secretaría de Estado de Justicia; al Consejo General del Poder Judicial, y a las comunidades autónomas con competencias en materia de Justicia para prevenir, combatir y reparar esta forma de violencia contra las mujeres y sus hijas e hijos.

Para el Defensor del Pueblo el objetivo de este informe es “centrar la mirada en las mujeres y en los niños y las niñas que han de considerarse explícitamente como víctimas de esa violencia, es decir, de quienes la han ejercido y la ejercen”. Ángel Gabilondo califica de “descorazonador y deplorable” que algunos hombres busquen explícitamente hacer el máximo daño a las mujeres agrediendo, incluso asesinando a sus hijos e hijas. En su opinión, la violencia vicaria de género “es una forma absoluta y cruel de ejercer poder, de crear mayor dominio, de pretender la máxima sumisión e indefensión”. Así, el Defensor del Pueblo considera que “la violencia vicaria no es simplemente otra modalidad de violencia, es una muestra palpable más de la urgencia de abordar desde todas las instancias esto que no es solo un problema. Las mujeres y sus hijos e hijas son víctimas de una misma violencia, por unos motivos semejantes, incluso único. Y por una misma razón, porque sus madres son mujeres”.

Ángel Gabilondo estima que en los últimos años se han logrado avances importantes para luchar contra esta lacra pero, a su juicio, se necesita una protección específica de este tipo de violencia contra la infancia y la adolescencia. Unos sistemas de valoración de riesgo y de intervención propios que permitan entender toda la problemática que afecta a la unidad familiar en su conjunto y que hagan prevalecer el interés de niños, niñas y adolescentes por encima de ningún otro.

El Defensor del Pueblo apuesta, además, por mejorar la atención que desde el Estado se presta a la violencia de género en los conflictos familiares; reforzar los servicios de atención a las familias con hijos e hijas a cargo; fortalecer los recursos a disposición de los órganos judiciales que conocen de asuntos de familia; mejorar su coordinación con los juzgados de violencia sobre la mujer, y avanzar hacia una jurisdicción especial de familia.

 

Líneas de actuación y recomendaciones

El informe de la institución Defensor del Pueblo propone, a través de las recomendaciones remitidas, que para avanzar en la lucha contra la violencia vicaria de género es necesario mejorar su conocimiento, recopilar datos específicos e informar periódicamente de estimaciones estadísticas. Además, se solicita poner en funcionamiento el Registro Central de Información sobre la Violencia Contra la Infancia y la Adolescencia, previsto en la Ley Orgánica 8/2021 de Protección Integral a la Infancia y la Adolescencia Frente a la Violencia (LOPIVI).

También se consideran esenciales las políticas preventivas de atención a la familia. Así, se recomienda que en todas las políticas públicas relativas a la protección de la infancia y la adolescencia se contemple la especificidad de los menores que son víctimas de la violencia vicaria de género con medidas para ayudar a detectar el riesgo.

Uno de los principales problemas identificados en el informe es la dificultad para detectar este tipo de violencia por lo que la institución ha formulado recomendaciones para mejorar los sistemas de valoración del riesgo, elaborando indicadores específicos como la existencia de denuncias previas de violencia contra la madre; la intervención de los servicios sociales en situaciones de conflicto familiar, o que la madre cuente con la acreditación administrativa como víctima de violencia de género.

Para asegurar la detección de estos casos se recomienda formación especializada para los profesionales en contacto con las víctimas; revisar el Protocolo de Intervención Contra el Maltrato Infantil en el Ámbito Familiar; facilitar la denuncia de los menores en sede policial; extender las Unidades de Atención a la Familia y Mujer a todas las comisarías y fortalecer servicios homólogos en la Guardia Civil, y establecer acuerdos de colaboración entre Fuerzas y Cuerpos de Seguridad del Estado y los servicios sociales.

Otras de las líneas de actuación que se señala en el informe del Defensor del Pueblo tiene que ver con la protección judicial de los y las menores víctimas de violencia vicaria. En este ámbito se ha recomendado mejorar la dotación de recursos humanos, materiales y tecnológicos de los juzgados; garantizar la obligatoriedad de la formación en materia de violencia vicaria de género de todo el personal al servicio de la Administración de Justicia, y mejorar juzgados y tribunales que se ocupan de asuntos de familia y menores para que sean lugares más accesibles, cómodos y apropiados.

Se solicitan, además, modificaciones del marco regulatorio procesal y civil actual. Así, la institución considera que hay que seguir trabajando para garantizar que los regímenes de visitas, comunicación y estancia se adopten en beneficio e interés del menor, incorporando a las decisiones sobre la guarda o sobre la comunicación con los hijos e hijas otras medidas de protección que garanticen su seguridad, exista o no denuncia previa por violencia de género de la madre.

Para la institución Defensor del Pueblo también es imprescindible fortalecer el marco legal vigente. Entre los cambios normativos recomendados, se considera necesaria una reforma de la Ley Orgánica 1/2004 de Medidas de Protección Integral contra la Violencia de Género para que los y las menores víctimas de violencia vicaria de género sean considerados víctimas de violencia de género.

Se reclama asimismo que se adopte a la mayor brevedad posible el Plan de Acción Nacional en Violencia Vicaria de Género en el que se acuerden las medidas para asegurar que existe un marco legislativo mínimo común en todo el Estado, independientemente del desarrollo específico que pueda darle cada comunidad autónoma, y se establezcan herramientas de coordinación tanto de las políticas públicas, como de los servicios autonómicos, locales y estatales para la protección a los menores víctimas de violencia de genero vicaria.

La institución propone, por otra parte, regular la intervención de los servicios sociales, u otras entidades cuando ejerzan la función colaboradora del juez en la ejecución de resoluciones judiciales en materia de familia, y que ésta se dé siempre bajo el control judicial, garantizando la cualificación de estos profesionales. Además, que los casos penales de violencia vicaria de género sean competencia de los órganos judiciales que se encargan de la violencia de género, independientemente de que haya denuncia previa relativa a la madre, y que se regule la intervención de un perito experto en psicología del testimonio cuando las condiciones del menor lo requieran.

Desde el Defensor del Pueblo se sugieren, además, reformas normativas para fortalecer el sistema de reparación para las víctimas menores. Los servicios previstos en la Ley de Violencia de Género no están pensados para las víctimas de violencia vicaria. Por ello, se recomienda vincular los derechos previstos en la LOPIVI en el contexto asistencial de la violencia de género, ofreciéndoles en las redes asistenciales previstas para las víctimas de violencia de género servicios específicos que les ayuden en los ámbitos propios en los que se desarrollan los niños, niñas y adolescentes. Estos son: centros educativos, los servicios deportivos y de ocio, o los servicios sanitarios, incluyendo la salud mental.

 

Consulte aquí el informe

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(CoE) It is time to rally to defend human rights, says Commissioner O’Flaherty

Date of article: 22/11/2024

Daily News of: 25/11/2024

Country:  EUROPE

Author: Commissioner for Human Rights - CoE

The Council of Europe Commissioner for Human Rights, Michael O’Flaherty, marked the 25th anniversary of the Institution with a speech in which he emphasised the urgent need for a collective recommitment to human rights amid escalating global challenges.

“This moment of crisis for human rights is exactly when they are most needed,” Commissioner O’Flaherty declared. He identified six critical challenges threatening human rights: waning historical memory, political disavowal, the weakening of protection mechanisms, populism, intellectual skepticism, and the growing need for rights in the face of global crises.

The Commissioner called for stronger cooperation between international institutions, stressing the importance of reigniting societal passion for human rights and breaking down institutional silos. He further called on states to renew their dedication to protecting the most marginalised, maintaining high governance standards and embed human rights at the heart of their work.

Closing with a message of resilience and optimism, Commissioner O’Flaherty reminded the audience of their shared responsibility: “For those of us with human rights leadership roles, hope is not an option—it is a duty.”

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Empleo con valor humano

Date of article: 21/11/2024

Daily News of: 25/11/2024

Country:  Spain - Navarra

Author: Regional Ombudsman of Navarra

La Fundación Varazdin es un ejemplo de cómo el trabajo puede transformar vidas. Esta empresa de inserción social, formada por un equipo de 70 personas, la mayoría en riesgo de exclusión social, abre sus puertas a quienes más lo necesitan. Sus empleados, seleccionados y apoyados por los servicios sociales de base y por los equipos de incorporación sociolaboral, encuentran aquí no solo una oportunidad laboral, sino también un camino hacia la dignidad y la integración.

Varazdin realiza, en ese sentido, una amplia gama de actividades que abarcan desde servicios auxiliares para la industria, hostelería, limpieza y jardinería, hasta el reciclaje y las reformas. También llevan a cabo una tarea única: la desinfección de vasos reutilizables usados en fiestas, contribuyendo al cuidado del medio ambiente. Lo que los distingue es que el 100 % de los beneficios que obtienen se reinvierte en la propia empresa para seguir generando impacto.

Las oportunidades de empleo que ofrecen tienen una duración de tres años, un tiempo en el que muchas personas logran la preparación y la confianza necesarias para integrarse plenamente en el mercado laboral. Cada año, cinco trabajadores consiguen dar ese salto definitivo hacia la estabilidad laboral

En su afán por seguir creando futuro, Fundación Varazdin ha lanzado un nuevo proyecto: Ecosiembra, una nueva empresa de inserción social ubicada en el Valle de Orba. Esta iniciativa en el sector primario apuesta por los trabajos apícolas, en jardinería y plantación de lavanda. Pero Ecosiembra es mucho más que un emprendimiento económico; también busca conectar a las personas con la naturaleza y la sostenibilidad a través de futuras visitas a sus instalaciones.

A partir de ahí, sus rseponsables lamentaron que aún no se cumple la reserva del 6 % de empleo para personas en riesgo de exclusión social establecida por la Ley de Discapacidad. A pesar de competir en igualdad de condiciones con otras empresas, enfrentan barreras que solo pueden superarse con un compromiso real de las instituciones y la sociedad.

Por su parte, el Defensor del Pueblo de Navarra, consciente de estas necesidades, ha ofrecido su apoyo para canalizar y atender las demandas de Varazdin.

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Slovenian Human Rights Ombudsman at the Pre-Session of the Universal Periodic Review in Geneva

Date of article: 22/11/2024

Daily News of: 25/11/2024

Country:  Slovenia

Author: Human Rights Ombudsman of Slovenia

The Slovenian Human Rights Ombudsman participated in the pre-session of the Universal Periodic Review (UPR) on 22 November 2024 in Geneva. This preparatory meeting takes place ahead of the main UPR session, during which Slovenia will report to other countries on its progress in the field of human rights, while receiving recommendations for improvements.

Jerneja Turin, Advisor at the Centre for Human Rights, presented key human rights areas requiring special attention in Slovenia to representatives of permanent missions in Geneva. Particular emphasis was placed on the right to health and the protection of vulnerable groups, such as women, persons with disabilities, the elderly, and the Roma community.

Health and Access to Care

Persistent challenges in Slovenia’s healthcare system continue to undermine the right to health. A severe shortage of healthcare professionals, including doctors, nurses, and specialists, has led to significant barriers to accessing essential services. These shortages disproportionately affect older persons, women, individuals with limited digital skills, and those seeking specialized care such as gynaecology, pediatrics, and mental health services. Long waiting times for consultations, surgeries, and urgent care, alongside the lack of reliable public data on waiting periods, reflect systemic inefficiencies.

Children are particularly affected by these systemic gaps. Slovenia lacks sufficient child psychiatrists, psychologists, and forensic experts, resulting in prolonged delays in accessing critical mental health and legal support services. These shortcomings hinder the ability to provide timely and effective care, further exacerbating vulnerabilities among children in need.

Targeted reforms are urgently required to effectively address workforce shortages, modernize healthcare systems, and ensure timely access to comprehensive care for all.

Persons with Disabilities

The rights of persons with disabilities remain inadequately protected. Public facilities, including schools and administrative buildings, often fail to meet accessibility standards. Institutional care continues to dominate over community-based alternatives, restricting independent living and exposing persons with disabilities to the risks of violence, neglect, and inadequate treatment.

Serious concerns also persist in secure wards of psychiatric hospitals and social care institutions, where overcrowding and inadequate care environments lead to violations of residents’ rights. The Ombudsman has called for robust oversight, improved care quality, and measures to reduce premature institutionalization.

Additionally, the Ombudsman has expressed grave concern about incidents of violence and   abuse reported at the Psychiatric Clinic of the University of Ljubljana.

Legal inconsistencies, including the lack of a unified definition of disability across legislation, hinder the realization of rights. The Ombudsman calls for alignment of national laws with the Convention on the Rights of Persons with Disabilities, the establishment of a unified disability assessment body, and expansion of inclusive community-based care services.

Older Persons

Older persons face significant challenges, particularly due to Slovenia's overreliance on institutional care. Staff shortages in care homes, coupled with rising reports of abuse, underscore the urgent need for reforms. Improving workforce conditions and investing in community-based care alternatives are essential to safeguarding the dignity and rights of older persons. Targeted measures, such as enhanced staff training and the establishment of robust monitoring systems, are crucial to preventing abuse and ensuring accountability. Additionally, mechanisms should be developed to amplify the voices of older persons in decision-making processes, ensuring their perspectives and needs are fully considered.

Roma

Social exclusion of Roma persists, particularly in southeastern regions. Many live in segregated settlements, some lacking basic services such as safe drinking water, sanitation, and electricity. Educational outcomes remain alarmingly low. A 2022 Institute for Ethnic Studies report found that only 21.3% of Roma pupils completed all nine grades of primary school, with the southeastern region averaging just 12.3%. Health disparities are also pronounced, with life expectancy and child mortality rates significantly worse than the national average. The Ombudsman calls for comprehensive measures to secure adequate housing, improve education access, and address health disparities. Eliminating the distinction between "autochthonous" and "non-autochthonous" Roma is also essential to ensuring equal rights and representation.

Women

Gender-based violence remains a critical issue in Slovenia, with data showing that a significant proportion of women have experienced physical, sexual, or psychological violence. Many incidents go unreported, underscoring systemic gaps in prevention, support services, and access to justice. The Ombudsman highlights the need for reliable data to inform effective policies and urges attention to violence affecting vulnerable groups, including children, older persons, persons with disabilities, migrants, and those in Roma communities. Efforts to prevent gender-based violence must be strengthened. Furthermore, Slovenia lacks a dedicated crisis referral centre for victims of rape and sexual violence. Such a centre, providing medical, forensic, and trauma support, is needed to fulfil obligations under the Istanbul Convention.

In addition to the issues already mentioned, Slovenia faces further challenges regarding hate speech, environmental protection, prison overcrowding, the rights of migrants and asylum seekers, the rights of LGBTIQ+ persons, the Erased, the rights of children, and victims of human trafficking. The Ombudsman also expressed concern about the frequent use of urgent legislative procedures with limited public consultation and the absence of a comprehensive strategy to combat discrimination, including the fragmentation of data across protected categories.

For the Pre-Session, the Ombudsman also prepared a brief report containing more detailed information and specific recommendations for improving the state of human rights in Slovenia.

See: NHRI report for the 4th cycle of the Universal Periodic Review of Slovenia

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