El Justicia acoge un homenaje a Emilio Gastón
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: Spain
- Aragon
Author: Regional Ombudsman of Aragón
Article language: es
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: Spain
- Aragon
Author: Regional Ombudsman of Aragón
Article language: es
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: France
Author: National Ombudsman of France
Article language: fr
Le fonctionnement de la plateforme Parcoursup chargée de l’affectation des étudiants depuis la loi du 8 mars 2018 relative à l'orientation et à la réussite des étudiants (ORE) a donné lieu a deux instructions du Défenseur des droits. D’une part, à la suite d’une autosaisine concernant la question de la prise en compte des étudiants en situation de handicap dans le cadre de Parcoursup, d’autre part, à la suite de plusieurs requêtes qui faisaient état de l’absence de transparence de la procédure d’affectation ainsi que du caractère potentiellement discriminatoire de certains critères utilisés pour retenir les candidats, notamment leur lieu de résidence ou leur situation sociale.
Concernant la question de la prise en compte des étudiants en situation de handicap, le Défenseur des droits recommande, dans sa décision n°2018-323 :
- que des mesures appropriées soient prises afin de garantir aux personnes handicapées un accès non discriminatoire à l’enseignement supérieur ;
- la mise en œuvre des mesures d’accompagnement des candidats handicapés ;
- que ces étudiants ne soient pas pénalisés dans l’évaluation de leurs parcours ;
- et d’examiner la possibilité de mettre en place dans chaque académie un dispositif permettant une affectation prioritaire des candidats en situation de handicap.
Par ailleurs, dans le cadre de l’instruction des saisines reçues, le Défenseur des droits a sollicité et obtenu des éléments d’explication de la part de Frédérique Vidal, ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, de Noëlle Lenoir, présidente du comité éthique et scientifique de la plateforme Parcoursup, de Gilles Roussel, président de la conférence des présidents d’université, et de plusieurs établissements d’enseignement supérieur.
À l’issue de son instruction, le Défenseur des droits a rendu une décision n°2019-021 dans laquelle il recommande à la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de :
- faire en sorte qu’au moment de la formulation de leurs vœux, et non plus a posteriori, les candidats disposent de l’ensemble des informations relatives aux modalités de traitement de leur candidature (ordre de prise en considération des critères propres à chaque formation, leur hiérarchisation, leur poids dans la prise de décision par la commission locale) afin d’assurer la transparence de la procédure et de permettre aux candidats d’effectuer leurs choix en toute connaissance de cause ;
- rappeler aux chefs des établissements d’enseignement supérieur la nécessité de définir de manière suffisamment précise les attendus locaux ;
- rendre effective la possibilité de mobilité géographique pour les candidats qui le souhaitent, en particulier en Ile-de-France : en 2018, dans certaines filières d’universités parisiennes, les seuils de candidats hors secteur fixés par le rectorat étaient limités à 1% ;
- favoriser l’accueil de candidats boursiers dans toutes les formations de l’enseignement supérieur afin d’atteindre l’objectif de mixité sociale figurant dans la loi ORE et d’éviter la concentration des étudiants boursiers dans certaines formations ou établissements ;
- mener une analyse approfondie concernant l’affectation des bacheliers technologiques et professionnels dans l’enseignement supérieur et favoriser davantage leur accès dans les formations de leur choix. Le bilan que le ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation établit du premier exercice de Parcoursup permet, en effet, de constater que ces bacheliers, dont beaucoup proviennent de milieux modestes ou défavorisés, reçoivent moins de propositions que les bacheliers généraux, sont confrontés à plus d’attente et font l’objet de plus de refus.
Enfin, le Défenseur des droits rappelle que le recours au critère du lycée d’origine pour départager les candidats peut être assimilé à une pratique discriminatoire s’il aboutit à exclure des candidats sur ce fondement. Il est favorable à l’idée d’anonymiser les candidatures déposées dans Parcoursup afin que le lieu de résidence ne soit pas visible.
Le Défenseur des droits demande à la ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation de rendre compte des suites données à ces recommandations dans un délai de deux mois et sera attentif au déroulement de la seconde année de la procédure Parcoursup.
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: Austria
Author: Austrian Ombudsman Board
Article language: de
Im südsteirischen Hügelland wird von zwei Schwestern eine nachhaltige Landwirtschaft betrieben. Künftig sollen nicht nur die bäuerlichen Produkte angeboten werden, sondern auch Gäste des Hauses die großartige Landschaft genießen können. Daher betrachtet die Familie mit wachsender Sorge die Expansion des nachbarlichen Erdbaubetriebes und bittet die Volksanwaltschaft, die rechtlichen Grundlagen für den Standort dieses nur 170 Meter entfernten Unternehmens zu prüfen.
Das Unternehmen, dessen Geschäftsführer auch Vizebürgermeister und Vorsitzender des Bauausschusses der Gemeinde ist, betreibt den Transport und die Aufbereitung von Baurestmassen, die auch asbesthältig sind. In weiterer Folge ist die Errichtung einer Tankstelle, einer Brecheranlage und Containern geplant. Die Lärm- und Staubbelastung sei laut Auskunft der Nachbarn schon jetzt unzumutbar.
Volksanwältin Brinek kritisiert insbesondere, dass das örtliche Entwicklungskonzept aus dem Jahr 2010 nicht mit dem 2015 geänderten Flächenwidmungsplan in Einklang zu bringen sei. Die im Freiland geschaffene Sondernutzung Lagerplatz und Verkehrsfläche sei weder im örtlichen Entwicklungskonzept vorgesehen noch wurde begründet, weshalb diese Fläche für diese Nutzung geeignet sein sollte. Darüber hinaus wurde auf die Durchführung einer Umwelterheblichkeitsprüfung komplett verzichtet. Brinek zu diesem nicht nachvollziehbaren Verfahren: „Es entsteht der Eindruck, dass der Betrieb den Inhalt des örtlichen Entwicklungskonzepts und der Flächenwidmung bestimmt. Ich bezweifle die Zulässigkeit dieses Unternehmens im Grünland.“
Brinek fordert die Gemeinde auf, umgehend ein ordentliches Verfahren durchzuführen und ein Fachgutachten einzuholen, das die umwelterheblichen Auswirkungen fundiert bewertet. Allenfalls müsse die Flächenwidmung neuerlich geändert werden.
Eine weitere Prüfung der Volksanwaltschaft in Hinsicht auf Gewerberecht, Naturschutz und Abfallwirtschaftsrecht ist anhängig.
Nachgefragt: Rückwidmung einer Liegenschaft in Freiland
Neue Entwicklungen gibt es im Fall jener Familie in der Steiermark, die eine Rückwidmung eines Teiles ihrer Liegenschaft in Freiland hinnehmen musste. Das Grundstück befindet sich in unmittelbarer Nähe eines landwirtschaftlichen Tierhaltungsbetriebes, der ständig erweitert wurde. Durch die Vergrößerung des Geruchsschwellenabstandes zu Gunsten des Betreibers waren die Nachbarn durch die Rückwidmung mit der fehlenden Bebaubarkeit des südwestlichen Teils ihres Grundstückes und somit einer Wertminderung konfrontiert. Die beanstandete Rückwidmung wird im Sinne der Forderung der Volksanwaltschaft zurückgenommen. Weiters wird noch einmal die Geruchsbelästigung gemessen und gegebenenfalls Auflagen zur Eindämmung erteilt. Schon jetzt hat der Betreiber des Tierhaltungsbetriebes um Genehmigung zur Errichtung von zwei Luftwaschanlagen angesucht.
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: Spain
- Basque Country
Author: Regional Ombudsman of the Basque Country
Article language: es
Una ciudadana acudió al Ararteko después de que Lanbide extinguiera su derecho a la Renta de Garantía de Ingresos (RGI) por darse de "baja voluntaria en un trabajo".
Según la reclamante, comenzó a trabajar en una empresa de limpiezas en octubre de 2016. Se trataba de un empleo protegido, orientado, por tanto, a facilitar su incorporación al mercado laboral. A pesar de ello, como consecuencia del trastorno mental que padece, se vio obligada a abandonar su puesto de trabajo a los diez días de la incorporación. La interesada padece un trastorno mental de evolución crónica, diagnosticado con anterioridad al año 2012, tal y como certifica el Servicio de Rehabilitación Comunitaria de la Red de Salud Mental de Álava.
En abril de 2017, interpuso un recurso contra la resolución de Lanbide, aportando un informe médico de Osakidetza.
Lanbide nos comunicó que según datos de la Tesorería General de la Seguridad Social, la reclamante causó baja voluntaria como trabajadora en la empresa y que no presentó ningún informe médico que justificase su problema de salud tal y como alegaba en fase de recurso. Por tanto, Lanbide consideró que no había "causa justificada", un concepto abstracto que puede ser objeto de diferentes interpretaciones, al no constar en la normativa de Inclusión Social cuándo entender que se ha rechazado el empleo de manera justificada.
El Ararteko considera que existía causa justificada para darse de baja voluntaria en el empleo y ha sugerido al Departamento de Empleo y Políticas Sociales del Gobierno Vasco que revise la resolución de Lanbide.
Vitoria-Gasteiz, 21 de enero de 2019
Date of article: 21/01/2019
Daily News of: 21/01/2019
Country: Spain
- Canary Islands
Author: Regional Ombudsman of the Canary Islands
Article language: es
El alcalde de Valleseco, Dámaso Arencibia, recibió a Rafael Yanes, Diputado del Común y su adjunto, Felipe Afonso. En esta primera visita institucional del Alto Comisionado del Parlamento de Canarias que tiene encomendado la supervisión de las actuaciones de las administraciones públicas, el alcalde mostró la total disposición del Ayuntamiento de Valleseco a colaborar con la Institución para cu...