The Parliamentary Ombudsman directs criticism towards the Social Care Board in Avesta municipality for using a digital communication service when contacting an individual without considering the legal prerequisites

Date of article: 16/12/2020

Daily News of: 16/12/2020

Country:  Sweden

Author: Parliamentary Ombudsmen of Sweden

Article language: en

A 14 year old girl was taken into care pursuant to the Care of Young Persons Act, in April 2019 she deviated from the residential home where she was placed. She was found three weeks later. During the time she was away, the administration communicated with her via the digital communication service Snapchat.

The Parliamentary Ombudsman states that it is the responsibility of the Social Services to ensure, in each individual case, that a digital communication service is used in such a way that it is not in conflict with the regulations governing the handling of data. As the administration, in this case, had not investigated the legal conditions for using the digital communication service Snapchat, the Parliamentary Ombudsman states that the administration should have refrained from using the service. Despite this, the service was used on several occasions to, for example, give the girl information covered by chapter 26, section 1 of the Public Access to Information and Secrecy Act. The Parliamentary Ombudsman views this as unacceptable and directs criticism towards the Social Care Board.

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(PE) Améliorer la qualité de l’eau du robinet et réduire les déchets plastiques

Date of article: 15/12/2020

Daily News of: 15/12/2020

Country:  EUROPE

Author: European Parliament

Article language: fr

  • Une baisse de la consommation d’eau en bouteille pourrait faire économiser plus de 600 millions d’euros par an aux ménages de l’UE

  • “Right2Water” devient la première initiative citoyenne européenne à être transposée en acte législatif

    • Un seuil plus strict pour certains polluants

    • La directive sur l’eau potable approuvée par le Parlement garantira un meilleur accès à une eau du robinet de haute qualité, notamment pour les groupes vulnérables.

      Mardi, le Parlement a approuvé l’accord avec les États membres sur la nouvelle directive relative à l’eau potable. La nouvelle règlementation vise à garantir une eau du robinet de haute qualité dans l’ensemble de l’UE. Cette directive fait suite à la signature par plus de 1,8 millions d’Européens de la toute première initiative citoyenne européenne réussie, “Right2Water”, qui soutient l’amélioration de l’accès à une eau potable sûre pour tous les Européens.

       

      À cette fin, les États membres veillent à l’approvisionnement gratuit en eau dans les bâtiments publics et devraient encourager les restaurants, les cantines et les services de restauration à fournir aux consommateurs de l’eau gratuitement ou à bas prix. Les États membres devraient également prendre des mesures pour améliorer l’accès à l’eau pour les groupes vulnérables, tels que les réfugiés, les communautés nomades, les sans-abris et les cultures minoritaires comme les Roms et les gens du voyage.

      Gérer et améliorer la qualité de l’eau du robinet

      Afin de permettre à la population de boire l’eau du robinet plutôt que de l’eau en bouteille et d’encourager cette pratique, la qualité de l’eau du robinet sera améliorée en imposant des limites plus strictes pour certains polluants, dont le plomb.

      D’ici le début de l’année 2022, la Commission établira et assurera le suivi d’une liste de substances ou de composés présentant un intérêt pour la santé publique ou scientifique. Il s’agira notamment de produits pharmaceutiques, de perturbateurs endocriniens et de microplastiques.

      La Commission veillera également à établir des listes européennes indiquant quelles substances sont autorisées à entrer en contact avec l’eau potable.

      Les États membres veilleront à ce que les mesures prises pour mettre en œuvre les nouvelles normes soient fondées sur le principe de précaution et qu’elles n’entraînent en aucun cas une détérioration de la qualité actuelle de l’eau potable.

      Citation

      “Vingt ans après l’entrée en vigueur de la première directive sur l’eau potable, il est temps de mettre à jour et de durcir les seuils de certains contaminants, tels que le plomb. Pour le Parlement européen, il était de la plus haute importance que la nouvelle directive rende notre eau potable encore plus sûre et qu'elle tienne compte des nouveaux polluants. Je salue donc les dispositions de la directive relatives aux microplastiques et aux perturbateurs endocriniens tels que le bisphénol A”, a déclaré Christophe Hansen (PPE, LU), le député en charge du dossier.

      Prochaines étapes

      La directive entrera en vigueur 12 jours après sa publication au Journal officiel de l’UE. Les États membres doivent apporter les modifications nécessaires pour se conformer à la directive dans un délai de deux ans à compter de l’adoption de la législation.

    • Contexte

      Selon la Commission, une baisse de la consommation d’eau en bouteille pourrait aider les ménages de l’UE à économiser plus de 600 millions d’euros par an. Si la confiance dans l’eau du robinet s’améliore, les citoyens pourront également contribuer à réduire les déchets plastiques provenant de l’eau en bouteille, ce qui permettrait aussi de réduire les déchets marins. Les bouteilles en plastique sont les articles en plastique à usage unique que l’on retrouve le plus sur les plages d’Europe.

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Obligación de los ayuntamientos de mantener a las personas presas en su padrón municipal

Date of article: 15/12/2020

Daily News of: 15/12/2020

Country:  Spain - Basque Country

Author: Regional Ombudsman of the Basque Country

Article language: es

Recomendación general del Ararteko 6/2020
Vitoria-Gasteiz

El Ararteko ha recibido varias quejas individuales y de entidades procedentes del tercer sector del ámbito penitenciario, que tienen como motivo las dificultades de personas presas y expresas de acceder a prestaciones y servicios públicos a los que pudieran tener derecho.

Observamos que, a menudo, el elemento que subyace bajo dichas dificultades de acceso está en la falta de empadronamiento en sus municipios o, en su caso, en el propio centro penitenciario.

La previsión normativa como caso especial de empadronamiento de las personas presas se estableció en 2015. Sin embargo, hemos observado que dicha regulación es desconocida.

Lo cierto es que, a pesar de que el aumento de personas presas por delitos contra la seguridad del tráfico o por delitos relativos a la violencia de género ha modificado enormemente los perfiles sociales de las personas que se encuentran en los centros penitenciarios, la mayoría sufren muchas veces procesos de exclusión social que se perpetúan en el tiempo.

De este modo, el propio paso por prisión se convierte en un factor de exclusión social que acelera o termina por agotar los vínculos sociales y familiares de la mayoría de personas presas que han pasado largos periodos de tiempo privados de libertad y consecuentemente, en dicha trayectoria en el medio penitenciario pierden igualmente el padrón municipal.

La realidad por tanto es que, salvo en el excepcional caso de que sean propietarios de la vivienda o que mantengan lazos muy sólidos con el núcleo familiar, al cabo de un tiempo el ayuntamiento de origen procede a dar a esas personas presas de baja en el padrón.

La trayectoria de años en prisión y la consiguiente pérdida de los vínculos familiares y sociales o comunitarios, hace que muchas de estas personas presas hayan perdido el padrón municipal de origen, cuando por su evolución penitenciaria favorable podrían comenzar a acceder a medidas de semi-libertad.

Por otro lado, la posibilidad de empadronamiento en el centro penitenciario, es un derecho de las personas presas para poder iniciar procesos de inclusión en el municipio donde se ubica el centro cuando carezca de arraigo y padrón en su lugar de origen por la pérdida de vínculos.

Por ello, entre otras cuestiones, el Ararteko recomienda a los ayuntamientos vascos:

- Que mantengan el empadronamiento de las personas presas de su municipio durante el tiempo de estancia en prisión.

- Que, si cabe legalmente acordar la baja, se comunique a los servicios sociales del centro penitenciario para que la persona presa pueda inscribirse en el padrón municipal donde se ubica el centro penitenciario y evitar, así, la pérdida de la antigüedad en el padrón municipal.

- Que elaboren un protocolo sobre cómo deben actuar las diferentes áreas municipales, cuando tengan conocimiento de que uno de sus vecinos o vecinas está cumpliendo una pena de prisión y que se prevea la intervención de los servicios sociales para personas en riesgo de exclusión.

Vitoria-Gasteiz, 15 de diciembre de 2020

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London borough criticised for not saying sorry

Date of article: 15/12/2020

Daily News of: 15/12/2020

Country:  United Kingdom - England

Author: Local Government Ombudsmen for England

Article language: en

London Borough of Harrow has been criticised by the Local Government and Social Care Ombudsman for failing to properly remedy a complaint by apologising to a resident.

The man complained to the Ombudsman about the council not taking enforcement action against the owner of a neighbouring property which was empty, had overgrown gardens and was in a state of disrepair.

In February 2020, the council agreed with the Ombudsman’s recommendations to apologise to the man and pay him £200 for the time and trouble in bringing the complaint, within the month.

The Ombudsman wrote to the council’s Chief Executive on a number of occasions to confirm this had been done, but the office either ignored the Ombudsman’s investigator or said it would pass on the query. The council never followed up with a response.

Michael King, Local Government and Social Care Ombudsman, said:

This complaint highlights the need for councils to deal with all complaints properly. I am particularly disappointed the council did not respond to our enquiries about it complying with the remedy, which mirrored the experiences the man had when he initially complained to it.

“When councils agree to take action, they should make every effort to carry out their agreement swiftly. Not doing so can lead to people losing faith in their authority’s ability to put things right.

“I acknowledge the council has confirmed it has now carried out my recommendations. But by us publishing this report, the council is now required to formally consider its contents at a senior decision-making level which will increase the level of scrutiny on this case.”

The Local Government and Social Care Ombudsman’s role is to remedy injustice and share learning from investigations to help improve public, and adult social care, services. In this case the council has agreed to provide the apology and £200 it agreed to provide in February, plus a further £100 for the time and trouble in bringing the second complaint.

Article date: 15 December 2020

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