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Le Défenseur des droits veut être un partenaire loyal et utile à l’autorité judiciaire dans l’accomplissement de sa mission de protection des droits et libertés que lui a confiée le Constituant. Sa qualité d’autorité constitutionnelle indépendante (art. 2 de loi organique du 29 mars 2011) lui confère de nombreuses prérogatives...

...qui lui imposent autant de devoirs tels que l’impartialité et le respect du principe du contradictoire.

Les relations de l’institution avec les magistrats – à commencer par ceux qui, quotidiennement, encadrent notre travail- et avec l’ENM,  sa présence ou sa représentation dans un nombre croissant d’instances civiles ou pénales, sa contribution à l’évolution de la jurisprudence ou les échanges réguliers sur des dossiers concrets illustrent la construction progressive d’un véritable partenariat avec les juridictions, récemment encouragé par une circulaire du garde des Sceaux en date du 11 juin 2014.

Les protocoles d’accord signés avec les procureurs généraux lui permettent de disposer, auprès du procureur général et de chaque procureur de la République du ressort de la cour d’appel, d’un correspondant. Cette démarche, déjà aboutie avec plusieurs cours d’appel -dont, tout récemment, avec celles de Bordeaux et d’Aix-en-Provence - permet au Défenseur des droits d’être sans doute mieux identifié dans le milieu judiciaire et le sens de ses interventions mieux compris. A cet égard, je remercie le procureur général Huet d’avoir accepté de porter son témoignage.

Au-delà du développement d’utiles échanges d’information concernant nos saisines respectives portant sur des champs d’intérêt communs, ces protocoles ont vocation à nous permettre de coordonner les investigations en cas de saisine conjointe du procureur de la République et du Défenseur des droits, situation expressément envisagée par la loi organique. En particulier, si le secret de l'enquête et de l'instruction n’est pas opposable au Défenseur des droits (art. 20), lorsqu’il examine des faits donnant lieu à une enquête préliminaire ou de flagrance ou pour lesquels une information judiciaire est ouverte ou des poursuites judiciaires sont en cours, il doit recueillir l'accord préalable des juridictions saisies ou du procureur de la République (art. 23). Ces accords contribuent également à banaliser la présence du Défenseur des droits au procès dans le rôle d’amicus curiae que lui confère la loi organique (art. 33). Ils offrent enfin l’opportunité au Défenseur des droits d’offrir au ministère public, lorsque ce dernier en fait la demande, une expertise technique (avis à parquet et formation auprès des personnels) dans ses domaines de compétence.

L’efficacité de ces engagements repose évidemment sur la promotion qui en est faite au sein des  juridictions concernées. C’est pourquoi, il nous est apparu indispensable de créer un outil d’information spécifique, dédié à nos correspondants dans les juridictions afin que ceux-ci disposent d’une information précise sur les activités (décisions, avis, observations …) du Défenseur des droits qui intéressent directement la justice.

Nous espérons, à travers la diffusion de cette lettre, susciter un véritable réseau des correspondants judicaires au service de la complémentarité de nos actions.

Prof. Irena Lipowicz took part in the international conference on the occasion of 15th anniversary of establishing the institution of Public Defender of Human Rights in the Czech Republic. In her speech she mentioned, e.g. the challenges and perspectives regarding development of the Office of the Human Rights Defender. Along with representative of the Team of Initial Evaluation of Applications the Defender participated in the discussion on the instruments of impact on the process of legislation and judicial decisions of courts, as well as effective and innovative methods of operation of the ombudsman institutions.
The event was attended by Jan Dubovcov, Slovakian Public Defender of Human Rights, Lászlό Székely, Hungarian Commissioner of the Fundamental Rights and representatives of state and judicial authorities of the Czech Republic.

Su Majestad el Rey ha entregado este lunes el Premio de Derechos Humanos Rey de España a las representantes de la institución de las Adoratrices en el Paraninfo de la Universidad de Alcalá, en Alcalá de Henares.

Don Felipe ha subrayado su orgullo por el hecho de que nuestro país haya ofrecido y continúe ofreciendo al mundo personas como las Adoratrices, “con esa capacidad de proyectar un noble ideal a través de las sucesivas generaciones”.  Asimismo ha destacado que las premiadas son un magnífico ejemplo de la fuerza de cambio que supone el compromiso”.

La Defensora del Pueblo, Soledad Becerril, ha resaltado la labor “valiente, generosa y loable sin límites” que realizan las Adoratrices para “defender los derechos de mujeres sometidas a tratos que atentan a su dignidad, a su libertad y necesitan de protección y amparo”. Una labor que, según ha recordado la Defensora, permite que  las mujeres víctimas de redes de trata de seres humanos, “puedan liberarse, encontrar un hogar e intentar empezar una vida distinta”.

El rector de la UAH, Fernando Galván, ha ensalzado también el trabajo de las premiadas: “Es una gran labor la que realizan las Adoratrices en su trabajo con las mujeres víctimas de trata y de violencia de género. Por ello, quiero felicitarlas muy cordialmente, agradecerles su admirable dedicación, y animarlas de todo corazón a que prosigan con ella, pues creo que para todos es evidente la necesidad que tenemos en nuestras sociedades de erradicar esas flagrantes violaciones de los derechos humanos de las mujeres”, ha asegurado.

La superiora general de las Adoratrices, Teresa Valenzuela, ha agradecido este premio por ser una “oportunidad” para dar visibilidad a la realidad social de la trata de personas con fines de explotación. “Las víctimas son nuestra primera línea de batalla frente a la violencia que nuestra cultura es capaz de ejercer con las personas más indefensas y en situación de mayor vulnerabilidad”, ha dicho.

Las Adoratrices

La Institución de las Adoratrices, fundada en España en 1856, ha sido premiada por su labor en defensa de las mujeres víctimas de cualquier forma de explotación, exclusión o marginalidad.

Las Adoratrices están presentes en 23 países de Europa, Asia, África y América (Argentina, Bolivia, Brasil, Chile, Colombia, Cuba, Ecuador, Perú, República Dominicana y Venezuela) con programas de carácter social, casas de acogida, asistencia jurídica e inserción laboral.

Premio Derechos Humanos Rey de España

El Defensor del Pueblo y la Universidad de Alcalá otorgan cada dos años este galardón, que está dotado con 25.000 euros. El objetivo es premiar la labor de entidades que en Iberoamérica, España y Portugal se distingan por su trabajo en la defensa y promoción de los derechos humanos y de los valores democráticos.

Der Petitionsausschuss berät in einer öffentlichen Sitzung die Petition einer Bürgerinitiative, die mehr deutschsprachige Musik im Radiosender NDR 1 Radio MV fordert. Die Initiatoren dieser Sammelpetition, die mehr als 1.000 Unterstützer gefunden hat, begründen ihr Anliegen damit, dass der öffentlich-rechtliche Rundfunk den Musikgeschmack älterer Hörer über 60 Jahre zu wenig berücksichtige.