L'interdiction de facto de l'avortement en Pologne menace la vie des femmes, selon le Parlement

Date of article: 27/11/2020

Daily News of: 27/11/2020

Country:  EUROPE

Author: European Parliament

Article language: fr

  • La restriction des droits à l'avortement ne fait qu'accroître le nombre d'avortements dangereux

  • La décision n'aurait pas dû être prise alors que des restrictions de santé publique étaient en vigueur et que les assemblées publiques étaient interdites

  • Les droits humains fondamentaux des femmes ne sont plus garantis

  • L'UE doit réagir à "l'effondrement systémique de l'État de droit"

Les députés condamnent le recul des droits sexuels et reproductifs des femmes en Pologne et soulignent l'obligation légale de l'UE de les faire respecter et de les protéger.

Dans une résolution adoptée par 455 voix pour, 145 contre et 71 abstentions, le Parlement déclare que la décision du 22 octobre du Tribunal constitutionnel polonais de rendre l'avortement illégal dans les cas de malformations fœtales graves et irréversibles "met en péril la santé et la vie des femmes", étant donné que la plupart des avortements légaux dans le pays sont pratiqués pour ces raisons. L’interdiction de cette possibilité, qui représente 96% des interruptions légales de grossesse en Pologne en 2019 (1074 cas sur 1110), entraînerait "une augmentation des avortements illégaux, dangereux et présentant un risque mortel".

a coalition au pouvoir dirigée par le parti "Droit et justice" (PiS) et qui en dépendent entièrement.

Les droits des femmes sont des droits humains fondamentaux

Le Parlement note que, conformément à la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l'homme, des lois restrictives en matière d’avortement constituent une violation des droits fondamentaux des femmes. Les députés soulignent qu’un accès sans entrave et en temps utile aux services de santé reproductive ainsi que le respect de l’autonomie des femmes en matière de reproduction et de prise de décision à ce sujet sont essentiels pour protéger les droits fondamentaux des femmes et l’égalité entre les genres.

Les droits des femmes sont des droits fondamentaux, affirme le Parlement, rappelant que les institutions et les États membres de l’UE sont juridiquement contraints de les respecter et de les protéger. Les députés font remarquer que les professionnels de santé polonais invoquent de plus en plus la clause de conscience, même lorsqu’ils sont invités à prescrire des contraceptifs ou pour empêcher l’accès au dépistage prénatal. Des milliers de femmes polonaises sont contraintes de se rendre à l’étranger chaque année pour avoir accès à des services de santé aussi essentiels que l’avortement, ce qui menace d’autant plus leur santé et leur bien-être, ajoutent les parlementaires.

Soutenir les manifestants et non la violence

Les députés témoignent leur soutien et leur solidarité à l’égard des citoyens polonais, en

Le texte fait remarquer que la décision a été prise par des juges qui sont élus par la 

particulier des femmes et des personnes LGBTI+, qui, "malgré les risques sanitaires, sont descendus dans la rue pour protester contre de graves atteintes à leurs libertés et à leurs droits fondamentaux". Ils font remarquer que la décision a été rendue à un moment où d’importantes restrictions étaient en place pour contrer la pandémie de COVID-19, constituant "une sérieuse entrave à tout débat démocratique digne de ce nom".

Le texte condamne le recours excessif et disproportionné à la force et à la violence contre les manifestants par les autorités répressives et d’autres acteurs tels que les groupes nationalistes d’extrême droite.

L’État de droit s’effondre en Pologne, l’UE doit agir

Le Parlement estime que cette décision "est un autre exemple de la subordination politique du pouvoir judiciaire et de l’effondrement systémique de l’État de droit en Pologne". Les députés demandent à la Commission européenne d’évaluer la composition illégale du Tribunal constitutionnel. Selon le Parlement, la composition illégale du Tribunal représente un motif de contestation de ses décisions et, dès lors, de sa capacité à respecter la constitution polonaise. Le Conseil devrait de son côté prendre des mesures concernant cette question et d’autres allégations de violation des droits fondamentaux en Pologne conformément à l’article 7, paragraphe 1, du traité sur l’Union européenne.

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IOI Ombudsman News, 46/2020

Date of article: 27/11/2020

Daily News of: 27/11/2020

Country:  WORLD

Author: International Ombudsman Institute

Article language: en

Covid-19 Webinar

ISRAEL-IOI | Ombudsman community shares experiences on how to handle new challenges caused by Covid-19

On 24 November 2020, the State Comptroller and Ombudsman of Israel held an international Zoom Webinar under the auspices of the IOI on the topic of “Covid-19 and the Ombudsperson - Rising to the Challenge of a Pandemic”. The webinar brought together participants from 50 Ombudsman offices around the world to learn how a long-term crisis can still act as a platform for best practices and improvement.



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WORLD | UN resolution on the role of the Ombudsman

The International Ombudsman Institute is very happy to report that the UN resolution on the role of the Ombudsman (A/RES/72/186) was adopted by consensus on 19 November 2020 and that the final version of the resolution is due to be adopted by the UN General Assembly before the end of the year.



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Own motion investigation report

AUSTRALIA | Own motion investigation on preventing suicide by children and young people

Western Australia Ombudsman Chris Field has tabled in Parliament the report of a major own motion investigation on “Preventing suicide by children and young people 2020”. The 2020 Investigation examines what is known about suicide and self-harm by Western Australian children and young people, current strategic frameworks, and data obtained during the Ombudsman’s investigation.



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Reinier van Zutphen

THE NETHERLANDS | Reinier van Zutphen reappointed

The House of Representatives reappointed Reinier van Zutphen as National Ombudsman of the Netherlands on 24 November 2020.



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PORTUGAL | Ombudsman recommends banning television competitions that use telephone numbers at extra cost

The Ombudsman, Maria Lúcia Amaral, addressed a set of recommendations to the Secretary of State for Consumer Protection, with a view to protecting the rights of consumers, particularly the most vulnerable, in the context of television competitions which call for more expensive telephone calls.



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exposición zoom

ARGENTINA | Exposición sobre la participación de la economía social y solidaria en las cadenas de valor de la producción

El defensor del Pueblo de Santa Fe, Raúl Lamberto, presentó la exposición sobre la “Participación de la Economía Social y Solidaria en las cadenas de valor de la Producción”, que brindó este jueves Juan José Bertero, especialista en el tema de cadenas de valor y ex ministro de la Producción de la provincia de Santa Fe, a través de la plataforma Zoom.



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uk nipso news quarterly-bulletin-winter foto

UK | NIPSO Quarterly Bulletin – Winter 2020

The Northern Ireland Public Services Ombudsman (NIPSO) launches the winter edition of its Quarterly Bulletin. The Bulletin aims to provide readers with a short, easy-to-read summary of news from the office, drawing attention to NIPSO’s most recent investigation reports, providing updates on new initiatives, and highlighting other aspects of the Ombudsman’s work.



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EUROPE | Prisons and prisoners in Europe in pandemic times

During the month of March 2020, most European countries introduced lockdowns of their populations to reduce the spread of the COVID-19 pandemic. Such measures can have an impact on the extent of crime and, indirectly, on the size of prison populations. In order to measure the side-effects of the pandemic on the prison populations the Council of Europe and the University of Lausanne launched the SPACE I – COVID-19 project to follow closely the effects of the pandemic on prisons, inmates and probationers across Europe.



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Comité de Asuntos Financieros y Económicos del Yuan de Control

TAIWÁN | Comité de Asuntos Financieros y Económicos del Yuan de Control supervisa al Ministerio de Trabajo

Con el fin de comprender la implementación de asuntos laborales, tales como políticas laborales, seguro laboral, jubilación, bienestar, inspección laboral, planificación del sistema de igualdad y supervisión, el Comité de Asuntos Financieros y Económicos del Yuan de Control (YC) supervisó al Ministerio de Trabajo el 30 de octubre de 2020. Durante la visita, la delegación escuchó un informe de dicho ministerio e intercambió opiniones.



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Tamar Gvaramadze at UN high level forum

GEORGIA | Public Defender participates in High Level Forum on Business and Human Rights

On 18 November 2020, Tamar Gvaramadze, First Deputy Public Defender of Georgia, participated in the UN Human Rights Council’s 9th high level online Forum on Business and Human Rights. The theme of the forum was "Preventing business-related human rights abuses: The key to a sustainable future for people and planet".



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(CoE) Stop cyberviolence against women and girls

Date of article: 25/11/2020

Daily News of: 26/11/2020

Country:  EUROPE

Author: Commissioner for Human Rights - Council of Europe

Article language: en

“Cyberviolence against women is an increasing problem in Europe. It can take many forms, including (sexual) harassment, revenge porn and threats of rape, sexual assault or murder.  Perpetrators can be partners or ex-partners, colleagues, schoolmates or, as is often the case, anonymous individuals. Some women are particularly exposed, such as women’s rights defenders, journalists, bloggers, video gamers, public figures and politicians. Cyberviolence affects women disproportionately not only causing them psychological harm and suffering but also deterring them from digital participation in political, social and cultural life” said Dunja Mijatović, Council of Europe Commissioner for Human Rights today, ahead of the International Day for the Elimination of Violence against Women.

Worryingly, the COVID-19 pandemic lockdown imposed in many European countries has increased women’s and girls’ exposure to online gender-based violence, particularly sexual violence, facilitated by the increased use of digital communications over this period. Like any other form of violence against women, cyberviolence hampers the full realisation of gender equality and violates women’s rights.

While cyberviolence against women occurs daily on the Internet, and especially on social media platforms, the latter can also be powerful weapons in the fight against this scourge. In recent years, movements against sexual violence have spread on the web, encouraging women to start to speak up about their experience. The Internet can also be a good place for awareness-raising campaigns alerting people to the risks of cyberviolence and offering counselling and support services to victims. An excellent example is the OSCE Representative on Freedom of Media’s SOFJO project focusing on online safety of female journalists.

At the Council of Europe level, in addition to the Lanzarote Convention, which deals with sexual abuse and exploitation against children, and the Budapest Convention on Cybercrime, there is the landmark Istanbul Convention, the Council of Europe Convention on preventing and combating violence against women and domestic violence. It requires States Parties to prohibit psychological violence, stalking and sexual harassment. It also calls for preventive measures in the educational sector and ways to be found to encourage private companies and the media to set themselves self-regulatory standards, such as measures limiting any form of verbal abuse of women. It is important that all member states ratify and fully implement it.

Under the Istanbul Convention, perpetrators should be duly prosecuted and sanctioned. To make this happen in the field of cyberviolence against women, this specific form of violence should be covered by criminal law and should not remain unpunished. For this purpose, there should be easily accessible, safe and specialised online mechanisms enabling women to report abuse to the authorities and obtain both protection and the removal of harmful materials. Law enforcement agencies should be trained to be able to investigate and prosecute cyberviolence more efficiently.

I welcome all initiatives by the Council of Europe and its member states to combat cyberviolence against women. I also urge all member states to support civil society organisations involved in this fight and to co-operate with them and with national human rights institutions and internet companies. In addition, it is essential to tackle the root causes of cyberviolence against women by condemning sexism more generally and questioning gender stereotypes. The Council of Europe Committee of Ministers Recommendation CM/Rec(2019)1 on preventing and combating sexism and the related stop sexism campaign are useful tools in this respect.

Cyber-attacks and violence against women are often not taken seriously. This should change, and states must address cyberviolence as much as any other form of violence against women, using all the tools at their disposal.  As this is not just a women’s issue, it is crucial to get men involved in preventing it and to highlight the positive role they can play in this respect. If states do not act, then online freedom of expression is threatened. If, on the contrary, states address online gender-based violence by using the existing international human rights framework, they will make of Internet an open, safe and free platform to exchange ideas.

Let’s make the digital world a place where gender equality is a reality and where women and girls feel safe, free from violence, empowered and more visible.

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El Defensor del Pueblo explica en el Congreso sus actuaciones durante la crisis sanitaria

Date of article: 26/11/2020

Daily News of: 26/11/2020

Country:  Spain

Author: National Ombudsman of Spain

Article language: es

El Defensor del Pueblo (e.f.), Francisco Fernández Marugán, ha comparecido este jueves en el Congreso de los Diputados ante la Comisión Mixta de Relaciones con el Defensor del Pueblo para presentar un resumen de las actuaciones realizadas por la Institución con motivo de la pandemia de la COVID-19.

La Institución ha tramitado desde principios de año más de 26.000 actuaciones entre quejas, colectivas e individuales, quejas de oficio y solicitudes de interposición de recurso de inconstitucionalidad, muchas de ellas relacionadas con la crisis sanitaria.

Fernández Marugán ha comenzado su intervención explicando que desde el primer momento de la pandemia la Institución que dirige trabajó a pleno rendimiento gracias al sistema de teletrabajo puesto en marcha en 24 horas.

El Defensor se ha referido a las solicitudes de recurso de inconstitucionalidad contra el Real Decreto 463/2020, de 14 de marzo, por el que se declara el estado de alarma para la gestión de la situación de crisis sanitaria ocasionada por la COVID-19 y sus prórrogas.

Fernández Marugán ha asegurado que para el Defensor del Pueblo la citada norma es “plenamente conforme con la Constitución” y ha explicado que dicho Real Decreto “llevó a cabo una ponderación de derechos fundamentales razonable en el contexto de amenaza global que sufrimos”.

Por otra parte, en relación al Real Decreto de 25 de octubre por el que se declara un nuevo estado de alarma, el Defensor ha apuntado que se han recibido ocho solicitudes de interposición de recurso sobre las que la Institución se pronunciará “en el momento oportuno, que será a finales de enero del próximo año”.

Quejas sobre libertades públicas

El Defensor ha continuado su intervención refiriéndose a las limitaciones a la circulación impuestas, tras decretarse el estado de alarma, que motivaron quejas al inicio del confinamiento relativas a las salidas con menores; actuaciones sancionadoras incorrectas de algún miembro de los cuerpos de seguridad del Estado; acoso de particulares a personas con discapacidad intelectual cuando salían a dar paseos terapéuticos; etc.

Todas estas quejas fueron trasladadas al Ministerio del Interior que en su respuesta explicó las distintas órdenes dictadas para aclarar aspectos que estaban generando dudas sobre las limitaciones de circulación.

Carencias del Sistema Nacional de Salud

Fernández Marugán ha asegurado en el Congreso que esta crisis ha agudizado algunas de las carencias que venía arrastrando el Sistema Nacional de Salud, “cuya capacidad de respuesta se ha visto casi superada en los peores momentos”.

Entre dichas carencias, el Defensor ha destacado “la debilidad de la atención primaria; la fragilidad de los servicios de urgencias hospitalario; el problema crónico de las listas de espera de especialidades, y la insuficiente atención pública a la salud mental”. 

Según ha explicado, “la restricción de gasto durante la crisis económica redujo los presupuestos sanitarios de las administraciones públicas, lo que se tradujo en una menor inversión en equipos y obras de mantenimiento (sobre todo en los hospitales más antiguos), así como en una reducción de las plantillas, que además tenían peores condiciones laborales, contratos menos estables y menores salarios”.

No obstante, Fernández Marugán ha apuntado que la pandemia ha revelado también las fortalezas del sistema sanitario, como “la buena formación de miles de profesionales, el acceso universal y gratuito a los servicios sanitarios y una organización muy experimentada”.

En su opinión, para robustecer el sistema “hay que revisar el modelo organizativo para aumentar la eficiencia”. En este contexto, Fernández Marugán ha resaltado que “la sanidad en España no requiere edificios más grandes ni infraestructuras espectaculares, necesita que se apoye el sistema público sanitario y realizar una gestión más eficaz y coordinada de los recursos humanos y materiales”. “El Sistema Nacional de Salud es garantía de igualdad y de seguridad y los poderes públicos no pueden relajar su cuidado y mantenimiento”, ha enfatizado.

Por ello, el Defensor ha instado a reforzar la atención primaria “con profesionales, medios técnicos y organizativos” y la atención hospitalaria “para reducir listas de espera”, así como a terminar con la precariedad y la temporalidad en el trabajo que “son el mayor problema para los trabajadores del Sistema Nacional de Salud”.

Asimismo, ha afirmado que es urgente mejorar la coordinación interterritorial, puesto que “la salud no conoce fronteras o límites territoriales” y también ha abogado por crear una agencia estatal de salud pública con altas capacidades en situación de emergencia.

Atención sanitaria durante la pandemia y actuaciones del Defensor

Fernández Marugán ha señalado que al inicio de la pandemia se recibieron quejas que expresaban el temor de muchas personas por su propia salud y la de los suyos.

Así, ha explicado que los ciudadanos lamentaban la saturación de los centros hospitalarios y la suspensión de la actividad ordinaria en los centros sanitarios de atención primaria. También se recibieron quejas sobre la escasez de camas, personal entrenado y respiradores y sobre la falta de material de protección para el personal sanitario, que ponía en riesgo su salud y su trabajo.

Tras el levantamiento del estado de alarma, el Defensor ha apuntado que las quejas de los ciudadanos se centraron el cierre de consultorios locales; el retraso de citas para consulta y operaciones; el acompañamiento de pacientes hospitalizados y los protocolos de realización de pruebas diagnósticas PCR.

La Institución emitió un comunicado el 20 de marzo, dirigido a todas las administraciones sanitarias, en el que recordaba que la unidad de acción de todos los poderes e instituciones del Estado resultaba crucial y en el que pedía a todas las administraciones que coordinasen lealmente su acción para incrementar la dotación de recursos del sistema sanitario y social, en especial el residencial, público o privado. Además, el Defensor también resaltaba en dicho comunicado que el suministro de material de protección era imprescindible para los trabajadores sanitarios, personal asistencial y enfermos.  

El Defensor también le trasladó al Ministerio de Sanidad la preocupación de la Institución sobre la aplicación de procedimientos de priorización de pacientes en las unidades de cuidados intensivos. Para Fernández Marugán, “lo ético y exigible es singularizar clínicamente las decisiones de esta naturaleza sobre cada paciente”.

La Institución también dirigió actuaciones de oficio a todas las consejerías de sanidad o salud autonómicas para conocer de forma estructurada la respuesta dada por cada territorio a la emergencia sanitaria. Asimismo, requirió a las CCCA que informaran sobre las medidas que estaban tomando para atender las necesidades de los centros residenciales, incluidos los protocolos aplicados sobre derivación de residentes enfermos a los hospitales.

El 29 de mayo, tras el inicio de la desescalada, el Defensor volvió a dirigirse a todas las consejerías sanitarias para conocer las medidas adoptadas para la vigilancia y control de la pandemia a partir de ese momento. (...)

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Uso delle mascherine, il parere dell’Omceo

Date of article: 26/11/2020

Daily News of: 26/11/2020

Country:  Italy - Marches

Author: Garante regionale dei diritti della persona (Regional Ombudsman of Marches)

Article language: it

Prima risposta per la richiesta di valutazioni tecniche avanzata nei giorni scorsi dal Garante Andrea Nobili. A sottoscriverla è il Presidente dell’Ordine dei medici chirurghi e degli odontoiatri della provincia di Ancona, Fulvio Borromei, proponendo una nota elaborata dalla dottoressa Arcangela Guerrieri, Consigliere segretario dell’Omceo e pediatra di libera scelta, e dal dottor Leonardo Felici Presidente della sezione Marche della Società Italiana di Pediatria

Uso delle mascherine da parte dei bambini nel corso delle lezioni scolastiche, prima risposta per la richiesta di pareri tecnici avanzata nei giorni scorsi dal Garante Andrea Nobili. A fornire una valutazione sulla questione è il Presidente dell’Ordine dei medici chirurghi e degli odontoiatri della provincia di Ancona, Fulvio Borromei, attraverso una nota elaborata dalla dottoressa Arcangela Guerrieri, Consigliere segretario dell’Omceo e pediatra di libera scelta, e dal dottor Leonardo Felici Presidente della sezione Marche della Società Italiana di Pediatria.

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