Ángel Gabilondo mantiene un encuentro con el embajador de la República de Colombia

Date of article: 07/06/2024

Daily News of: 11/06/2024

Country:  Spain

Author: National Ombudsman of Spain

Article language: es

El Defensor del Pueblo, Ángel Gabilondo, ha mantenido un encuentro este viernes con el embajador de la República de Colombia en España, Eduardo Ávila Navarrete, en su residencia oficial.

Durante la reunión han abordado asuntos relativos a derechos y libertades públicas y a las entidades y organismos internacionales vinculados a los derechos humanos. También trataron la actualidad internacional, sobre todo la latinoamericana. Ambos han reafirmado su intención de mantener y estrechar los lazos de colaboración y cooperación. 

En el encuentro también ha participado la ministra plenipotenciaria de la Embajada de la República de Colombia en España, Gloria Elsa León Perdomo.

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« Accompagner les jeunes : représentations et pratiques des professionnels », retour sur la conférence-débat organisée par le Défenseur des droits et l’INJEP

Date of article: 07/06/2024

Daily News of: 11/06/2024

Country:  France

Author: National Ombudsman of France

Article language: fr

En 2021, le Défenseur des droits et l’INJEP (institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire) ont lancé un appel à projets de recherche pour mieux comprendre les représentations qu’ont les professionnels de la jeunesse sur les jeunes. À l’occasion de la publication des résultats des deux études sélectionnées, une conférence-débat était organisée le 23 mai.

Deux études pour interroger le regard porté sur les jeunes par les professionnels de la jeunesse

Le regard des adultes sur la jeunesse, s’il est souvent compatissant, demeure critique. Certaines représentations sur « la jeunesse » ou certains groupes de jeunes sont profondément ancrées, et peuvent affecter les jugements portés à leur égard, contribuer à les stigmatiser.

Le Défenseur des droits et l’INJEP ont voulu savoir si ces représentations affectent l’accompagnement des jeunes par les professionnels de la jeunesse.

Deux projets de recherche ont été sélectionnés :

  • Le premier proposait d’étudier les représentations et les pratiques d’intermédiaires de l’emploi qui accompagnent des jeunes dits « invisibles »
  • Le second proposait d’étudier les représentations des professionnels de l’insertion confrontés à la montée en puissance du travail « ubérisé » chez les jeunes des quartiers populaires 

L’(in)employabilité des jeunes « invisibles ». Analyse des représentations et pratiques des intermédiaires de l’emploi du dispositif D

Les jeunes dits « invisibles » sont les jeunes non détectés par les professionnels et les intermédiaires de l’emploi des quartiers prioritaires de la politique de la ville et qui n’entrent pas dans les dispositifs d’aide à l’emploi. Le « dispositif D » est un dispositif d’accompagnement développé spécifiquement pour ces jeunes en région Hauts-de-France et qui leur propose une prise en charge « personnalisée ».

L’étude révèle que la représentation du jeune issu de milieu défavorisé comme responsable de son exclusion est encore fortement présente au sein des professionnels qui les accompagne. Cependant, les professionnels ne partagent pas tous les mêmes représentations et ne ciblent pas les mêmes catégories de jeunes pour intégrer le dispositif. Leurs expériences antérieures avec les « jeunes » mais aussi leurs trajectoires sociale, scolaire et professionnelle influencent ces représentations et leurs pratiques professionnelles. Ces représentations varient également selon les profils des jeunes pris en charge.

L’étude constate également que les professionnels présentent des stéréotypes négatifs à l’égard des jeunes issus des classes défavorisées. Ils tentent de les former à l’utilisation des techniques de recherche d’emploi et de transformer leur apparence (vestimentaire, attitudes et postures corporelles) intégrant ainsi certaines pratiques discriminatoires.

L’étude relève par ailleurs que les conditions de travail des professionnels, sous la pression d’objectifs chiffrés, favorisent la mobilisation des stéréotypes, altèrent la qualité de l’accompagnement et conduisent à écarter du dispositif les publics « invisibles » qui en auraient le plus besoin. Au regard des stéréotypes discriminatoires mis à jour, l’étude émet une série de préconisations afin de lutter contre les discriminations à différents niveaux du dispositif.

Consulter la synthèse de l’étude

Malaise dans l’accompagnement des jeunes : l’essor du travail ubérisé dans les QPV

Les habitants des quartiers populaires, et notamment les jeunes hommes d’origine étrangère, constituent désormais le principal vivier de recrutement dans les métiers « ubérisés » du transport et de la livraison.

L’étude s’intéresse aux effets de ce phénomène sur les professionnels en charge de l’insertion de ces jeunes, à partir de l’observation de deux univers professionnels, celui du travail social classique d’une part, et le monde de l’entreprenariat de l’autre. En effet, les activités ubérisées nécessitent des compétences pratiques, constitutives d’un réel savoir-être, qui vont à l’encontre des préjugés et stéréotypes souvent associés à ces publics. Ce constat remet en cause le postulat selon lequel ils seraient inemployables en raison d’un manque de compétences.

L’étude constate que les professionnels portent globalement un regard critique sur l’emploi ubérisé, qui relève d’un salariat déguisé pour les uns et d’un entreprenariat dévoyé pour les autres. Elle relève par ailleurs que les jeunes des métiers ubérisés échappent souvent aux dispositifs d’insertion et que, lorsque ce n’est pas le cas, les propositions d’accompagnement sont en partie inadaptées à leurs besoins et attentes. Elle souligne enfin qu’en restant focalisés sur le renforcement de l’employabilité de ces jeunes, les professionnels contribuent à invisibiliser les discriminations dont ils sont victimes.  

Lors de la conférence de présentation de ces résultats, la Défenseure des droits a rappelé le constat de l’ampleur des discriminations fondées sur l’origine dont sont victimes les jeunes, l’importance de l’accompagnement des publics dits «invisibles », la nécessité d’agir auprès des employeurs et l’importance de garantir à tous les jeunes un service public de qualité.

Consulter la synthèse de l’étude

Aller plus loin

Revoir la conférence en vidéo sur le site internet de l’INJEP

Éclairages -  L’(in)employabilité des jeunes « invisibles ». Analyse des représentations et pratiques des intermédiaires de l’emploi du dispositif D"

Éclairages - Malaise dans l’accompagnement des jeunes : l’essor du travail ubérisé dans les QPV"

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La Diputada del Común, Lola Padrón, se reúne con la Plataforma del 5% por la Educación en Canarias

Date of article: 07/06/2024

Daily News of: 11/06/2024

Country:  Spain - Canary Islands

Author: Regional Ombudsman of the Canary Islands

Article language: es

El presupuesto para 2024 en Educación no llega al 5% del PIB que se debió alcanzar en 2022.

 

La Diputada del Común, Lola Padrón, se reunió el miércoles con representantes de la ‘Plataforma por el 5% para la Educación en Canarias’ en el marco del expediente de queja, que a instancias de la Plataforma se viene tramitando en la institución. La Diputada del Común, acompañada de la asesora del área de Educación, Rosa Elvira Castilla Plasencia, ha querido atender y reflexionar acerca de las propuestas de mejora en la educación. Desde la plataforma han manifestado a Padrón la disminución en los presupuestos destinados para esta área en relación al PIB.

De esta forma, la recién nombrada, Diputada del Común, Lola Padrón, tras escuchar atentamente a los representantes de la ‘Plataforma por el 5% para Educación en Canarias’, quienes avisan sobre la disminución en relación al PIB en los presupuestos destinados a esta área para 2024, reconoció que “efectivamente y tras los informes recibidos de la Administración educativa a petición de la institución, se constata que en el año 2024 sigue sin destinarse al presupuesto educativo al menos el 5% mínimo que establece la Ley Canaria de Educación no Universitaria”.

Pablo Santana, miembro de la Plataforma, manifestó que “en reunión mantenida con la nueva Diputada del Común, Doña Dolores Padrón, como Plataforma por el 5% le hemos trasladado nuestra preocupación por el descenso en la financiación de la educación en relación al PIB. Según nuestros cálculos, la inversión en Educación en Canarias alcanzó en 2023 el 4,63% del PIB, mientras que este ejercicio de 2024 ha descendido al 4,20% del PIB.” Y añadió: “Canarias se encuentra rezagada en la mayoría de los indicadores educativos por lo que para acelerar la mejora educativa necesita ineludiblemente aumentar la inversión en educación. Además, la propia puesta en marcha de los programas establecidos en la Ley Canaria de Educación requerirá un aumento significativo de los presupuestos dedicados anualmente a educación hasta alcanzar, al menos, el 5% establecido en la citada Ley”.

Por su parte, Isabel Teresa Gómez, miembro de la misma Plataforma, añadió lo siguiente: “también nos interesamos por el estado de la queja ante la Diputación del Común acerca de este descenso de la inversión en relación al PIB, presentada el 27 de noviembre de 2023, admitida a trámite el 30 de noviembre y que está en curso”.

La Diputada del Común, Lola Padrón, al concluir la reunión se mostró muy preocupada por estas cifras y “pide que desde la Consejería de Educación del Gobierno de Canarias se cumpla con los compromisos de financiación establecidos en la Ley Canaria de Educación

CANALES TEMÁTICOS

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NGO-Forum 2024: Kinderrechte vollständig umsetzen!

Date of article: 07/06/2024

Daily News of: 11/06/2024

Country:  Austria

Author: Austrian Ombudsman Board

Article language: de

Menschenrechte gelten für alle, und alle bis 18-Jährigen stehen zusätzlich unter dem Schutz der Kinderrechte. In Österreich ist die entsprechende UN-Konvention seit dem 5. September 1992 in Kraft. Aber es gibt Aufholbedarf bei der Umsetzung. Deshalb hat die Volksanwaltschaft die Kinderrechte zum Thema ihres heurigen NGO-Forums gemacht. „Die Umsetzung der Kinderrechte liegt an der Politik und an der Verwaltung. Deshalb haben wir gemeinsam mit vielen Organisationen aus der Zivilgesellschaft die Verantwortlichen gebeten, zu sagen, was aus ihrer Sicht getan wird, um die Kinderrechte in Österreich umzusetzen“, so Volksanwalt Bernhard Achitz: „Wir haben die Bundesverwaltung und die Länder um Inputs gebeten. Wir haben bei ihnen, aber auch bei den Parlamentsparteien nachgefragt: Was unternehmen die politischen Entscheidungsträgerinnen und Entscheidungsträger, um sicherzustellen, dass alle Kinder in Österreich in den Genuss dieser Rechte kommen?“

Diskutiert wurde in Arbeitsgruppen zu den Themen Gewaltschutz, Kinderarmut, Bildung/Inklusion, Kindergesundheit sowie Umwelt/Beteiligung. „Wichtig war allen, dass hier auch Kinder und Jugendliche als Expertinnen und Experten ihrer eigenen Lebenswelt zu Wort kommen“, sagte Elisabeth Schaffelhofer-Garcia Marquez vom Netzwerk Kinderrechte. Die Ergebnisse und Forderungen der Arbeitsgruppen werden später veröffentlicht.

Am zweiten Tag lud Volksanwalt Achitz Vertreterinnen und Vertreter aller Parlamentsparteien zu einer Podiumsdiskussion und bat einerseits um deren Einschätzung der Vorschläge der NGOs und fragte andererseits, wo der größte Handlungsbedarf besteht.

Gruber-Pruner (SPÖ): Es braucht direkte finanzielle Hilfe gegen existenzielle Not

Man müsse „am Bedürfnis jedes einzelnen Kindes ablesen, was es am dringendsten braucht, um sich besser und gesünder entwickeln zu können“, meinte Daniela Gruber-Pruner (SPÖ) in der abschließenden Podiumsdiskussion: „Das ist ein gesamtgesellschaftlicher Auftrag, an dem alle Ebenen gemeinsam arbeiten müssen.“ Die Kinderrechte könnten noch mehr Bekanntheit vertragen, etwa durch stärkere Verankerung in der Ausbildung von Elemantarpädagoginnen und Elemantarpädagogen sowie Lehrerinnen und Lehrer: „Dann kommen die Kinderrechte auch bei den Kindern an.“ Gewalt müsse man vorbeugend verhindern: „Ressourcen für die Prävention sind unglaublich wichtig, Stichwort ‚Frühe Hilfen‘."

Gegen die Kinderarmut empfahl Gruber-Pruner die Kindergrundsicherung: „Es braucht direkte finanzielle Hilfe für Familien in Not. Existenzielle Not aus den Familien zu nehmen wirkt.“ Die Verlagerung der Kinder- und Jugendhilfe zu den Bundesländern sei ein Fehler gewesen: „Das sollte rückgängig gemacht werden. Es gibt viele länderübergreifende Fälle, da passen die Regelungen nicht zusammen.“

Ecker (FPÖ): Gewalt dringlichstes Problem – in der Öffentlichkeit und in Familien

Es dürfe nicht darum gehen, einzelne Kinderrechte gegeneinander auszuspielen, sagte Rosa Ecker (FPÖ), aber die Gewalt sei sicher eines der dringlichsten Probleme: „Es kommt zu Gewalt in der Schule, aber auch in den Familien und in der Öffentlichkeit.“ Gewalt habe mehr Facetten als die „Watschen“. „Auch Mobbing, Diskriminierung und Erniedrigung usw. sind Formen von Gewalt. Kinder nehmen aber auch als Gewalt wahr, wenn sie vom Jugendamt aus der Familie genommen werden. Dafür gilt es, das Bewusstsein zu schärfen!“

Kinder mit Behinderungen würden besonderen Schutz brauchen. Für alle Kinder sei die gesundheitliche Situation eine Herausforderung: „Die psychische Belastung ist enorm, und es gibt zu wenig Ansprechpartnerinnen und Ansprechpartner, an die sich die Kinder und Jugendlichen wenden können.“

Hamann (Grüne): Kinder haben ein Recht auf Klimaschutz und Natur

Für Sibylle Hamann (Grüne) besteht der größte Handlungsbedarf bei „Bildung im weitesten Sinn. Bildung ist mehr, als das, was wir im Unterricht lernen. Schule ist ein sozialer Ort, wo Kinder zu Menschen werden, und dieser Rolle wird die Schule derzeit nicht gerecht. Multiprofessionelle Teams und müssen massiv ausgebaut werden, das erweitert auch die Sichtweisen. Schule ist der Ort, wo man an die Teilhabe in der Gesellschaft herangeführt wird.“ Sie kritisierte die Zersplitterung der Kompetenzen: „Der gesamte elementarpädagogische Bereich gehört in Bundeskompetenz! Derzeit dürfen wir im Nationalrat nicht einmal ein Rahmengesetz für Kindergärten beschließen!“

Ein großes Anliegen ist ihr naturgemäß der Bereich Klima und Zukunft: „Kinder haben ein subjektives Recht auf Zukunft, Klimaschutz und Natur. Es muss einklagbar auf internationaler Ebene sein, und auf allen Ebenen vollzogen werden.“ Es gelte, Mitbestimmung junger Menschen zu ermöglichen und Selbstermächtigung zu fördern: „Das einzige, was der Demokratie wirklich hilft, ist, dass Kinder konkret mitbestimmen lernen.“

Krisper (NEOS): Psychotherapie auf Krankenschein für alle!

„Bei den Ministerien gibt es einen negativen Zuständigkeitskonflikt – alle wollen die Zuständigkeit für die Umsetzung der Kinderrechte abschieben. Hier muss man klare Verantwortlichkeiten festlegen“, forderte Stephanie Krisper (NEOS). Bei der Kinder- und Jugendhilfe sei die Verlagerung der Kompetenz zu den Ländern ein „fataler Fehler“ gewesen. Die Rechtsvertretung von unbegleiteten minderjährigen Flüchtlingen gehöre ab Tag eins garantiert – und es bedarf offensichtlich eines entsprechenden Budgets für die nötigen Ressourcen, damit Bereitschaft entstehe, diese Verantwortung zu übernehmen.

Und auch sie macht auf die prekäre gesundheitliche Situation vieler Jugendlicher aufmerksam: „Psychische Erkrankungen müssen mit physischen gleichgesetzt werden“, meint sie und fordert: „Psychotherapie auf Krankenschein für alle!“

Volksanwalt Achitz an alle Parteien: Kinderrechte in die Koalitionsverhandlungen!

Eine Vertreterin der ÖVP musste kurzfristig krankheitsbedingt absagen. Volksanwalt Achitz gab seiner Hoffnung Ausdruck, dass „alle Parteien manche Ergebnisse des NGO-Forums in die künftigen Koalitionsverhandlungen einbringen werden. Das Ziel ist, die Kinderrechtskonvention in Österreich möglichst bald und möglichst vollständig umzusetzen.“

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Ombudsman hands over the annual reports of the Ombudsman and NPM to the Speaker of the National Assembly

Date of article: 06/06/2024

Daily News of: 11/06/2024

Country:  Slovenia

Author: Human Rights Ombudsman of Slovenia

Article language: en

Today, 6 June 2024, Human Rights Ombudsman Peter Svetina handed over the 29th regular Annual Report of the Human Rights Ombudsman and the 16th report of the National Preventive Mechanism for 2023 to the Speaker of the National Assembly of the Republic of Slovenia, Urška Klakočar Zupančič, MA, after he had forwarded it to the National Assembly yesterday in accordance with Article 5 of the Human Rights Ombudsman Act. After the meeting, the Ombudsman and the Speaker of the DZ made a public statement.

Yesterday he handed over the reports to President of the Republic of Slovenia Dr. Nataša Pirc Musar, and tomorrow, 7 June, he will hand them over to the Prime Minister, Dr. Robert Golob.

In his conversation with the President of the National Assembly, the Ombudsman emphasised that he is satisfied that a few more recommendations have been implemented than in the previous year, but those responsible are still lagging behind in implementing the recommendations, which are of a systemic nature. The Ombudsman is not satisfied with the slow implementation of the decisions of the Constitutional Court, so he recommended that the National Assembly adopt a mechanism whereby the government will report to it every year on the implementation of the judgments of the Constitutional Court of the Republic of Slovenia and the European Court of Human Rights. In the conversation, the Ombudsman praised the actions of the National Assembly, which in July 2023, after several years of warnings, adopted a parliamentary amendment to the Act on Compensation to Victims of Crime, which enables the right to state compensation even for persons who are not citizens of the Republic of Slovenia or other EU countries, which is especially important for victims of human trafficking.

The Ombudsman identified 262 new violations of human rights in 2023 and made two more recommendations to those responsible than the previous year. Ombudsman Peter Svetina is an optimist and believes that the authorities will implement them.

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