El Defensor del Pueblo andaluz inicia los Diálogos de Mediación con un debate sobre sus ventajas ante los conflictos entre ciudadanía y AAPP

Date of article: 10/03/2021

Daily News of: 11/03/2021

Country:  Spain - Andalucía

Author: Regional Ombudsman of Andalucía

Article language: es

La Institución del Defensor del Pueblo andaluz, pionera en introducir la mediación administrativa en las Defensorías, celebra este jueves 11 de marzo la primera sesión de los Diálogos de Mediación (#MediacióndPA) con el fin de abordar los retos a los que nos enfrentamos como sociedad a la hora de resolver los conflictos entre la ciudadanía y las administraciones.

Esta primera sesión abordará las ventajas de la mediación entre la ciudadanía y las administraciones públicas en un debate entre el catedrático de Resolución de Conflictos de la Universidad del País Vasco, Ramón Alzate Sáez de Heredia, y el Defensor del Pueblo andaluz y Defensor del Menor de Andalucía, Jesús Maeztu Gregorio de Tejada.

Estos diálogos se retransmitirán en streaming a través de esta misma página web o en nuestro canal de youtube a las 17:00 horas. Al final de cada sesión habrá un debate abierto donde los ponentes responderán a las preguntas de los asistentes, que se realicen en esta página web, en la casilla donde se escriben los comentarios.

Recomponer los desequilibrios de la relación entre las partes en conflicto, mejorar el diálogo, favorecer la participación y tener siempre presente el anclaje legal constituyen las claves que subyacen en cada uno de estos Diálogos de Mediación del Defensor del Pueblo andaluz, siempre con el horizonte de contribuir a construir sociedades más participativas y democráticas.

Los Diálogos de Mediación del dPA nacen este año con el compromiso de celebrar uno por trimestre y tocará temas como las ventajas y peculiaridades de la mediación; aspectos controvertidos de la mediación administrativa y los retos de la mediación en la era post-COVID-19.

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(CoE) Turkey: authorities should refrain from further restricting NGOs activities and freedom of association in the name of counter-terrorism

Date of article: 10/03/2021

Daily News of: 11/03/2021

Country:  EUROPE

Author: Commissioner for Human Rights - Council of Europe

Article language: en

In a letter addressed to the Minister of Interior and the Minister of Justice of Turkey, made public today, the Commissioner calls on the authorities to refrain from further implementing the Law on Preventing Financing of Proliferation of Weapons of Mass Destruction, pending the outcome of the Venice Commission review to be expected in June 2021, stressing that some of the aspects of the Law threaten the very existence of human rights NGOs.

The fact that this law, which entered into force on 31 December 2020, “has been rushed through parliament without any involvement of human rights NGOs epitomises the long standing problem of lack of consultation of these organisations on a systematic and institutional basis”, she said.

The Commissioner further warns that amendments to the laws on Associations and on Aid Collection, introduced by this law, could further stifle dissenting voices and tighten the government’s control on civil society fundraising activities. “Instead of neutralising the negative effects of the emergency decrees regarding NGOs, as I recommended in my report on Turkey, the government appears engaged in exactly the opposite direction by broadening the catalogue of tools which it may use to further target civil society organisations and human rights defenders, and their legitimate and lawful activities”, she regrets.

In this context, she recalls that any measures states take to counter terrorism must comply with all their obligations under international law, in particular international human rights law.

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(FRA) La violence à l’égard des femmes : un problème persistant

Date of article: 09/03/2021

Daily News of: 11/03/2021

Country:  EUROPE

Author: European Union Agency for Fundamental Rights

Article language: fr

En Europe, les femmes continuent d’être la cible courante d’actes de harcèlement et de violence. Nombreuses sont les femmes qui restreignent leurs déplacements et leurs rencontres, par crainte d’être agressées. Et très souvent, les femmes qui ont subi une agression ne la signalent pas. Telles sont quelques-unes des conclusions de l’enquête que vient de réaliser l’Agence des droits fondamentaux de l’UE (FRA) sur les expériences des victimes de certains types d’actes criminels. À l’occasion de la Journée internationale de la femme, la FRA appelle à une amélioration du soutien aux femmes, de façon à ce qu’elles puissent accéder à leurs droits.

« Nous ne pouvons plus ignorer le fait que trop de femmes en Europe ne se sentent pas en sécurité. Trop de femmes sont victimes de harcèlement et de violence. Les États membres de l’UE doivent absolument intensifier leurs efforts, afin de fournir un meilleur soutien aux femmes. Nous devons faire beaucoup plus pour combattre la violence envers les femmes et respecter leurs droits. Et il faut le faire maintenant », affirme le directeur de la FRA, Michael O’Flaherty.

Le rapport « Crime, safety and victims’ rights » (Criminalité, sécurité et droits des victimes) fait apparaître les constats suivants :

  • Harcèlement - Plus d’une femme sur quatre (28%) a fait l’objet d’un harcèlement au cours de l’année précédant l’enquête. Les femmes sont davantage victimes de harcèlement sexuel que les hommes et, le plus fréquemment, dans des lieux publics.
  • Violence – Le plus souvent, les femmes agressées l’ont été par un membre de la famille ou un parent proche (30%) et, dans la plupart des cas, au domicile (35%). Une proportion élevée de victimes souffrent de séquelles psychologiques.
  • Crainte d’être victime d’actes criminels – Pour se protéger, 83% des jeunes femmes limitent leurs déplacements et le cercle des personnes qu’elles côtoient.
  • Sous-signalement - Plus de deux femmes sur trois (68%) n’ont pas signalé à la police les actes de violence subis. Cela confirme que les statistiques officielles sur les crimes signalés sous-estiment considérablement l’ampleur de la violence à l’égard des femmes.

Ces données corroborent les conclusions de l’enquête de la FRA de 2012 sur la violence à l’égard des femmes (« Violence against women: an EU-wide survey ») et témoignent de l’importance et de l’intérêt d’offrir un meilleur soutien aux femmes. Ce soutien doit prendre en considération les besoins spécifiques des femmes victimes de violence, notamment en termes de sanctions contre les auteurs, d’éducation et de formation des agents de police, ainsi que des professionnels du droit et de la santé.

(...)

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