La proposition de loi n°2106 vise à transférer à l’État la prise en charge financière des personnels accompagnants des élèves en situation de handicap (AESH) intervenant auprès de ces élèves pendant la pause déjeuner.
Adoptée au Sénat, elle sera examinée en commission à l’Assemblée nationale le mercredi 3 avril avant un examen en séance publique le 8 avril.

Dans son avis n°24-03 adressé à l’Assemblée nationale le 29 mars 2024, la Défenseure des droits a tenu à saluer l’examen de la proposition de loi visant la prise en charge par l’État de l’accompagnement humain des enfants en situation de handicap sur le temps méridien. Son adoption constituerait une avancée indéniable en termes d’accompagnement des élèves en situation de handicap qu’elle a appelé de ses vœux à de nombreuses reprises, en particulier dans un rapport d’août 2022 consacré à « l’accompagnement humain des élèves en situation de handicap ».

Néanmoins, la Défenseure des droits interpelle des parlementaires afin que ne soient pas occultés des débats, deux aspects essentiels : 

• la prise en charge par l’État des frais d’accompagnement des élèves en situation de handicap sur l’ensemble des temps périscolaires sans distinction ;
• et la définition d’un cadre juridique clair sur l’évaluation des besoins de l’enfant pendant les temps périscolaires.

En effet, le temps périscolaire, qui s’inscrit dans la continuité du temps scolaire, fait partie intégrante du droit à l’éducation. Ne pas permettre à l’enfant en situation de handicap d’être pleinement accueilli sur tous les temps périscolaires constitue donc une atteinte à son droit fondamental à l’éducation et à la scolarisation à laquelle il est temps de mettre fin.

Today, 29 March 2024, the Human Rights Ombudsman Peter Svetina welcomed the Minister of Natural Resources and Spatial Planning Jože Novak for a familiarisation visit. In their conversation, he emphasised that a clean, healthy, and safe environment is a fundamental human right, which originates from the right to human dignity and is the basis for the implementation of all other human rights. They agreed with the Minister that protecting the environment, preserving nature, and a healthy life are equally important issues as proper planning of space and the development needs of the population. In their discussion, they raised the issue of the preparation and adoption of the necessary regulations, which will actually enable the realisation of the right to drinking water, which was already written into the Constitution of the Republic of Slovenia in 2016.

In the conversation, they touched on many open issues in the field of care for natural resources, environment, and space and agreed on active and operational cooperation. They agreed that in the area of ​​environmental and spatial management, communication between the authorities and potentially affected residents is extremely poor. "The Republic of Slovenia is hyper-regulated in certain areas, but lacks a legislative framework in others. The absence of clear rules that allow cheating, the lack of coordination of individual intertwining areas of the environment and space, excessively long decision-making procedures, and ineffective control of inspection services are just some of the systemic anomalies that demand effective solutions", emphasised Ombudsman Svetina. He welcomed the Minister's efforts to increase the efficiency of the inspection services under his jurisdiction, since it is precisely in the field of work of the inspectorate responsible for natural resources and space that the institution of the Ombudsman has been drawing attention to numerous violations of the principle of good governance and other violations of human rights for years.   

The Ombudsman also talked with the Minister about legal protection against spatial implementation acts and building and other permits; on the necessary elimination of the unconstitutionality of the provisions within the Act on Architecture and Civil Engineering Activities, which, according to the Minister's explanations, is already under consideration by the government; and about the practice of the Directorate for Water in the disposal of land that has been deprived of the status of water that is a public good, where the Ombudsman has discovered certain anomalies; about the findings of the Ombudsman at the shooting range and training ground of the Poček Training Ground; coexistence with large animals; about concern for the health of residents in Anhovo and about the course of remediation of some other degraded areas in Slovenia and the importance of involving the public in cooperation in the preparation of regulations, in accordance with the Aarhus Convention and other regulations. "There is no dilemma as to whether the public has the right to participate in environmental matters. This is based on normative foundations, it is an expression of good management of bodies and the democratic social order," emphasised Ombudsman Svetina. He also stressed that high-quality regulations are also important for proper spatial planning. "If they are of good quality, they are understandable, their implementation is easier and faster, and informing the public about the stages of preparation on the spot reduces possible objections," said Ombudsman Peter Svetina at the introductory meeting, who was pleased that he and the Minister shared similar views on most of the topics raised, as well as the Minister's intention to address all the listed issues operationally and efficiently.

A l'invitation de David MORELLE, Directeur de la Direction de l'Optimisation et des Relations Usagers (DORU) du SPW, le Médiateur, Marc BERTRAND a participé à une réunion de travail avec ses collaborateurs pour rencontrer les agents gestionnaires des réclamations en première ligne au sein des différentes Directions générales du Service public de Wallonie (SPW).

Pour commencer, le Médiateur a présenté les grandes lignes des 10ème et 11ème Rapports annuels (2021 & 2022) de l'institution et plus particulièrement les différentes recommandations formulées.
Marc BERTRAND a également présenté les modifications apportées à l'institution du Médiateur et les nouvelles compétences qui lui ont été confiées suite aux décrets conjoints des 13 et 20 juillet 2023, entré en vigueur le 18 janvier 2024.
Enfin, il a souligné sa volonté de voir inscrit en Wallonie le "Droit à l'erreur administrative" à l'instar de ce qui existe en France. Point qu'il a eu l'occasion d'évoquer en commissions parlementaires ces derniers jours.

Ensuite, le Directeur a quant à lui rappelé les missions de la DORU, lesquelles s’inscrivent dans un objectif plus général et prioritaire de mettre l’usager au cœur de l’action de l’administration et présenté l'approche du SPW en matière d'expérience usagers et d'optimisation des dispositifs.

Les participants ont ensuite échangé leur expérience à propos de la collaboration entre l'institution du Médiateur et les différentes Directions générales du SPW et plus précisément entre leurs collaborateurs. De manière générale, tous s’accordent à conclure que les échanges sont fluides et positifs afin que le traitement des réclamations soit le plus rapide et surtout, le plus constructif possible.

Il est important que chaque citoyen confronté à une difficulté, une insatisfaction dans ses relations avec le SPW puisse trouver facilement une voie pour l’aider dans le dédale administratif. Que ce soit en première ligne, au sein des DG du SPW ou en seconde ligne auprès du Médiateur, toutes les personnes concernées ont pour objectif de répondre aux insatisfactions des citoyens/usagers de l’administration le plus rapidement et le plus complètement possible. Et une bonne collaboration y contribue clairement.

Las familias se han dirigido a la institución para pedir que se garantice su derecho a la vivienda

La síndica ha hablado en dos ocasiones con la alcaldesa para conocer la situación actual y trasladarle las recomendaciones de la institución

La síndica de greuges, Esther Gimenez-Salinas, ha trasladado esta mañana a la alcaldesa de Esplugues de Llobregat y a la Generalitat de Cataluña la petición de que las administraciones actúen con la máxima diligencia para atender a las personas que habitaban en el bloque afectado, llamado El Barco. También ha pedido que los recursos residenciales de urgencia sean próximos a la zona de residencia actual, que garanticen que se mantienen los núcleos convivenciales existentes y que sean estables hasta que se asignen definitivamente las nuevas viviendas.

Giménez-Salinas recuerda que el bloque, propiedad del Ayuntamiento, había sido expropiado y que los inquilinos estaban pendientes de que se les asignara una nueva vivienda, de acuerdo con la legislación vigente. La síndica pide que el informe técnico que ha llevado a declarar el edificio en situación de riesgo de colapso y al desalojo forzoso de los inquilinos no modifique en ningún caso el derecho de los vecinos a disfrutar de una nueva vivienda en sustitución de la actual, fruto del proceso de expropiación.

Por último, la síndica ha solicitado a la Generalitat de Cataluña que colabore activamente con el Ayuntamiento de Esplugues de Llobregat para asegurar que puedan ofrecerse los recursos residenciales de urgencia adecuados para que las personas afectadas –entre ellas varios menores– puedan reanudar lo antes posible su vida con la mínima afectación y no se produzca una victimización secundaria de estos menores. De ahí que la petición de que este recurso de urgencia sea próximo al bloque afectado es tan importante.

El pasado lunes, el Ayuntamiento de Esplugues comunicó a las 38 familias que vivían en el edificio que debían abandonarlo inmediatamente, ya que algunos informes técnicos apuntaban a patologías estructurales en el edificio que suponían un riesgo para su seguridad. El edificio es propiedad del Ayuntamiento desde hace aproximadamente un año, cuando lo expropió a un particular por encontrarse en unos terrenos calificados como zona verde en el Plan general metropolitano.

Desde el lunes, varias familias se han dirigido a la institución del Síndic de Greuges para pedir que se garantice su derecho a la vivienda. La síndica ha hablado en varias ocasiones con la alcaldesa del municipio para conocer la situación actual y las medidas que se toman desde las administraciones para atender las necesidades de estas familias, y para trasladarle las recomendaciones de la institución.

• Resolución íntegra

NEWS - DATE Wednesday | 03 April 2024

Ombudsmen and chairs of petitions committees from across the EU have called on EU citizens to use their vote in the upcoming European elections, which will be held between 6-9 June 2024.

In a statement, they noted that a strong electoral mandate is an essential part of democratic accountability in the EU and that the health of democratic institutions requires continual reinforcement through strong civic engagement.

The elections will decide which Members of the European Parliament (MEPs) will represent citizens when it comes to preparing new laws. The new MEPs will also help determine who runs the next European Commission.

Read the full statement